Le Soldat rose

fade une démarche : walk il vaut mieux : you’d better siffler : to whistle ramasser : to pick up 1. « La Valse des Etiquettes » par Betty Quette Ecoutez la chanson et remplissez les blancs puis répondez aux questions. Dix …………………… le Soldat J'ajoute trois zéros Et abracadabra Ça fait dix mille euros ! Cette ……………………………… est trop ……………………… Il lui faut un peu d'aide Une robe en sac …………………… Oh la la ce qu'elle …………… laide ! C'est la valse des étiquettes Faut que …………………………………

Petit prince: Bonjour! Monsieur le soldat. Soldat: Heu…bonjour. Petit prince: Qu’est ce que vous faites? Narrateur: Le soldat ne répondit pas, mais quand le petit prince pose des questions, il veut toujours une réponse Petit prince: Qu’est ce que vous faites? Monsieur. Narrateur: Avec un ton d’impatience. Soldat: Je tire les étoiles. Narrateur: Alors, le petit prince trouva ca très étrange. Petit prince: Pourquoi tirez-vous les étoiles? Soldat: Car, elles ont quelque chose

combat du deuxième ? Peut-on imaginer que le poète qui se promène « dans le parc abandonné » rentre précipitamment se mettre à l’abri, « masqué sur son grabat » ? Il s’agirait alors de la même histoire. Le début conduit à l’épuisement moral du soldat dans sa promenade nocturne, la fin à sa survie

d'art de Toulon. La photographie peut-être découpée en trois parties: 1. les soldats symbolisant les forces de l’ordre. 2. les armes et la fleur donc la guerre. 3. la jeune femme symbolisant l’ensemble des manifestants. On peut dire que sur cette photographie que ce son 2 opposés qui s'attirent (la guerre pour les soldats et la paix pour la fleur). Donc elle est construite sur une opposition LA JEUNE FILLE: (JANE ROSE KASMIR) A droite, on observe que la jeune fille est la seule manifestante

nous les sacrifiés ! C'est malheureux d'voir sur les grands boul'vards Tous ces gros qui font leur foire ; Si pour eux la vie est rose, Pour nous c'est pas la mêm' chose. Au lieu de s'cacher, tous ces embusqués, F'raient mieux d'monter aux tranchées Pour défendr' leurs biens, car nous n'avons rien, Nous autr's, les pauvr's purotins. (soldats exposés) Tous les camarades sont enterrés là, Pour défendr' les biens de ces messieurs-là. (au Refrain) Huit jours de tranchées,

Nils HUGON : le Petit Poucet Pierre BERRIAU : le père du Petit Poucet Romane BOHRINGER : la mère du Petit Poucet Élodie BOUCHEZ : la femme de l'Ogre Catherine DENEUVE : La reine Romain DURIS : un garde de la reine Samy NACERI : le soldat à la jambe de fer Saïd TAGHMAOUI : le chef de troupe Dominique HULIN : L'Ogre Jean-Paul ROUVE : Le Cavalier de la reine Cylia MALKI : le bras droit de jambe de fer ------------------------------------------------- Comparaison livre

Lou qui le quittera plus tard. - « Roses guerrières » est composé de deux poèmes. Le second poème dont il est question est comme une lettre à Lou « Toi qui fis à l’amour ». Il reprend les lieux communs de la poésie lyrique : la femme est comme une rose. Plus nostalgique et mélancolique, il évoque aussi, de façon plus moderne, la guerre qu’il oppose à la beauté de la femme. C’est un poème sans ponctuation qui s’appuie cependant sur des vers réguliers : sonnet en alexandrins (Le sonnet est une forme

La jeune fille à la fleur de Marc Riboud I. Identification L’œuvre que je vais vous présenter est une photographie de presse en noir et blanc de Jane Rose Kasmir prise par Marc Riboud. II. L’auteur Marc Riboud est un photographe français connu du XXème siècle pour ses photos prises au Vietnam et dans d’autres pays asiatiques. Il a été directeur d’une agence de presse : « Magnum ». III. Contexte Photo prise le 21 octobre 1967, lors d’une manifestation contre la guerre du Vietnam à Washington. Pendant

presse Format rectangulaire image horizontale Lieu: Washington, Etats-Unis Cette photographie montre une jeune fille faisant face a un groupe de soldats armes, elle tient une fleur blanche entre ses mains. Les soldats pointent leurs armes sur elle et pourtant son visage ne montre pas la peur. Face aux baïonnettes, elle ne tremble pas. Son nom est Jane Rose Kasmir. 2. Contexte Cette photographie a été prise pendant la manifestation pour la paix au Vietnam. Le Vietnam est alors divisé en deux

placé dans une situation terrible : soldat, il passe la nuit dans une forêt en pleine guerre. Le texte se passe la nuit. Apollinaire ne le dit pas dès le début ; au contraire même, il faut attendre la dernière strophe pour que la référence aux « étoiles » nous le fasse comprendre. Ceci est presque immédiatement confirmé par l’adjectif « nocturne » de l’avant-dernier vers. Dès lors, revenant sur le début du texte, on s’aperçoit de l’importance de la couleur rose, mot répété cinq fois dans le poème