Le Spleen De Paris Lecture Analytique Baudelaire

d’accompagnement : – pour la Séquence 1 : Les Regrets de Du Bellay ou un livre des Amours de Ronsard, dans le cadre d’une séquence jumelée avec le travail sur l’humanisme comme mouvement culturel ; – pour la Séquence 3 : l’étude des Fleurs du mal de Baudelaire sera sans doute souvent choisie, mais on pourrait opter aussi pour les Poésies de Rimbaud, les Romances sans paroles de Verlaine ou les Calligrammes d’Apollinaire ; – pour la Séquence 4 enfin : le choix est très vaste. En cohérence avec les textes

remise en question 1/ La rime 2/ Le vers 16 Nouvelle Revue Pédagogique - Lycée / n° 31 / septembre 2008 3/ Les jeux typographiques 4/ L’abandon des formes poétiques traditionnelles 5/ Le poème en prose XXe siècle > p. 23 1/ Le romantisme 2/ Baudelaire 3/ Mallarmé, Verlaine, Rimbaud, Lautréamont 4/ Apollinaire et le surréalisme 5/ La poésie africaine d’expression française 6/ Poètes du signifiant et poètes du signifié V. Envoi > p. 25 Bibliographie > p. 25 > p. 20 09108315_016_025.qxd

Claude Roy : A la lisière du temps 1S3 février-mars 2005 Objet d’Etude : la poésie Séquence n°3 : Les « fragiles instants d’éternité » de Claude Roy Problématique : Quel(s) sens donner au concept de « poésie moderne » ? CORPUS : 1. Lectures analytiques : un recueil poétique : A la lisière du temps (1984) et le Voyage d’automne (1987), de Claude Roy (collection Poésies Gallimard). Poèmes proposés pour analyses par le professeur : « Malade, une sorte de prière », « Un ami », « Adagio

Moyen Âge à nos jours », il s’agit d’ouvrir le champ des connaissances. En prenant « soin de travailler sur des textes différents de ceux étudiés en classe de seconde » et en veillant donc à construire une culture littéraire, « à contextualiser la lecture de la poésie, en donnant aux élèves des éléments de son histoire », les cours n’ont pas à s’enfermer dans une compréhension trop étroite des deux prépositions. Le pur défilé diachronique n’est pas la seule forme d’organisation de séquences problématiques

Descriptif pour les épreuves orales des EAF : session 2011 Etablissement et ville : Lycée français LYAUTEY, CASABLANCA Série et Classe : S 1S6 Nom de l’élève : Séquences | Lectures analytiques : Œuvre intégrale ou Groupement de textes (préciser le début et la fin de l’extrait) | Lectures cursivesDocuments complémentaires et/ou activités communes | Titre de la séquence inaugurale : La poésie, formes fixes et formes libresObjets d’étude : -La poésie-Convaincre, persuader et délibérer :

Roland Barthes : selon lui, l'œuvre doit être abordée en elle-même, pour elle même, dans son rapport au lecteur qui réinvente le sens de l'œuvre qui ne préexiste pas à la lecture. Toute approche historisante est illusoire et réductrice puisqu'elle tend à dire que le sens de l'œuvre est tenu par le texte, alors qu'il est dans la lecture. On reproche aussi à l'histoire littéraire son parti pris : l'historien opère des choix, propose une interprétation, mais rend rarement compte des présupposés, laisse

met sur une fausse piste, tout en nous laissant des indices, à la réelle interprétation du poème. Heureux qui, comme Ulysse Du Bellay Introduction : Joachim du Bellay est un poète français né en 1522 à Liré en Anjou, et mort en 1560 à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes reconnus. De 1553 à 1557, il devient secrétaire du cardinal Jean du Bellay, cousin de son père et célèbre diplomate, avec qui il partira pour Rome

plate sont dévouées, pleines de finesses, enclines à la mélancolie : elles sont mieux femmes que les autres. » (Balzac, Le Lys dans la vallée) Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen (cf. plus tard Baudelaire) sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes

ignorance contre tes inutiles lumières. 1. Comprends. 2. Comme d'un être sauvage ou d'une bête féroce. Montesquieu: «Lettre 24», Lettres Persanes (1721). Dans son roman, Montesquieu imagine deux habitants du royaume de Perse visitent Paris. Par lettres, ils font part de leurs observations à leurs amis demeurés en Perse. Le roi de France est le plus puissant prince de l'Europe1. Il n'a point de mines d'or comme le roi d'Espagne son voisin; mais il a plus de richesse que lui, parce qu'il

LECTURES ANALYTIQUES : « Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage… » Joachim DU BELLAY   (1522-1560) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît