Le Rêve Naturel

Le Surréalisme LE SURREALISME EST UN MOUVEMENT LITTERAIRE ET ARTISTIQUE; CE MOUVEMENT SUCCEDE AU DADAÏSME. IL REPOSE SUR LE REFUS DE TOUTES LES CONSTRUCTIONS LOGIQUES DE L’ESPRIT ET SUR LES VALEURS DE L’IRRATIONNEL, DE L’ABSURDE, DU REVE, DU DESIR ET DE LA REVOLTE. ORIGINE DU MOT Le mot « Surréalisme » a été choisi en hommage à Apollinaire

ARAGON : Le Fou d'Elsa, Les mains d'Elsa, 1963 Le texte Les mains d'Elsa Donne-moi tes mains pour l'inquiétude Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude Donne-moi tes mains que je sois sauvé Lorsque je les prends à mon propre piège De paume et de peur de hâte et d'émoi Lorsque je les prends comme une eau de neige Qui fuit de partout dans ma mains à moi Sauras-tu jamais ce qui me traverse Qui me bouleverse et qui m'envahit Sauras-tu jamais

à la sur-vie. Le progrès est donc pluridisciplinaire: scientifique et technique, économique et social, culturel et moral voire religieux. Le progrès est l’évolution de l’humanité vers un état supérieur, l’affranchissement infini de la nécessité naturelle, un changement orienté vers un idéal, la croyance en un idéal. Mais, si le progrès est subjectif, alors doit-on croire au progrès par conviction ou peut-on croire au progrès par persuasion? L’homme peut-il croire que l’homme progresse, peut-il

est douce, sans forcing. On la reçoit de manière naturelle, et les moteurs de recherche ou de comparaison qui sont derrière tout cela sont discrets. L'image qui me vient pour décrire cela est : la fille est belle, ET elle n'a pas de maquillage,(ou tout du moins, il est invisible). Pour paraphraser Sony qui disait (merci Mickaël) : Vous l'avez rêvé et Sony l'a fait, on pourrait dire d'amazon : Vous n'avez même plus la peine de le rêver, amazon l'a rêvé pour vous. Un détail qui ne trompe pas : quand

satisfaire », symbolise le fait de répondre aux attentes c'est-à-dire de réaliser ce qui est demandée, agir de façon à assouvir, à contenter ses envies. Le mot « réalité » désigne les choses réelles, ce qui existe par oppositions à l’imaginaire, le rêve, la fiction… De multiples interrogations découlent des définitions ci dessous: • Obtient-on toujours ce qu’on veut ? • Nos souhaits collent t- elle toujours à la réalité ? • Existe-il une différence significative entre désir et le faites de répondre

poème. I. Un univers abstraitA . Description d’un paysage urbain  : c.l de la ville (l.1 à 6) + éléments naturels « ciels » l.1 B . Ensuite, le paysage est décrit à travers des notions brèves/évasives qui suscitent le doute . On a des notions « d’impression » soulignées

miroir de la figure de l'enfant ? Le substrat érotique ne ferait-il pas place à un autre horizon, celui d'une course vers la patrie néante cette fois ? II/ Une régression matricielle. La reprise d'un topos : l'alma mater. Si cette féérie naturelle est parcourue d'une inquiétante étrangeté, comme nous l'avons vu, elle n'en demeure pas moins merveilleuse. On retrouve donc ici, à travers le « bois de lauriers »l 16 ou encore « le sentier déjà empli de frêles et blêmes éclats »l 8, une description

rationalisme philosophique des Lumières est né, au XVIIIe siècle, un courant sensible qui s’intéresse à l’irrationnel. Le Diable amoureux de Cazotte en est une illustration (ouvrage publié en 1772). En même temps, ce goût pour le surnaturel et pour le rêve à tendance cauchemardesque imprégnait la littérature romantique allemande (Goethe) et le roman noir anglais (Mary Shelley Frankenstein) : pactes diaboliques, apparitions démoniaques, phénomènes mystérieux. Le Romantisme français, influencé par ces

éloignement est nécessaire car il le définit, par ex. comme un idéal. Et du coup, c’est l’idée d’un bonheur possible, une « image » que l’on projette qui amènerait « le bonheur ». Il ne serait donc plus à relier au réel et la satisfaction des besoins mais au rêve, à l’imagination et à la création multiforme des désirs. Le bonheur c’est ce que tout un chacun désire et qu’il veut aussi parfois comme quelque chose d’absolu, et même d’irréalisable. Ce qui paraît contradictoire, mais si l’on accepte de penser que

des habits de voyage ; elle commence à parler en descendant la montagne. ROSAURA. Impétueux hippogriffe, aussi rapide que le vent, arrête-toi ! Pourquoi, éclair sans flamme, oiseau sans plumes, poisson sans écailles, et quadrupède sans instinct naturel, — pourquoi donc t’emporter et t’élancer, le mors aux dents, au milieu du confus labyrinthe de ces rochers dépouillés ?… Arrête, te dis-je, arrête-toi sur cette montagne, où les animaux sauvages auront aussi leur phaéton. Pour moi je ne veux pas aller