Le Testament d'Orphée

L’intérêt des Livres X, XI, XII Au Livre X apparaît la figure d’Orphée, époux d’Eurydice mais aussi et surtout conteur, chantre et enchanteur : figure originelle du poète inspiré, reprise à toutes les époques dans la poésie lyrique et par l’opéra. Orphée conteur ajoute à la palette très riche de toutes les amours évoquées par Ovide. Le Livre XI fait succéder au récit d’Orphée plusieurs histoires d’amours interdites, sources inépuisables de romanesque pour le théâtre

Welcome à Villefranche, où il est arrivé le 31 décembre, il ne fera que de brefs séjours à Paris. Il écrit Oedipus rex pour Stravinski qui, dès la mi-janvier, en entreprend la musique. Des querelles surviennent avec les surréalistes. La première d’Orphée a lieu le 17 juin au théâtre des Arts. En été, Cocteau est à Villefranche ; Jean Desbordes, qui va devenir un substitut de Radiguet, lui rend visite. Le Rappel à l’ordre, Roméo et Juliette et un album de dessins, Maison de santé, sont publiés. Du

tour attirer Jean Cocteau, qui donna au septieme art des films et des scénarios marquants, parmi lesquels on citera Le Sang d’un poete (1930), L’Éternel retour (1943), La Belle et la Bete (1945), Les Parents terribles (1949),Orphée (1950), Le Testament d’Orphée (1960). Il convient d’ajouter encore a la palette variée de ses talents celui de dessinateur et de peintre. On lui doit, outre des albums, la décoration des chapelles de Villefranche-sur-Mer et Milly-la-Foret. Génial « touche-a-tout »

(1938), Les monstres sacrés (1940), La machine à écrire (1941), Renaud et Armide (1943), L’aigle à deux têtes (1946). Il réalise des films dont les plus célèbres sont La belle et la bête (1946), L’aigle à deux têtes (1948), Orphée (1950) et Le testament d’Orphée (1960). Il est élu à l'Académie française en 1955.

[L'Éternel Retour, Tristan et Iseult moderne (1943), La Belle et la bête (1945)], mais où le poète participait activement au tournage et à la production — allant jusqu'à orchestrer ses mythes personnels en même temps que l'histoire d'Orphée (Le Testament d'Orphée, 1959). Mais les arts plastiques et la musique furent aussi cultivés pour eux- mêmes. Ainsi on vit Cocteau durant les années 20 tenir le piano au Bœuf sur le toit ; après la seconde guerre mondiale, il fit de vastes compositions murales

Enfants terribles (roman), Les Parents terribles (pièce de théâtre de 1938), La Belle et la Bête (film de 1946). Devenu une référence cinématographique, il préside le Festival de Cannes de 1953, puis celui de 1954. En 1960, l'artiste tourne Le Testament d'Orphée avec le soutien financier de François Truffaut. En octobre 1963, apprenant le décès de son amie Édith Piaf, Cocteau est pris d'une crise d'étouffement et succombe quelques heures plus tard[réf. nécessaire] d’une crise cardiaque dans sa demeure

soi-même (livre II), connaissance de la fin des choses (livres III et IV, jusqu'à pr. 5), connaissance des lois qui régissent le monde (fin du livre IV et livre V). Cette conversion est placée sous le patronage de Platon »8. Il s'agit en fait du testament d'un philosophe qui, dans son dernier ouvrage, traite de sujets qui lui tiennent à cœur, et sur lesquels il ne s'était pas jusqu'alors exprimé dans une œuvre, scientifique ou théologique, qui ne les laissait pas prévoir sous cette forme. Ce n'est

Farenheit 451. Il dit vouloir faire un film « indécent, complètement impudique, assez triste, mais très simple ». 3)Dans une scène du film, lorsque Pierre présente le film de Marc Allégret au cinéma de Reims, on peut apercevoir les affiches de Le Testament d'Orphée, de Jean Cocteau qui avait pu être tourné grâce à François Truffaut 4)À sa sortie en 1964, le film a été présenté en compétition au festival de Cannes où il a été très mal reçu. En revanche il a reçu un accueil beaucoup plus favorable en scandinavie

l’œuvre du père, hantées par le souvenir de l’Absente. La mère, chanteuse célèbre et muse du père, pour laquelle il composait alors une œuvre inspirée du mythe d’Orphée : La Joie. Une partition restée inachevée. Un silence de trente ans. Car à la mort de la mère, la joie a déserté le Walhalla. À la manière du dieu terrible de l’Ancien Testament, le père a interdit la musique à ses enfants, la conservant pour lui seul. Le plus jeune fils n’a plus jamais fait usage de la parole, tandis que l’aîné, Pierre

Francine Weisweller lui permet de venir prendre ses quartiers dans une luxieuse villa à Saint-Jean Cap Ferrat, où encouragé par Henri Matisse, il décore la maison. Il y invite notamment Chaplin, Picasso ou Jean Marais. En 1960, il tourne Le Testament d’Orphée soutenu financièrement par François Truffaut. Le 11 octobre 1963, apprenant la mort d’Edith Piaf, Cocteau est pris d’une crise d’étouffement, et meurt quelqes heures plus tard d’une crise cardiaque. Le poète et artiste aux multiples facettes