Le Silence des armes

rejoindre les rangs de la résistance. * Le Silence de la Mer, de Vercors. Ce livre fut publié clandestinement aux Éditions de Minuit, en février 1942. Il aborde le thème de la vie sous l'occupation : un officier allemand épris de culture française, réquisitionne la maison d'une famille comprenant un vieil homme et sa nièce, celui-ci il tente, sans succès, de rompre le mutisme de ses hôtes dont le patriotisme ne peut s'exprimer que par ce silence actif. * Le fameux Discours du 18 juin, appelant

"D´après les psychologues, dans les situations dures on peut observer le vrai caractère des gens. Les émotions et les qualités s´expriment plus intensivement. L´amitié et la compassion, les qualités les plus humaines. Il suffit de voir l´image "Frères d´armes" qui nous montre un soldat portant un autre soldat blessé. Les soldats deviennent vraiment des frères, parce qu´ils vivent dans une proximité énorme et qu‘ ils ont besoin les uns des autres. Le soldat blessé n´aurait pas de chance de survivre sans

1914 Mais il (Antoine 1 ) ne demandait pas mieux, puisque Jacques ( 2 ) semblait y tenir que de commencer l'entretien par un échange de généralités sur la politique européenne. Et ce fut avec une bonne volonté sincère que, pour rompre le silence de Jacques, il reprit : - " Tu crois vraiment qu'une nouvelle guerre couve dans les Balkans ? " Jacques regardait fixement son frère - " Est-ce possible qu'à Paris vous n'ayez pas encore la moindre notion de ce qui se passe depuis trois semaines

s'intégrer à la Résistance, ce qui l'amène à co-fondé une maison d'édition clandestine, avec laquelle il publiera sa 1ère nouvelle « Le silence de la mer » en 1942. Il devient même membre du Comité des écrivains et signe le manifeste des 121 écrivains, inscrivant clairement sa position contre la guerre d'Algérie. Entre 1945 et 1948, Vercors publie une série d'oeuvres (ex: Les armes de la nuit (roman), Les yeux et la lumière (nouvelle))... Puis, dans l'objectif de se faire reconnaître, il publie « Les animaux

tout ce qui n'était pas argousin ou galérien. Les curieux de Paris allèrent s'abriter sous les auvents des portes. Cependant la pluie tombait à flots. On ne voyait plus dans la cour que les forçats nus et ruisselants sur le pavé noyé. Un silence morne avait succédé à leurs bruyantes bravades. Ils grelottaient, leurs dents claquaient ; leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s'entre-choquaient ; et c'était pitié de les voir appliquer sur leurs membres bleus ces chemises trempées

de la ville, ils sont évacués un matin dans un wagon à bestiaux vers une destination inconnue.En une nuit, il est séparé de sa mère et de sa jeune sœur qu’il ne reverra plus. Avec son père, il se retrouve nu, douché, battu, terrifié face à des SS armés et des Kapos qui les frappent. De 1944 à 1945, sous le numéro A-7713, il connaît plusieurs camps d’extermination, Auschwitz, Birkenau, Buna et enfin Buchenwald.Il supporte l’insupportable, endure la faim, la soif, le froid, la maladie et tout cela

peur et de la violence. Pouvoir de l’autorité et domination du fort sur le faible. Au Maroc, brutalité, non-respect des droits de l’homme, individu d’office coupable, cela crée des erreurs et donc des drames. * Violence et armes Il y a un paradoxe au niveau des armes. D’un côté, elle représente la fascination, c’est le cadeau d’un pacifiste mais elle représente aussi le danger de mort. C’est l’élément perturbateur du film et est rappelé lors du mariage ainsi qu’à la douane et dans les interventions

le prix Goncourt. Le récit s’ouvre sur une scène dramatique, Tchen un jeune révolutionnaire communiste, est sur le point d’assassiner un trafiquant d’arme, dans le but de récupérer un ordre de vente qui permettrait à son camp de s’approvisionner en armes. Il serait alors intéressant d’observer ce qu’à d’original cet incipit de roman. Ainsi peut-on s’intéresser à la situation angoissante qui émane de cet incipit mais aussi sur ce que cette situation nous apprend sur le drame intérieur vécu par Tchen

escaliers. Ils n'avaient pas encore remarqués le jeune homme qui n'avait aucun endroit ou se cacher. Qu'en ils le virent ils tirèrent leur épée du fourreau en criant aux armes. Après toutes ces souffrances Yvain Guytard allez t-il mourir ici d'un coup d'estoc. Répondant à l'appel des deux hommes, la porte s’ouvrit est plusieurs hommes en armes apparurent et se saisir de l'intrus. Une miséricorde au creux des reins ils fut forcé de ce mettre à genoux. -Qui es tu manant ? -Je suis

un être, une chose à sa juste valeur après avoir discerné ses défauts et ses qualités. ¤ Les territoires de guerre, car la discussion peut ne pas être qu'à voix haute mais peut aussi l'être à travers les armes au front. c) La notion de discussion s'oppose aux notions suivantes : ¤ Le silence, car c'est le fait de laisser entendre sa pensée, ses sentiments, sans les exprimer formellement. ¤ Le monologue, car c'est un discours à travers laquelle il y a qu'une personne qui parle sans attendre de