Le Surnaturel Au Theatre

colossaux, dans un univers immense où s’exercent encore des forces surnaturelles. Il vise à susciter essentiellement l’étonnement, l’effroi, l’admiration. Appliqué à des thèmes romanesques, théâtraux ou poétiques modernes, il se signale par tous les procédés de l’agrandissement : pluriels, superlatifs, comparaisons et métaphores hyperboliques ; mise en mouvement de foules, espaces aux dimensions cosmiques, évocations surnaturelles. [Exemple auteur : Victor Hugo] Le registre lyrique Le mot « lyrique »

mots importants du sujet. Trouvez l'objet d'étude : « théâtre », « spectateur » le théâtre, texte et représentation. Cherchez sous quel angle précis vous devez aborder ce thème : « illusion », « vérité ». Il s'agit du rapport du théâtre avec la réalité, de l'artifice et de la vérité. Reformulez la question avec vos propres mots, en variant les termes interrogatifs, de façon à vous ouvrir des directions de réponse variées : « Le théâtre est-il éloigné ou est-il proche de la réalité et de

utilisé pour la première fois vers 1320 : « discoure fatals ». Grec tragoîdia, latin tragoedia, composé des mots tragos, bouc, et ôidê, chant ; étym. Controversée. Tragédie liée au culte de Dionysos. Représentations=cérémonies religieuses dans un théâtre en demi cercle, à ciel ouvert. Acteurs masqués, cothurnes, lourd costume. Représentaient illustre infortune empruntée au mythe ou à l'histoire, propre à exciter la terreur et la pitié. Eschyle (V ème siècle av. JC), Sophocle, Euripide. Au XVII

Puisque le théâtre est un genre littéraire, il est forcément une fiction. Le « deus ex machina » qui faisait intervenir un Dieu sur scène pour régler le nœud de l’intrigue fait s’éloigner le reflet de la réalité. Dans certaines pièces, l’auteur imagine des êtres qui n’existent pas comme dans Macbeth de Shakespeare qui met en scène des sorcières faisant apparaître des spectres représentant le roi tué par Macbeth. Molière ne se soucie pas des règles classiques et met en scène dans Dom Juan un autre

Le théâtre de l’absurde Au XXe siècle, le théâtre de l’absurde (terme formulé par l’écrivain et critique Martin Esslin en 1962) est un type de théâtre apparu dans les années 1940, se caractérisant par une rupture totale par rapport aux genres plus classiques, tels que le drame ou la comédie. Il s’agit d’un genre traitant fréquemment de l’absurdité de l’Homme et de la vie en général, celle-ci menant toujours à la mort. L’origine de cette pensée étant sans conteste le traumatisme, la chute de l’humanisme

fait qui excite le rire. Le théâtre n’est qu’illusion. Dans la pièce, il y a deux histoires donc une double illusion. Il y a différentes formes d’illusion dans cette comédie : Se faire illusion à soi-même ; état de l’âme qui fait que nous attribuons une certaine réalité à ce que nous savons n’être pas vrai ; Sorte de fantômes qui flottent dans l’imagination ; fausse apparence que l’on attribuait à la magie. Ces illusions forment une mise en abyme : il y a une pièce de théâtre à l’intérieur d’une autre

sans succès au théâtre Cluny. Le recueil de poésies, Les Musardises (1890), marque son entrée définitive dans le monde des lettres. L'année suivante, sa pièce Les Deux Pierrots est mal accueillie, alors que Les Romanesques, comédie en vers parue en 1894, malgré sa mièvrerie et sa préciosité, séduit néanmoins par sa grâce et son brillant. Cette pièce donne déjà un aperçu du style fantaisiste et poétique qui va s'épanouir dans ses prochaines œuvres. Il remporte enfin un triomphe au théâtre de la porte

basculement de l'ordre logique vers l'absurde. Il s'exprime dans tous les genres littéraires, aussi bien au théâtre que dans le roman ou la poésie. \ -----:.---~--------------'---....,....--------Il suscite une impression de terreur le registre et de fascination devant la force tragique d'un destin implacable qui frappe les personnages. Il s'exprime particulièrement au théâtre à travers des situations extrêmes, marquées par la présence de la mort que le héros tragique ne craint pas

qu’un prologue, les trois suivants sont une comédie imparfaite, le dernier est une tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une comédie. » Il le « fait » d’autant mieux, ajouterons-nous, que la dernière scène, un happy end, consiste en un éloge du théâtre (V, 5). Le vieux Pridamant consulte un magicien, Alcandre, sur le sort de son fils Clindor disparu depuis longtemps (acte I). D’un coup de baguette magique Alcandre met en présence du père et des spectateurs Clindor devenu valet d’un capitaine fanfaron

qu'on retrouve toujours dans les réécritures de Dom Juan: - Héros séducteur - Groupe des femmes séduites - Statue du commandeur, moral, force transcendante, ombre de la mort. II- Place dans l'oeuvre de Molière 1. Créée le 15.02.1665 au théâtre du Palais Royal, exemplier 4. Très grand succès, Molière joue Sganarelle. Mais le parti Dévot( croyant) est contre la pièce et reproche que la morale soit dite par un valet. Peut de temps après la querelle de Tartuffe, considéré comme un faux dévot