Le Style Dans Tartuffe

dénonce les travers (prétention nobiliaire, place des femmes, mariage d'intérêt...), Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire... Contrairement à la presque totalité des auteurs de comédie de son temps, l'invention dramatique de Molière s'appuie peu sur l'imitation de modèles antiques ou étrangers (italiens

courant et même des fois familier. La dimension morale présente dans la tragédie se retrouve également dans la comédie. Les comédies se moquent en effet des défauts des hommes. Exemple : Quand Molière ridiculise l'hypocrisie des faux dévots dans Tartuffe, il espère lutter contre cette hypocrisie. Conclusion : Le théâtre de Molière est à la fois classique et baroque. c) Le roman : Le roman est considéré comme un genre très mineur à cette époque. La plupart sont d'ailleurs publiés anonymement

Relevé des principaux procédés utilisés : Ce qu’on peut déjà remarquer, c’est que c’est écrit dans un style assez enfantin : le lexique l’est, et on retrouve presque tout le temps le même verbe introducteur de parole « dit ». Des phrases courtes nous montrent une pensée pas très élaborée. En effet, Meursault n’éprouve pas beaucoup d’émotions, et donc n’emploi pas de phrases complexes. Le style reflète tout à fait la personnalité du personnage. VI ' Citations : - « Aujourd'hui, maman

chat par le biais d’une expression figurée : « un chat fourré » désigne aussi un juge. Cette gaieté verbale amuse le lecteur dans ces descriptions animalières, mais aussi dans les dialogues qui composent cet apologue en le rendant plus vivant. * Le style des dialogues traduit une volonté d’égayer la fable en lui donnant un certain charme, un air agréable. *Le Lapin est d’abord un personnage ridicule, mais le ton change rapidement : « O Dieux hospitaliers, que vois-je ici paraître ? ». Cette exclamation

retrouve en effet dans les deux cas la présence d’éléments paranormaux qui intriguent le lecteur. Enfin le lecteur pour être divertit prend du plaisir à lire des oeuvres originales qu’il n’a pas l’habitude de côtoyer. Ces écrits tels de Exercice de style de Raimond Queneau ou encore La disparition de Georges Perec se détachent de la littérature classique. Cependant, ne cherchant pas à instruire le lecteur, ces œuvres le surprennent et le distraient .Le premier raconte de différentes une histoire toute

comme Alexandre, je souhaiterais qu’il y eût d’autres monde, pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses ». On peut donc dire que Sganarelle a été impressionné par les références de Dom Juan, ses hypothèses irréalisables lui sont un effet de style précieux. Dom Juan est capable de reprendre au sens propre une métaphore usée (une catachrèse) et de filer la métaphore guerrière. On peut se demander si Sganarelle est incapable de reprendre le discours de Dom Juan ou s’il fait exprès de noyer la

Notons tout d’abord le contraste entre  la désignation du personnage par Saint et sa conduite à l’égard de Melle Saint Yves qui, par contre,  par sa pureté et son dévouement est en parfaite harmonie avec son nom. Ce contraste nous rappelle d’ailleurs Tartuffe. Le paradoxe source d’ironie est davantage par « M. de » de nature à nous rappeler les noms de la classe aristocratique.  De plus, ne perdons pas de vue la figure oxymorique entre Pou (poux) et ange. Compte tenu de sa théâtralité, non pas ce passage

partage entre les voyages et l’écriture. Ses romans, comme Madame Bovary (1857) et L’Education sentimentale (1869), Témoignent des élans romantiques, tournés en dérision, et de sa vision désenchantée du monde, mais son obsession majeure est le style : il travaille les sonorités et le rythme de ses phrases dans son « gueuloir », rêvant d’un livre « sur rien », uniquement consacré à son culte des mots. Fils spirituel de Flaubert, maître du réalisme, il grandit en Normandie où il assiste à la

introduction 1 I-LES FACTEURS DU DEVELOPPEMENT DES ARTS ET DE LA VIE INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 2 1-La naissance des salons 2 2- Les académies royales 3 II-L’ESSOR DE L’ART ET DE LA VIE INTELLECTUELLE AU GRAND SIECLE 4 1-Le style baroque 4 1-1-Les arts littéraires 4 1-2-Les beaux-arts :l’architecture, la sculpture, la peinture, la décoration 5 2- Le classicisme. 5 2-1-les arts du spectacle : le théâtre, la comédie, la tragédie  6 2-2-Les beaux-arts : l’architecture

comme le résultat de l'évolution - la demande de la tolérance - depuis le 18e siècle - le début du modern style → genres littéraires: tragédie, comédie, poésie lyrique et épique en style du classicisme et pseudo-classicisme - depuis le milieu du 18e siècle, l'esthétique du classicisme se perd peu à peu → Rococo - pour l'intérieur; dans la littérature est caractéristique par le style impathétique, précieux, (souvent les genres moins difficiles à lire) → le grand épanouissement du roman et de