Le Théâtre Distrait

et mort à Ivry-sur-Seine le 4 mars 1948, est un théoricien du théâtre, acteur, écrivain, essayiste, dessinateur et poète français. L’homme et la mer, 1857 Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable

chutes, des bagarres, des poursuites, des chocs... Les corps, comme les objets, sont brutalisés. Le ton général est celui de la provocation et de la caricature, «Keystone Kops» désignant la caricature de policiers stupides qui poursuivent le héros.Le théâtre de Molière recourt fréquemment au burlesque. Le burlesque naît ainsi du décalage entre le comique et le lyrique ou le tragique ou pathétique. À titre d'exemple, figurent les nombreuses tirades d'Arnolphe (L'École des femmes, 1662, de Molière), qui

le but de le représenter, et que ces horreurs restent dans un cadre imaginaires, plutôt qu’ils ne se produisent dans la vrai vie. B. Soigner le mal par le rire : Molière : MisanthropeCe caractère cathartique se poursuit à travers le temps, dans le théâtre, par le rire notamment. En effet on voit le rire comme une sorte de cure, de remède aux maux de la société. Dans son œuvre Misanthrope, Molière, fait une sorte de thérapie sur les spectateurs et les lecteurs. Cette pièce, traite de 2 personnages,

Le comique dans L'Ile des Esclaves. L'évolution du théâtre au XVIIIe siècle est liée à l'évolution de la société. C'est ainsi que les rapports entre maîtres et valets intéressent les auteurs de pièces tels que Marivaux. Sa pièce, L'Ile des Esclaves, fut représentée la première fois en 1725 et évoque deux couples de maîtres et valets naufragés sur une île gouvernée par d'anciens esclaves. Cette œuvre est en apparence une comédie. Mais n'est-elle que cela ? Nous examinerons dans un premier

la règle des trois unités qui permet au dramaturge d’accroître l’efficacité théâtrale, ou encore les règles de bienséances. Les auteurs se révoltent et ne respectent plus les règles. En effet c’est au XVIIème siècle que Molière écrit la pièce de théâtre Dom Juan, qui est une comédie qui respecte peu les règles de la dramaturgie classique. On ne retrouve pas d’unité de lieu (utilisation de 5 décors : lieux sans véritable cohérence), ni d’unité de temps (la règle veut que l’action dure 24 heures,

discursif (pronom, adverbe, adjectif...) renvoyant à un constituant qui précède et qui est nécessaire à son identification et à son interprétation. Il s'agit avant tout d'un constituant contextuel comme dans: « J'ai vu mon professeur, il avait l'air distrait » (il se rapporte à professeur et ne peut s'interpréter qu'en rapport à ce dernier). On parle plutôt, afin d'éviter la confusion, de relation anaphorique, d’anaphoriques ou de déictiques anaphoriques. De même il existe une typologie d'anaphores différentes

comédienne talentueuse Expression initiale « entrée dans le monde » = monde social = scene de theatre pour elle On distingue des phases d'actions et des phases d'observation = tel un felin elle guette, observe puis test son apprentissage. 1ere personne omnipresente = volonté sans faille Veritable actrice sur sa physionomie : champs lexical des yeux « yeux » « guider les miens à mon grés » « prendre ce regard distrait » L-7 Champ lexical du physique : « figure » « air de sérénité » « expression du plaisir »

 seulement  évoquer)  (/1)     !3)  Quels  sont  les  causes  et  mécanismes  des  crises  financières  ?     -­‐ Précision   description  :   dessin,   troupeau   moutons,   falaise,   homme   distrait   lecture   journal   Bourse,   moutons   surpris   de   tomber  car  ignorent  leur  sors,  se  rattrape  à  une  branche  qui  craque  (/1,5)   -­‐ Pertinence   interprétation  :   comportements  

l'esprit» (clairvoyance / discernement) et «sérénité du coeur» (droiture / élégance / politesse) cad des valeurs de la morale classique.L'extrait analysé lié au livre XI intitulé de « De l'homme » est le portrait de Ménalque, incarnation d'un homme distrait qui en plusieurs saynettes théâtrales le montreen différents moments ridicules.(Ce personnage est identifié sans mal comme la caricature du comte de Brancas dont l'étourderie était légendaires à la cour du roi Louis XIV.)« Enfin il n'est ni présent

n'est pas toujours rose, de la routine, des ennuis et des problèmes de la vie. Cela en laissant aller sa pensée, son imagination. Rien de tel pour oublier les tracas quotidien qu'un bon bouquin distrayant qui nous amuse, nous fait rire. Une pièce de théâtre comme Les fourberies de Scapin par exemple! La litterature nous permet aussi de s'identifier aux personnages ou alors aux situations. Nous nous glissons dans la peau d'un autre, nous vivons ses expériences qui peuvent parfois être impossible dans