Le Spectre Fiancé

Roidi, irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s’attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n’avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de 193 son mari. Le meurtrier n’osait plus ouvrir les yeux ; il craignait d’apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. À un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée ; il s’imagina que Camille se trouvait caché sous le

que pour lui, il s’agira toujours d’une liberté dans l’ordre. Cette idée d’ordre va partout traverser son oeuvre. On la verra s’exprimer sur le plan politique et religieux. Idée que les révolutions sont extrêmement dangereuses (liberté débridée, spectre de la Révolution française qui a traumatisé les gens de la première génération du XIXe siècle). Opposition entre le fond et la forme, le mot et la chose, etc. Programme littéraire, politique, social, etc. La liberté ne doit jamais être l’anarchie

me réponde ; Ô vents ! ô flots ! ne suis-je aussi qu'un souffle, hélas ! Hélas ! ne suis-je aussi qu'une onde ? Ne verrai-je plus rien de tout ce que j'aimais ? Au-dedans de moi le soir tombe. Ô terre, dont la brume efface les sommets, Suis-je le spectre, et toi la tombe ? Ai-je donc vidé tout, vie, amour, joie, espoir ? J'attends, je demande, j'implore ; Je penche tour à tour mes urnes pour avoir De chacune une goutte encore ! Comme le souvenir est voisin du remord ! Comme à pleurer tout nous ramène

Roidi, irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s’attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n’avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de 193 son mari. Le meurtrier n’osait plus ouvrir les yeux ; il craignait d’apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. À un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée ; il s’imagina que Camille se trouvait caché sous

Roidi, irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s’attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n’avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de son mari. Le meurtrier n’osait plus ouvrir les yeux ; il craignait d’apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. À un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée ; il s’imagina que Camille se trouvait caché sous le lit,

vipère puis ce sac est jeté à la mer : but : punir le coupable et de l’expulser du monde des vivant (époque archaïque) car le parricide était bien plus qu’un crime : un monstre qu’il fallait noyer : expulsion de la cité sans possibilité de retour (spectre ne peuvent traverser l’eau : peur) : peine aurait été supprimée à la fin de la rép par Pompée, cette peine a du se maintenir pour les parricides les plus graves (mère/ père), Hadrien voyait ds cette peine la peine normale en k de meurtre d’ascendant

Roidi, irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s’attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n’avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de son mari. Le meurtrier n’osait plus ouvrir les yeux ; il craignait d’apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. À un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée ; il s’imagina que Camille se trouvait caché sous le lit,

Roidi, irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s’attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n’avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de son mari. Le meurtrier n’osait plus ouvrir les yeux ; il craignait d’apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. À un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée ; il s’imagina que Camille se trouvait caché sous le lit,

irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s’attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n’avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de son mari. Le meurtrier n’osait plus ouvrir les yeux ; il craignait d’apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. À un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée ; il s’imagina que Camille se trouvait caché sous le lit,

irrité, il resta là, le cou rongé, les dents claquant de peur. Maintenant ses idées s'attachaient à Camille, avec une fixité effrayante. Jusque-là, le noyé n'avait pas troublé les nuits de Laurent. Et voilà que la pensée de Thérèse amenait le spectre de son mari. Le meurtrier n'osait plus ouvrir les yeux; il craignait d'apercevoir sa victime dans un coin de la chambre. A un moment, il lui sembla que sa couche était étrangement secouée; il s'imagina que Camille se trouvait caché sous le lit, et