Le Sultan Jacques Prévert

granit de sa peau. Elle rit à la Mort et nargue la Débauche, Ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche, Dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté De ce corps ferme et droit la rude majesté. Elle marche en déesse et repose en sultane; Elle a dans le plaisir la foi mahométane, Et dans ses bras ouverts, que remplissent ses seins, Elle appelle des yeux la race des humains. Elle croit, elle sait, cette vierge inféconde Et pourtant nécessaire à la marche du monde, Que la beauté

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Paroles’’ (1946) recueil de quatre-vingt poèmes de Jacques PRÉVERT Sont cités et commentés : ‘’Tentative de description d’un dîner de têtes à Paris-France’’ (page 2) ‘’Le cancre’’ (page 12) ‘’Chanson des escargots qui vont à l'enterrement’’ (page 13) ‘’La grasse matinée’’ (page 15) ‘’La crosse en l'air’’ (page 16) ‘’Page d’écriture’’ (page 16) ‘’Déjeuner du matin’’ (page 18) ‘’Pour faire le portrait d'un oiseau’’

Lecture et analyse du recueil de poèmes Paroles de Jacques Prévert.    Analyse de la partie 6 : p.176 à 210  Thèmes Barbara (p.206-207) :  La guerre conventionnelle "Oh Barbara Quelle connerie la guerre Qu’es-tu devenue maintenant Sous cette pluie de fer D'acier et de sang"   Effet: Cette citation permet de démontrer un effet tragique et dramatique dans le poème. De plus, on y remarque la nuance avec la guerre conventionnelle avec les bombes, la détresse et la peur. On souligne

On dit que le premier est le mieux observé de tous ; quant au second, je te réponds qu’il ne l’est point ; je te laisse à juger du troisième. Mais, quelques riches que soient ces dervis, ils ne quittent jamais la qualité de pauvres ; notre glorieux sultan renoncerait plutôt à ses magnifiques et sublimes titres. Ils ont raison : car ce titre de pauvre les empêche de l’être. Les médecins et quelques-uns de ces dervis qu’on appelle confesseurs sont toujours ici ou trop estimés ou trop méprisés ; cependant

questions en un travail bien présenté. Deux recueils de poésie amoureuse : - Marceline Desbordes-Valmore, Amours (dans Poésies inédites), 1860 - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou, 1947 Deux recueils de poésie contenant quelques poèmes amoureux : - Jacques Prévert, Paroles, 1946 - Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 et Je cours après mon ombre, 1981Marceline

côté droit. Arthur RIMBAUD (1854-1891) Clair de lune La lune était sereine et jouait sur les flots. - La fenêtre enfin libre est ouverte à la brise, La sultane regarde, et la mer qui se brise, Là-bas, d'un flot d'argent brode les noirs îlots. De ses doigts en vibrant s'échappe la guitare. Elle écoute... Un bruit sourd frappe les sourds échos.

Amours jaunes |pour déplorer qu’il y ait inséré des poèmes humoristiques comme ceux du corpus. | |- Desnos, « Le Bonbon », Corps et biens |Vous rédigerez cette lettre ainsi que la réponse de l’éditeur défendant ses | |- Prévert, « Les Belles-Familles », Paroles |choix. | |HATIER Annabac 2010 |

humoristiques | |- Desnos, « Le Bonbon », Corps et biens |comme ceux du corpus. Vous rédigerez cette lettre ainsi que la réponse de l’éditeur défendant ses choix. | |- Prévert, « Les Belles-Familles », Paroles | | |HATIER Annabac 2010

élégances. Le succès du jeune parfumeur ne cesse alors de croître et de s’affirmer. Le développement de ses produits de soins s’intensifie. Dès 1840, les produits en vogue sont signés Guerlain et s’appellent la « Crème de Concombres », le « Serkis des Sultanes » et revendiquent différents bienfaits pour la peau comme la préservation de l’élasticité, la protection contre les effets du soleil ou l’adoucissement de la peau. Ces revendications sont révolutionnaires pour l’époque et peuvent être considérées

STG 2009 Humour et poésie (L/ES/S – juin 2009) - Marot « Petite Epître au Roi », L’Adolescence Clémentine - La Fontaine, « Le Gland et la Citrouille », Fables - Corbière, « Le Crapaud », Les Amours jaunes - Desnos, « Le Bonbon », Corps et biens - Prévert, « Les Belles-Familles », Paroles HATIER Annabac 2010 L’évocation des souvenirs (STG – juin 2009) - Desbordes-Valmore, « La Maison de ma mère », Poésies ; « « Pauvres fleurs » - Lamartine, « La Vigne et la Maison », Poèmes du cours familier de littérature