Le Rêve

Ils ne s'ennuient pas, ils ne pleurent pas, ils 7-se contentent d'attendre que le temps passe. Ils n'ont pas accepté les défis de la vie et elle ne les défie plus. 8-Quand on veut une chose, tout l'Univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve. 9-Le meilleur moyen de savoir qui nous sommes est de chercher à savoir comment les autres nous voit 10-Lorsque l'on tarde pour la cueillette, les fruits pourrissent. Mais quand on repousse les problèmes, ils ne cessent de croître. 11-Tout le

nous informe sur les dernières découvertes scientifiques qui permettent de mieux cernés le processus du rêve et ainsi de le définir du point de vu scientifique. Document 2 : Etude psychanalyse L’interprétation des rêves pose un des fondements des théories Freudienne sur le désir refoulé dont le rêve serait une voie d’expression. Le contenu en apparence incohérent et absurde du rêve détiendrait un sens caché mais interprétable selon des méthodes d’analyses nouvelles. Document

rhétorique de la reprise s’opposant à la continuité narrative que semble promettre le récit. Dans cette lecture linéaire nous essayerons de mettre en valeur les différentes tensions à l’œuvre entre unité et éclatement entre le discours et récit, entre rêve et réalité. I Union des tensions Chaque thème des vers de Brugnot donne une clé du poème de Bertrand. Au point que l’on peut dire qu’il est une variation. On part d’une sensation auditive pendant le sommeil qui se transforme en un chant harmonieux

Psychologie clinique Thèmes abordés : - L’enfant en nous et l’histoire individuel du sujet -Sexualité dans la clinique -L’inconscient dans la psychopathologie et dans la vie quotidienne -Rêve -Crise et processus de la vie -Subjectivité et assujettissement -Conquête de soi La clinique : Notion héritée de la médecine. La psychologie clinique compte parmi ses ancêtres la médecine occidentale, dont la psychiatrie. Et de la psychiatrie vient la clinique. Grec : « kliné »= divan, lit ; notamment

d'inaccessibilité, nombreuses negations, adverbe "tant", anaphore "j"ai tant reve de toi") 2- un amour impossible (melange des temps verbaux donc confusion, question rethorique, le temps qui condamne l'union, idee de fuite de temps et de long cheminement vers un amour improbable) 3- un reve eternel (champ lexical du reve, du surnaturel, anaphore "j'ai tant reve de toi", le reve a aussi un role pertubateur, obstacle du reve incessant) Introduction : Que ce soit le jour ou la nuit, nous revons

"Rêveries", Victor Hugo, Les Orientales (1829) 2.Spleen, "Quand le ciel bas et lourd", Baudelaire, Les Fleurs du Mal, 1857 3."Le Pont", Victor Hugo, Les Contemplations, 1852 4."Un rêve", Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842 5."Un rêve", "Il est deux heures moins un quart [... ] qui m'étouffait dans mon rêve", Xavier Forneret, Temps perdu, 1840 6.Chant quatre, de "Je suis sale [...] j'y suis habitué.", Les Chants de Maldoror, Lautréamont, 1869 Séance 1: Introduction à la

section qui comporte des poèmes que l’auteur a rédigés durant son séjour en Allemagne. Le titre du poème implique d’un côté le rêve avec la référence à la nuit, et d’un autre la réalité avec la référence au Rhin. Le poème ne cesse de faire des va-et-vient entre le monde du rêve et le monde réel. Toutefois, la référence au Rhin peut aussi accentuer la part d’irréel et de rêve que contient le titre car le Rhin est un lieu associé à de nombreuses légendes. I) Un poème où le réel se mêle à l’irréel

inconscientes peuvent être soignées par l’étude des rêves, en rendant conscientes les pulsions inconscientes des patients dans le cadre d’une psychanalyse. Pour comprendre un rêve, il faut donc, par association, que le rêveur retrouve le chemin emprunté par l’inconscient et qu’il remonte petit à petit, en partant des images du rêve, jusqu’à son enfance et aux faits générateurs de ses pulsions. A ce moment-là, la prise de conscience des pulsions refoulées de l’inconscient permet une libération du rêveur

s’approcherait le plus de la définition de l’héroïsme. On pourra se pencher tout d’abord sur le cadre : une scène qui a tout du conte de fée, ou plutôt du rêve ; idée renforcée par le flottement onirique omniprésent et le fait que l’action se déroule « au milieu de la nuit », tout en étant hors du temps. Or qu’est-ce qui caractérise mieux le rêve qu’une scène nocturne ? Tout est théâtralisé, c’est une véritable mise en scène, avec des décors et des objets, des déplacements précis, une atmosphère poétique

ces phobies apparaissent sur ses toiles : la sauterelle, le lion, les galets, l’escargot…Utilisant avec une grande maîtrise, toutes les techniques apprises, il peint « des photographies en trompel’œil »qu’il utilise pour transcrire des images de rêve. Il met en place sa théorie du mou et du dur : ce concept illustre bien la dualité du personnage Dali. Le mou, c'est la déliquescence, la putréfaction, la mort, le temps qui passe (persistance de la mémoire). Le dur c'est la stabilité, illustré