Le Rôle De La Monnaie Chez Keynes

théories monétaires dominantes perçoivent le rôle de la monnaie dans l’activité économique et comment elles fournissent un cadre théorique aux pratiques monétaires. Le choix se porte arbitrairement sur les principaux courants de pensée économiques (classique, keynésien, néoclassique, et marxiste), sachant qu’une stylisation et même une simplification est nécessaire. Section I – La théorie classique (18è siècle à 1936) Pour les classiques, la monnaie est un voile, en ce sens que les forces monétaires

à la fin du Moyen-Âge Chez les Romains, on trouve essentiellement des éléments de gestion agricole. Après ce morcellement de cet Empire, on assiste à une régression de la civilisation urbaine et de la culture écrite. On va assister à l'émergence de la féodalité et c'est l'Église qui va maintenir la tradition de l'écriture et qui va monopoliser l'espace culturel. L'insertion de l'Église dans le société féodale est facilitée par l'œuvre de SaintAugustin (354 – 430). On a chez lui le rejet de l'organisation

professionnelle. « Economie » vient du grec « la maison » ► unité sociale et économique et « l'ordre », la règle ► les lois qui régisse la maison. Dans la conception grecque, l'économie doit se subordonner à la politique (► « la vie de la cité » en grec). Chez Platon et Aristote on a une supériorité de la politique et l'économie lui est subordonné ► pas économique autonome. L'économie n'est pas au centre pour les grecs ► effet pervers de l'individualisme. THALES : 650 av JC, il a spéculer sur les pressoir

diminuer le salaire réel par exemple en diminuant le salaire nominal ou les cotisations sociales à la charge des employeurs. B) Keynesiens Pour Keynes il existe un chômage involontaire Dans une perspective de court terme, il pose la flexibilité des prix et des salaires est irréaliste et que les salaires sont au contraire rigides. Keynes remet en cause la théorie des débouchés et considère que le niveau de production est déterminé par le montant de la demande agrégés de biens et services

Économiques et Gestion Semestre : 4 Année Universitaire : 2013/2014 Chapitre 1 – La théorie quantitative de la monnaie de Fisher C’est une théorie classique de d’Irving Fisher de la monnaie au 1911 ; la quantité de monnaie qui circule est correspond à la richesse. Equation des échanges (The Purchasing Power of Money): M  V = P  Y Fisher a fait le lien entre la quantité totale de monnaie offerte (nominal : M : masses monétaires) et le montant total des dépenses en biens et services finales produites

La dépense intérieure 7 III. La conception de l'équilibre macro-économique chez les keynésiens: comptabilité nationale et politique économique 8 1. L'univers des keynésiens, une logique de la demande 8 2. Les déterminants de la demande globale 8 a) La fonction de consommation chez Keynes 8 b) La fonction d'épargne 9 c) La demande d'investissement 9 d) La demande d'exportation 10 3. La notion d'équilibre chez Keynes 11 a) Équilibre sur le marché des biens 11 b) Théorie du multiplicateur et

II) DR MUHAMMAD BALa demande de monnaie Pourquoi les agents économiques détiennent-ils une part plus ou moins grande de leurs richesses sous forme de monnaie ? Quelles sont les variables essentielles qui font que les agents détiennent de la monnaie ? Dans l’histoire de la pensée économique, il y a deux théories majeures qui ont essayé de donner des réponses à ces deux questions : il s’agit de la théorie classique et de la théorie keynésienne de la demande de monnaie. Toutefois, au-delà de ces deux

fins socialement et individuellement productive SAUF la « thésaurisation »= détention de monnaie « pour elle-même », sorte d’avarice jugée irrationnelle et exclu de l’analyse. L’ajustement I-S chez Keynes Keynes réfute la loi des débouchés=> la thésaurisation, bien qu’elle soit improductive au niveau global, peut être profitable au niveau individuel : On parle de motifs de transaction (détention de monnaie pour mener à bien des transaction présentes et futures), motifs de précaution (faire face

s’il y a du chômage, possibilité pour les patrons de faire pression pour la baisse des salaires. * La stabilité des prix : et donc l’inflation. * L’équilibre des échanges extérieurs : si la balance est déficitaire => dépréciation de la monnaie, tensions sur le marché, ↗ du coût des importations. Si la balance est excédentaire => réserve d’échange trop élevée faisant maître des tensions avec les autres pays. * L’équilibre des finances publiques. N. KALDOR et le carré magique :

Chapitre 4 Sous Emploi et Demande : John Maynard KEYNES  (1883­1946) Concepts à connaître et à savoir utiliser : demande effective, taux de salaire rel et nominal, chômage involontaire Actualité et prolongements contemporains : Causes du chômage, rôle de la demande et des salaires Introduction : présentation de l'auteur et du contexte historique. voir le côté révolutionnaire de sa théorie : remise en cause du paradigme existant (cf. intro sur les sciences). document 1 p 59 : qui sont les classiques