Le Temps d'aimer et le Temps de mourir

disant que la discorde des pères sera effacée par son mariage avec Rodrigue. Chimène redoute un duel entre son père et Rodrigue, mais reconnaît que Rodrigue ne saurait laisser son affront impuni. L’infante se propose de garder Rodrigue prisonnier le temps que Don Gomès accepte de présenter ses excuses, de manière à éviter un duel. -Acte 2 Scène 4 - Annonce du duel en cours : un page annonce que Rodrigue et Don Gomès sont allés se battre. Chimène, bouleversée, se retire précipitamment. -Acte 2 Scène

plusieurs raisons, Victor Hugo a fait un très bon choix en écrivant sa pièce ainsi. - J’aimerais bien connaître ces raisons ! - Tout d’abord, il faut voir sa mort comme une forme de sacrifice. Ruy Blas n’est qu’un valet, il ne peut se permettre d’aimer une reine. Leur statut social rend déjà cet amour impossible et condamné à ne jamais être partagé. Sa mort va donc fixer leur amour à son paroxysme pour l’éternité. - La reine aurait très bien pu accepter qu’il soit classé à un rang social en

qu'il n'a pas su saisir. Pour Célie Pauthe , cette conjonction de deux immenses écrivains est plus qu’une adaptation : un entrelacs de leurs thèmes. Tous les motifs durassiens à venir sont là : l’attente vaine, l’absence d’histoire, la difficulté d’aimer, l’homme irrémédiablement séparé du féminin, l’effroi du désir, la peur de la froideur – tout ce qu’elle nommera plus tard la maladie de la mort. Inspirée, une fois encore, par l’intransigeance des écritures et la radicalité des êtres, Célie Pauthe

l'Écossais? (57)10. À qui Alban dira le secret? (59)p. 60-84Compréhension1. Selon vous, est-ce que vous trouvez qu'il y a un rapprochement entre Maybel et Alban? Expliquez en utilisant des élément du texte. (p.62)2. Où est-ce que Alban allait pendant ces temps-libres? Répondez en utilisant une citation du texte. (p.63)3. Qui était l'homme qu'on surnommait «la bête»? Répondez à l'aide d'éléments du texte. (p.64)4. Pourquoi est-ce que les gens comparaient Maybel à sa tante ? (p.65)5. Quelle est la légende

« voyages » et de « poésie ». Alors on en conviendrait que ce n’est pas l’auteur qui en apprend au lecteur sur les poèmes mais que ce sont les poèmes qui en apprennent sur l’auteur. J’avoue que faire un choix entre plusieurs poèmes demande du temps, de la patience, et beaucoup de bonne volonté, car on ne peut pas les départager en fonction de critères arbitraires sur la beauté des vers. Il n’y a aucun critère. Comment alors départager Verlaine de Rimbaud ou Apollinaire de Tardieu ? Et bien on

l'amour, à jamais dans mes yeux tu resteras gravé. Même si on s'est joué des mauvais tours, jamais j'oublierais comme tu m'as aimé... " "Je ne sais plus quoi te dire, quoi t'écrire. J'ai l'impression que quoi je fasse, tu m'échappes. Alors je laisse le temps tout emporter. Nos baisers, nos paroles, nos rires, nos caresses, nos disputes, nos retrouvailles, tout ça deviendront que des souvenirs... Mes plus beaux souvenirs. Car malgré le mal qu'on s'est fait tu m'as apporté tant d'amour. D'ailleurs cet amour

sachiez que je sais. Par dessus tout, je veux vous rappeler vos engagements. Ce que vous aviez promis il y a huit ans, vous ne l’avez pas tenu, vous aviez juré de ne plus tenter de mourir. Plus que jamais, avec la mort de grand-père, ma mère a besoin de vous, mes petites soeurs aussi. Vous n’avez pas le droit de mourir ou de disparaître. Votre pseudo noyade d’hier n’a abusé personne, nous savons tous que vous avez tenté de vous suicider et sans la présence de Giulio sur la plage, vous seriez sans

ma déchirure Je te porte dans moi comme un oiseau blessé Et ceux-là sans savoir nous regardent passer Répétant après moi les mots que j'ai tressés Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent           Il n'y a pas d'amour heureux Le temps d'apprendre à vivre il est déjà trop tard Que pleurent dans la nuit nos coeurs à l'unisson Ce qu'il faut de malheur pour la moindre chanson Ce qu'il faut de regrets pour payer un frisson Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare           Il

- Qu’est-ce y’a ? - J’en sais rien, j’crois que je t’aime c’est tout. - Humm... C’est vrai ? - Ça fait un bout de temps déjà que je sais que je t’aime bien, mais là, j’viens de décider que j’t’aime tout court. [Yes man] Oui je sais ce que c’est d’avoir la sensation de ne pas exister jusqu’à ce qu’il te regarde, qu’il te touche la main, qu’il se moque de toi. Le but c’est que les autres voient que tu es avec lui... tu es à lui... [P.S. I Love You] Et ça va durer très longtemps, et tu sais pourquoi

dans ce vil séjour, Garder ta foi, garder ton âme, Garder ton Dieu, garde l'amour ! Conserve en ton coeur, sans rien craindre, Dusses-tu pleurer et souffrir, La flamme qui ne peut s'éteindre Et la fleur qui ne peut mourir ! «Aimons toujours ! Aimons encore !...», Les contemplations, Victor Hugo, 1856 Commentaire : Ici, le narrateur fait tout d'abord l'éloge de ce qu'est l'amour, ce que l'amour procure comme sentiment. L'amour est majoritairement valorisé