Le Soldat Blessé

historiques, (guerres, conflits) et des personnages et scènes de la vie rurale (moissonneurs, pasteurs). Ou est la peinture conservée : elle est conservée dans le Musée Heeresgeschichtliches, a Vienne. 2) Le sujet On peut penser que ses soldats sont les « sans nom », car ils sont tous pareils, ils ont perdu toute leur individualité, il n’y a aucun qui se distingue du reste, et ils intègrent le bataillon qui allait se battre. Une fois qu’ils vont dans la guerre, ils laissent leur vie arriere

c'est une huile sur toile (tableau). Sur ce tableau on a une vue d'ensemble de 3 personnages, des Poilus, dans un café entrain de joué au carte il s'agit de blessés de la grande guerre. Il a été peint en 1920 par Otto Dix.. Cette œuvre a été réalisée juste après la guerre, c’est la raison pour laquelle on peut voir des gueules cassées et des blessés de guerre. Otto dix: (1891-1929) est né en Allemagne et est issue d'un milieu ouvrier. Son père à travaillé dans une mine de fer et sa mère lui a enseigner

forme de guerre qui transforme la vie des soldats - une mobilisation sans précédent des combattants : généralisation de la conscription, élargissement de l'âge de recrutement des volontaires, recrutement de soldats dans les colonies... - des conditions de vie terribles pour les combattants liées à la longueur du conflit et aux armements plus perfectionnés : l'omniprésence de la mort, du danger, de la peur..., l'émergence d'une "culture de guerre" - des soldats de plus en plus épuisés, qui osent le

tard, lorsqu'elle fut suivie par une série d'autres défaites. Au début du conflit, la France disposait de 265 000 soldats réunis dans l'armée du Rhin contre 500 000 soldats prussiens auxquels s'ajoutaient les forces de quatre États allemands du sud, soit un total de 800 000 soldats8. La mobilisation terminée, les troupes françaises comptaient 900 000 soldats contre 1 200 000 soldats allemands et prussiens. Cavalerie : Au début de la campagne de 1870, l'armée française compte 63 régiments de cavalerie

N°1 " DER KRIEG" , d'Otto Dix Introduction : Nous allons vous présenter Une oeuvre appellée " Der Krieg" d' Otto Dix . Sa pbmatique est : Comment les artistes représentent la guerre? Ce tableau représente l e massacre et la souffrance des soldats pendant la première guerre mondiale. Cette oeuvre est directement liée a la thématique Arts Ruptures et Continuités. Premièrement, nous allons vous présenter le peintre, la guerre pour Otto Dix et le tableau, qui est composé de quatrres parties

obtenues. Une promesse de règlement final se dessine enfin avec la signature de l’Accord politique de Ouagadougou le 4 mars 2007, avant d'être remis en cause à l'occasion de l'élection présidentielle ivoirienne de 2010. Le 19 septembre 2002, des soldats rebelles venus du Burkina Faso tentent de prendre le contrôle des villes d'Abidjan, Bouaké et Korhogo. Ils échouent dans leur tentative de prendre Abidjan mais parviennent à occuper les deux autres villes, respectivement dans le centre et le nord

Objectivité.  II. Analyse de l'ouevre .Description de l'ouevre:       Panneau par panneau:  Le panneau de gauche, représente les soldats partant au front, on ne peut pas voir leurs visages, on ne peut pas savoir combien de soldats sont présents, ils disparaissent dans la brume. Otto dix rend ces soldats anonymes. Ils pourraient être n’importe lequel des soldats partis à la guerre.    Le panneau central représente affiche sans retenue une vision d’horreur du champ de bataille. On peut vois des

champs à la place des maris, des frères, des proches... Pourquoi peut-on dire que les femmes ont joué un rôle majeur lors de la Grande Guerre de 1914-1918 ? I Le soutien du soldat au front         1 les femmes infirmières Elles accompagnent l’action des médecins qui opèrent sur le champ de bataille tout en consolant les blessés. La plupart des infirmières travaillaient dans un hôpital mais le transport été périlleux, souvent trop long et surtout il pouvait se révélé dangereux. C’est donc pourquoi

Les éléments iconographiques Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d’identifier là les armes et l’uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d’un même pas vers le front et ses atrocités. La brume entoure les soldats comme si il etaient inéxorablement pris au piège. Panneau central : Alors qu’aucun

œuvre composée de 3 panneaux principaux est appelée triptyque. Il évoque avec son triptyque une œuvre majeure de la renaissance : le retable d'issenheim 1513-1515, de Mathias Grünewald. II)Description 1)Les plans Panneau de gauche : 1° plan : des soldats en armes portant un sac sur leur des tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front Aucun décor spécifique n'est représenté