Le Soleil en face

L’exotisme révèle un conflit intérieur entre amour et raison Ironie de l’auteur, jeux sur l’abstrait et le concret III L’exotisme, rouage et miroir de la dynamique amoureuse L’abstraction du corps ou le fétichisme, et le culte du soleil ou l’héliocentrisme amoureux Un exotisme inquiétant et « narcissique » La mort, un espace et un temps universellement exotiques Conclusion Introduction : l’exotisme en littérature L’exotisme tel que le définit le Dictionnaire

scène du meurtre est il représentatif du sentiment de l'absurde ? Absurde : Meursault n'a aucun conflit avec cet arabe. Il a le revolver de Raymond, pour éviter qu'il s'en serve. Malaise physique lié à la chaleur étouffante (harassante) et au soleil. Soleil : va éblouir Meursault, qui va voir le reflet d'un couteau et qui va finir par tirer 4 fois. Meursault a commis un meurtre (acte absurde). Situation absurde : bascule sa vie. Rupture avec la nature : alors qu'avant les éléments naturels faisaient

• la roue de poissons LES FIGURES SYMBOLES • les flambeaux • l’île • le bateau • la sorcière • la maladie • la mort • la maison ou le palais • la rencontre ou la fidélité • le mariage • la fécondité • la rupture • la main de Fatma • le coffre • le soleil Les 16 cartes dites « intermédiaires » LES PERSONNAGES Les Rois : cœur - trèfle (écu) - carreau (faucille) - pique (cimeterre) Les Reines : cœur - trèfle (écu) - carreau (faucille) - pique (cimeterre) Les Cavaliers : cœur - trèfle (écu) - carreau

natus « né »), d'abord associé au mot latin dies « jour » dans la locution natalis dies « jour de naissance » réduite à natalis par substantivation de cet adjectif, utilisé en latin ecclésiastique pour désigner la Nativité du Christ. L’o de Noel, en face de Nael, est lié à la dissimilation des deux a de natalis[4], d'abord devenu *nadal (cf. occitan Nadau, Nadal, catalan Nadal « Noël »), ensuite *nathal, puis *naal, après plusieurs lénitions à partir de la consonne intervocalique [t], qui s'est finalement

L'horreur du gouffre empreinte à sa face livide. Il cria : Mort ! - les poings tendus vers l'ombre vide. Ce mot plus tard fut homme et s'appela Caïn. Il tombait. Tout à coup un roc heurta sa main ; Il l'étreignit, ainsi qu'un mort étreint sa tombe Et s'arrêta. Quelqu'un d'en haut lui cria : - Tombe ! Les soleils s'éteindront autour de toi, maudit ! Et la voix dans l'horreur immense se perdit. Et pâle, il regarda vers l'éternelle aurore. Les soleils étaient loin, mais ils brillaient

FONTENELLE – Entretiens sur la pluralité des mondes (1687) Résumé SOIR 1 : « Que la Terre est une planète qui tourne sur elle-même, et autour du Soleil » Les deux protagonistes : la Marquise et Fontenelle, vont après dîner se promener dans un parc. Après quelques minutes passées à discuter ils regardent la lune et les étoiles. Ils comparent la beauté du jour à une femme blonde et celle de la lune à une femme brune. Fontenelle essaie de faire un discours sur la physique à la marquise et il commence

se meurt et le théâtre de l'absurde » Introduction: Le roi se meurt, publié en 1962, fut écrit par Eugène Ionesco, son obsession et sa peur de la mort se faisant de plus en plus présente. En effet, cette œuvre est issue de l'obsession de Ionesco face à cette dernière, n'acceptant pas réellement son destin inéluctable. Mêlant angoisse, peur, et rire, Ionesco nous offre une pièce faisant partie du théâtre de l'absurde, et c'est ce que nous essaierons d'aborder dans cet exposé, en répondant à la

l'ange Gabriel qui est lui à l'extérieur se dirigeant vers la vierge. Au dessus, dans le soleil, on aperçoit ce qui semble être dieu le père lançant une colombe à Marie dans un faisceau de lumière. Les éléments sont organisés sur six plans dont deux principaux, un premier ou l'on voit L'ange Gabriel et Marie et un deuxième ou l'on voit dieu. Il y a un contraste évident entre intérieur et extérieur. Nous sommes face a une perspective à un point de fuite qui attire le regarde vers la vierge. Les couleurs

Sujet:Un voisin du personnage principal de votre roman évoque la jeunesse de ce dernier, l'histoire que vous avez pu lire dans votre roman. Il la commente , en tire des réflexions personnelles. Rue Mazarine, un vendredi sans le moindre rayon de soleil , Elisabeth qui gardait son petit fils âgé de 17 ans et demi , fût prise de nostalgie profonde pour l'occasion des trente ans qui furent passés depuis la mort des Raquin . Ainsi elle conta cette histoire à Léo son petit fils , pensant qu'il étais

de maisons européennes ». Le conditionnel marque le caractère irréel de cette nouvelle architecture. L'expression « maisons européennes » met l'architecture, pourtant diversifiée, de plusieurs pays avec une identité architecturale sur le même plan, face à New-York, vaste ville qui apparaît par cette comparaison, comme un pays à elle seule. Dans cette ville, tout sens des proportions est perturbé, tout sens de l'orientation aussi. C'est une ville verticale qui se développe en hauteur, beaucoup plus