Le Théâtre Parle T Il Au Spectateur De La Vie Réelle

LE THÉÂTRE : TEXTE Le théâtre est un phénomène social autant qu'artistique. IL est à la fois un texte, et un spectacle, qui entrent en résonance avec la sensibilité et les préoccupations d'une époque. L'' uvre théâtrale nécessite la "collaboration triple de l'auteur, des interprètes, et du public" (M. Descotes). A chaque représentation, le texte de la pièce peut recevoir de nouvelles significations, à travers le jeu des acteurs, les choix du metteur en scène, et les réactions des spectateurs. 1

classiques de la dramaturgie sont suivies. L’originalité du scénario et du film résident dans sa faculté à mélanger les genres, afin de tromper le spectateur et de le terroriser sans qu’une goutte de sang ne soit versée. 3 1. Analyse de l’intrigue et du rythme Rosemary Woodhouse est une jeune maîtresse de maison, épouse d'un acteur de théâtre, Guy Woodhouse. Le couple s'installe dans un appartement de la célèbre maison Bramford, un vieux bâtiment de Manhattan assez inquiétant du fait de la

essai « Théâtre oriental de Antonin Artaud » (1985) du sinologue, spécialiste de la philosophie de la Chine Ancienne, Vladimir Malyavin qui parlait du rapport entre la conception du vide d'Artaud et la philosophie taoïste. Trois ans plus tard, le philosophe Merab Mamardashvili a donné un discours mémorable – « Comment je comprends la philosophie » à l'Université de Tbilissi. Dans une partie de ce discours il parle de la métaphysique d'Artaud. « Je ne suis pas un spécialiste du théâtre. Quant

le politique I. La désignation des lieux par les personnages spectateurs et leurs mouvements. A. Un subterfuge dramatique habile - Rappeler la mission assignée par Hugo à la dramaturgie romantique (texte 1) - Espace scénique plein, captation de la vie de Florence, lieu du drame - Montrer la construction d’un spectacle dans le spectacle : les personnages de la rue regardent la sortie du bal de la noce - Création d’un effet de réel : la parole est donnée au peuple de Florence à un moment précis

Scapin de Molière, La Locandiera de Goldoni… Le registre tragique veut éveiller chez le lecteur (ou le spectateur, si on a affaire à une pièce de théâtre, un film, etc.) des 'sentiments nobles' : pitié, admiration. Beaucoup de tragédiens désirent que le lecteur trouve un enseignement dans son œuvre. Exemples : Phèdre de Racine, Tite et Bérénice de Corneille, Antigone de Sophocle… Le spectateur peut ainsi atteindre la catharsis (purge des passions), l'élève plutôt la catalepsie. Le registre polémique

renonce. Il ne met jamais les pieds au théâtre jusqu'à l'âge de vingt ans. Il assiste en 1970 à une représentation de "Médée" dans une mise en scène de Jorge Lavelli interprétée par Maria Casarès; c'est un choc. Koltès se met alors à l'écriture théâtrale. En 1997, il publie un long monologue, "La Nuit juste avant les forêts", qui est monté au Festival Off d'Avignon. Ses pièces suivantes seront montées en étroite collaboration avec Patrice Chéreau au Théâtre des Amandiers de Nanterre : "Combat de

amoureuse à la limite parfois du réel, notamment grâce aux procédés expressifs telle l’image visionnaire, le culte des vers libres ou encore des verts courts qui permettent d’instaurer un rythme soutenu, tenant en haleine le lecteur intrigué. II) l’histoire d’un tableau vivant A) Le lecteur : spectateur privilégié Un livre s'adresse généralement à un lecteur attentiste, monotone dans sa lecture. A l'inverse, le recueil d'Alberti lui offre une place de spectateur privilégié. En effet, Alberti a

l'éventuelle fonc¬tion d'exposition de ce passage. I. Le cadre spatiotemporel. Traditionnellement, une exposition théâ¬trale fournit au lecteur, comme au spectateur, des indications relatives au cadre spatiotempo¬rel de l'action. En ce sens, l'ouverture de Rhi¬nocéros reste en partie classique, si on la com¬pare à d'autres pièces du théâtre des années 1950-1960, qui ancrent volontiers l'action dans un temps et un lieu indéterminés. A. Le cadre spatial. 1) Dès la première phrase de la didascalie

DM de philosophie : Sujet : Peut-on reprocher à l’art d’être inutile ? Lorsqu’on parle d’art, il faut distinguer deux de ses significations. La première qui s’apparente à la technique et qui désigne l’habileté à faire quelque chose, et la deuxième ,autour de laquelle le sujet semble tourner, désigne la création esthétique. Quant à « l’inutile », on peut le définir par toute chose qui n’a pas d’utilité, qui ne sert aucun objectif pratique et dont la réalisation peut être considérée comme étant chronophage

peau et qui rêve de s’intégrer à la vie française (convaincre ses parents de fêter Noël, pouvoir entrer au Paradis, aller dans une boîte de nuit). Avec humour, l’auteur traite des thèmes qui lui tiennent à cœur : la discrimination raciale, la recherche d’identité, l’école comme moyen de réussir. Prix Radio Beur,1989. Prix Falep du Département du Gers, 1990. A.Begag, Le Gone de Chaâba Azouz, jeune « gone » (enfant à Lyon) algérien d’une dizaine d’années, narre sa vie au Chaâba, un bidonville au Nord