Le silence est d'or

Paris et il fait la connaissance d’André Breton, d’Aragon, de René Crevel. 1930 : avec Eluard et Breton, il publie Ralentir travauxIl participe activement au mouvement surréaliste pendant 4 ans : batailles, scandales, tracts… Il défend le film L’Âge D’Or contre l’extrême droite.Il participe à Le Surréalisme au service de la Révolution qui est une revue. Lorsque ses textes paraissent, ils sont accompagnés par des illustrations d’artiste du groupe : Dali pour Artine, Kandinsky pour Le marteau sans maître

jaillissements d'embruns. Et, à l'automne, avec ses longs poils cramoisis, ses mille bras entrelacés de serpents verts, ses cent mille mains de feuillages d'or jouant avec des pompons de plumes, des lanières d'oiseaux, des poussières de cristal, il n'était vraiment pas un arbre. Les forêts, assises sur les gradins des montagnes, finissaient par le regarder en silence. Il crépitait comme un brasier ; il dansait comme seuls savent danser les êtres surnaturels, en multipliant son corps autour de son immobilité;

comme toutes ces paroles inutiles que l'on m'a crier pour me soutenir. Mais semblable à tout ce qui appartient au passé, mes souvenirs se sont évaporés.  Je tiens le billet de train Lyon-Epinal dans mes mains. Telle une feuille d'Or, il se plie sous mes actions. Le silence qui rompt l'harmonie de la pièce devient fragile. Et une fois encore, j'attends. Il ne se passera rien. Plus rien que je puisse faire ne changera le cours du temps. Je dois attendre. Et dans un souffle, je repense à toi. Je cris

"toute obligation de faire et de ne pas faire se résoud en dommages et intérêts en cas d'inexécution de la part du débiteur". On peut comprendre cette disposition s'agissant de l'inexécution d'une obligation de ne pas faire. En effet si le débiteur a d'ores et deja fait ce qu'il ne devait pas faire on ne voit pas quelle autre sanction que des dommages et intérêts pourrait être prononcée. En revanche cette disposition est plus surprenante en ce qui concerne l'obligation de faire. En effet on ne voit pas

vers Ganelon. Ce dernier était toujours attaché à une petite poutre qu’il portait sur ses épaules, surveillé constamment par deux soldat du royaume de France. Ses muscles lui faisait mal, le beau-père de Roland gémissait de douleur. Un très grand silence régnait sur la plaine, même les corbeaux et les mésanges avait cessé de chanter. On n’entendait plus le fer aiguisé des soldats qui se battait, ni même de ceux qui aiguisait leur lame. Il régnait une ambiance des plus lugubre, les nuages gris cachaient

un local clos, un abri contre les dangers du monde extérieur. Ce point est souligné par tous les auteurs. Gautier apprécie la chaleur du feu, le confort de la « chauffeuse capitonnée », la sensualité du « papier rose », la douce lumière et le « silence ». Max Jacob rêve à loisir devant « la mousseline des rideaux sur la vitre » qui le coupe du dehors. Son regard est ainsi ramené vers les objets familiers de l’intérieur. Joë Bousquet se plaint doucement d’avoir quitté le monde enchanté des « chansons

centaines de bouches avec toute la force des brimés ! Comme un seul homme, nous entrâmes et gravîmes l'escalier qui nous menait à la salle du trône. La marée humaine cessa instantanément son chant lorsqu'elle eut atteint son but. Un silence quasi-religieux s'était installé. Un silence qui ne fut interrompu que par une vitre cassée, la chute d'un vase ou quelques craquements des boiseries ... Je découvrais, pour la première fois de mon existence, la salle du trône... Elle était recouverte au plafond d'un

personnage met toute l'intrigue en péril. La stratégie semble anéantie et il semble dès lors qu'Agis ne retrouvera pas son trône et ne pourra pas être conquis par la princesse. Mais c'était sans compter sur la cupidité du valet, qui fait acheter son silence. L'avidité de ce valet peu scrupuleux sauve les deux femmes ainsi que leur stratagème, ce qui créer un rebondissement, dans la mesure où malgré l'intervention d'Arlequin qui met en péril toute cette entreprise, l'intrigue se maintient/ se poursuit

JE PARLE : J'parle de la vie, j'parle de l'amour, j'parle de la mort, J'parle sans raison et j'te parle même quand j'ai tords. Je parle quand j'dors, je parle aussi d'or et d'argent, Moi je parle mal, et je parle sur les gens. Je parle de rien, dans la rue ou le métro, Moi je te parle bien, est-ce que des fois je parle trop ? Je parle seul, je parle peu, je parle à Dieu, Moi je parle d'amour, mais c'est mieux quand t'en parle à deux. Je parle comme j'écris, car de ma vie je suis l'auteur

dont la tête est inclinée vers la terre, put contempler les astres et fixer ses regards sublimes dans les cieux. Ainsi la matière, auparavant informe et stérile, prit la figure de l'homme, jusqu'alors inconnue à l'univers. Les quatre âges L'âge d'or commença. Alors les hommes gardaient volontairement la justice et suivaient la vertu sans effort. Ils ne connaissaient ni la crainte, ni les supplices; des lois menaçantes n'étaient point gravées sur des tables d'airain; on ne voyait pas des coupables