Le Samouraï

avec le commodore Matthew Perry obligent le Japon à s’ouvrir à l’occident par la politique de la canonnière  1868 : début ère Meiji (fin structure féodale de la société, mise en place d’une admin° à l’occidentale, d’une armée nationale). Anciens samouraïs et grands marchants se reconvertissent et forment Zaibatsu.  1875 : Adoption du yen (=1/2$)  1880 : Les mutations issues de l’ère Meiji fait que le Japon devient impérialiste : colonisation Kouriles, attaque la Chine  1889 : constitution (crée

‘’Shanghaï Express’ ’(1932, États-Unis, 80 minutes). En 1934, Mikhaïl Romm produisit ‘’Pychka’’,(URSS, muet). En 1935, le Japonais Kenji Mizoguchi donna ‘’Maria no Oyuki’’ (‘’Ojuki la vierge’’, 72 minutes) et reconnut que c’était une transposition samouraï de la nouvelle. En 1939, John Ford filma ‘’Stagecoach’’ (‘’La chevauchée fantastique’’, États-Unis, 97 minutes), affirmant que la nouvelle fut à l’origine du roman ‘’Stage to Lordsburg’’ d’Ernst Haycox qui transpanta la situation dans l’Ouest américain

thriller oriental. En effet, c´est dans des films tels que Kill Bill où l´influence orientale est rendue manifestement évidente par le biais de différents styles de combats, japonais, chinois, le final dans la neige emprunté et/ou en hommage au film de samouraï, les scènes proprement manga… ou encore dans le thriller coréen Old Boy, que l´on assiste à une transposition contemporaine de la tragédie de la vengeance. Dans les deux cas, les héros essayent de se faire justice en entamant une vengeance contre

l’extérieur, a maintenu le ce pays dans la féodalité jusqu’au XIXe siècle. Les castes établissent donc, par leur caractère héréditaire, une hiérarchie stricte (l’empereur étant au sommet suivit successivement des shôgun, des nobles (daimyô), des samouraï et enfin de la base ou l’on trouve les agriculteur, les artisans, les marchand et enfin les eta, qui exercent des activité tabou telles que fossoyeur) ou chacun a une place fixe. Cependant, faute d’ouverture économique principalement, la dynastie

spécifiquement consacrées au cyberespace. 20. Non seulement parce que les Japonais sont les plus friands consommateurs de toutes les techniques virtuelles, mais aussi parce que, de Solaris de Tarkovski (1972) aux romans de Neal Stephenson (Le samouraï virtuel, LGF, Le Livre de poche, 2000) en passant par Blade Runner, il existe un très fort tropisme japonais dans la science-fiction contemporaine (sans parler d'une discrète japonisation de la culture populaire mondialisée, notamment à travers

1) Le Japon « féodal » à l’époque de Shogun, de la dynastie des Tokugawa A l’époque des grandes découvertes, les explorateurs touchent le Japon. Ils convertissent les japonais au christianisme. Les Daïmyo (grands seigneurs) et les Samouraï (chevaliers) vont obtenir la fermeture du Japon. Pendant deux siècles, le Japon reste donc très fermé. Vers 1840, les contacts se multiplient entre le Japon & l’extérieur. A partie de 1848, les armateurs américains commencent à faire du commerce

Martin, et Ethan prend Debbie dans ses bras, décidant finalement de la ramener au pays. Ethan repart seul, comme au début du récit. Les Sept Samouraïs d’Akira Kurosawa : Un village du Japon, à la fin du XVIe siècle, déchiré par la guerre civile. Les paysans, harcelés par des bandits qui pillent, violent et tuent, décident d’engager pour leur défense quelques samouraïs. Kambei, aidé par son disciple Katsushiro, recrute quatre soldats errants suivis d’un demi-fou, Kikuchiyo, qui saura établir un climat de

seraient à l'origine des exclus de la société. Toutefois, les débuts de l'organisation mafieuse japonaise sont flous et controversés. Certains affirme en effet qu'elle aurait vu le jour au XV siècle, avec l’apparition d'associations de Rônins (samouraïs sans maître), qui sillonnaient le Japon et qui commettaient divers crimes sur leur passage. D'autres estiment qu'ils descendent des Kabukis-mono, apparus au XVIIème siècle. Le mot kabuki signifie excentrique, extravagant. L'idée d'une vie en marge

pour fonder les premiers zaibatsus (holdings dont les filiales sont cotées en bourse). A la fin du XIXe siècle, le Japon dispose d’une industrie prospère et se lance dans la colonisation. Les motivations de la colonisation sont triples : Les ex-samouraïs entré dans l’administration et l’armée y diffusent un nationalisme agressif Lez industriels qui doivent importer leurs matières premières souhaitent s’en procurer gratuitement sur le continent asiatique Les dirigeants politiques veulent copier

manga La bande dessinée japonaise est très peu présente dans le monde francophone avant 1978 : quelques planches de Bushidou Muzanden d'Hiroshi Hirata dans Budo Magazine Europe publication consacrée au judo, en 1969, plusieurs mangas sur les samouraïs traduits et publiés au début des années 1970 dans la nouvelle formule de Budo magazine Europe et l'article « La Bande dessinée japonaise » de Claude Moliterni et Kosei Ono qui lui est consacré en 1972 dans Phénix25. En 1978, Atoss Takemoto publie