Le Système De Retraite Par Répartition Et Par Capitalisation

ROYAUME DU MAROC Direction Générale des Impôts Les dispositions fiscales de la loi de finances 2012 Les dispositions fiscales de la loi de finances pour l’année 2012 s’inscrivent dans la poursuite des efforts de mise en place d’un système fiscal efficace et équitable. Elles visent : la promotion du social ; l’amélioration du climat des affaires ; la mobilisation des recettes fiscales pour financer les dépenses publiques ; l’allègement des obligations fiscales en vue d’améliorer les relations avec

d'une carte de retrait, en général gratuite, permettant ainsi à votre enfant de se familiariser avec les distributeurs automatiques de billets, et le cas échéant d'avoir accès au solde de son compte pour une meilleure gestion. La banque lui enverra d'ailleurs régulièrement des relevés de compte qu'il apprendra à lire et à vérifier. Il vous appartient d'encadrer votre enfant dans son apprentissage, notamment en lui fixant une somme d'argent à ne pas dépasser lors de ses retraits, et en l'accompagnant

COMMISSION ECONOMIQUE POUR L’AFRIQUE LES EFFETS DU SYSTEME DE PROTECTION SOCIALE SUR LA REALISATION DES OBJECTIFS DU MILLENAIRE DE DEVELOPPEMENT : Le cas de la Tunisie. Consultant : ezzeddine M’BAREK , Tunisie, 2010. SOMMAIRE INTODUCTION GENERALE I. EVOLUTION DES INDICATEURS DEMOGRAPHIQUES ET SOCIOECONOMIQUES DE LA TUNISIE II. PRESENTATION DU SYSTEME DE PROTECTION SOCIALE EN TUNISIE 1. L’assurance sociale 1.1. La Caisse Nationale de Retraite et de Prévoyance Sociale (CNRPS) 1.2. La Caisse

moins importants, les prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) deviennent moins élevés (puisqu’ils sont proportionnels aux revenus), par contre, les revenus secondaires (indemnisation chômage, allocations familiales, pension de retraite, revenu de solidarité active) deviennent plus importante du fait de la multiplication du chômage et de la précarité. La baisse des prélèvements obligatoires et la hausse des revenus secondaires ont un effet contracyclique sur l’activité économique

industrielle de textile 2°/ Les société financières ( SF ) : ✓ L’institut d’émission ✓ Les établissements des crédits et assimilés ✓ OPCVM ( SICAV et FCP ) ✓ Les sociétés d’assurance et organismes de retraite primes indemnités cotisations prestations 3°/

d’assurance Au Maroc, l'assurance n'a pas été toujours une culture de nos ancêtres. Pendant longtemps, l'opération d'assurance a été considérée comme immorale car elle développait la négligence et la notion de pari. Elle a été rejetée par le système juridique islamique, hormis les impératifs du développement économique. De même que, le pouvoir d'achat limité de certaines couches de la population qui considèrent l'assurance comme un produit de luxe, réservé aux marocains issus de la classe à revenu

poids assez semblable dans le PIB national ; 1. Les dépenses vieillesses et maladie qui représentent environ 8 à 10 % du PIB. Ces fonctions sont les plus importantes d’un point de vue financier et englobent tout ce qui touche aux pensions de retraite et aux aides santé (mutuelle …). En examinant ces deux courbes séparément on observe une tendance à la hausse pour les dépenses de vieillesse qui vont atteindre les 9.95% en 2003 pour ensuite diminuer jusqu’en 2008 (9.31%) alors que les dépenses

croissance soutenue. Il existe 2 groupes de pays : * les pays riches mais répartition inégale des richesses = Chili qui n’a pas de protection social et a une répartition inégale ; le Brésil > pays dvpé, spécialisation ds l’informatique, 8éme puissance industrielle mais malgré les avancées sociales, 2/3 de la pop est sous alimenté + MST, favelas et répartition inégales des terres ; la Chine 10% C mais répartition des richesses géographiques (littoral.intérieur des terres). * les pays riches

physique du patrimoine immobilisé, des stocks et des autres valeurs d’actif et de passif, - de la pleine propriété des immobilisations, - que les états comptables ont été retraités, chaque fois que cela est nécessaire, pour obtenir une information économique et financière qui répond aux exigences de l’analyse, - que le système de gestion provisionnelle est suffisamment élaboré pour permettre de chiffrer les résultats prévisionnels et les hypothèses des sociétés. Tout diagnostic financier, dans le

Cela suppose de faire l’hypothèse que les agents connaissent leur niveau de vie, que la durée de vie est finie, qu’ils peuvent emprunter. 3 âges de vie : La jeunesse : agent économique est emprunteur La maturité : agent est épargnant La retraite : agent va désépargner Grâce à l’épargne l’agent économique lisse ses comportements de consommation en reportant une partie de la consommation vers une période ou les revenus attendus sont faibles. L’épargne et la consommation dépendent du niveau