Le Torrent

c'est pour voir ces cercles qui se forment et qui sont son oeuvre dans laquelle il retrouve comme un reflet de lui même. Cet exemple, pris par Hegel, traduit très bien ce qu'il veut démontrer : l'enfant d’une part pense à jeter des pierres dans le torrent pour voir la réaction de l’eau. Il voit que son environnement réagit à sa pierre donc il existe et il en prend conscience. On retrouve cette même idée dans l’oeuvre de Descartes qui affirme « je pense donc je suis ». Dans cet extrait de Esthétique

vice Est un outrage à la vertu ! Tu t'honores de tant de haine, Tu plains ces faibles coeurs qu'entraîne Le cours de leur siècle égaré ; Et seul contre le flot rapide, Tu marches d'un pas intrépide Au but que la gloire a montré ! Tel un torrent, fils de l'orage, En roulant du sommet des monts, S'il rencontre sur son passage Un chêne, l'orgueil des vallons ; Il s'irrite, il écume, il gronde, Il presse des plis de son onde L'arbre vainement menacé ; Mais debout parmi les ruines, Le

recours à une métaphore : « Je ne suis plus qu’un vieil ours aigri ». Plus tard dans la conversation cela recommence. Il se livre à une série de jurons envers le pourvoyeur de drogue. Une hyperbole est utilisée pour amplifier ces jurons : « le torrent d’insultes ». Bref, on peut facilement déduire que le général Grant est un personnage indécent. Il est subjectif dans ses propos, impétueux dans ses réactions et grossier. Le détective Hercule Poirot fait preuve d’adresse. Il réussi à amener la

manipule cette technique donne une puissance inouie à chacun des coups. Elle est assez puissante pour terrasser Gajil. Lame Flamboyante du Lotus Pourpre : C'est l'une des techniques les plus puissantes de Natsu. Il enflamme ses mains et crée un torrent de flammes dévastatrices sous formes de lames. Elle a été assez puissante pour vaincre Luxus, ainsi que Sting et Rog simultanément. On peut noter qu'elle a même fait reculer Gildarts d'un mètre. Supplice du Dragon et des Dieux : C'est une version

1. Au dessus des nuages il y a un aigle. 2. Sur les hauteurs se trouve une brume transparente. 3. Le long de la rivière est un chemin. 4. Dans le ravin il y a un torrent. 5. Dans la vallée se trouve une cascade. 6. Sur un rocher est la base de l’édifice. 7. Sur ces colonnes se trouve tout l’édifice. 8. Sous le marteau est un feu rouge. 9. Sur la table il y a une soupe bien chaude. 10. Sur son front il y a une sueur froide. 11. Dans ses yeux se trouve la fureur. 12. Dans ses écrits se trouve une

arrêter les effets du temps sur l'homme. On peut voir également que le père est très peu actif dans la fable. C'est un « homme prudent et sage » (vers 21), qui sait qu'on ne peut éviter l'action du temps. Au vingt-deuxième vers, « il laissa le torrent couler » montre bien que le père sait que le temps à fait le malheur de sa fille, et que seul ce temps pourra réparer ses blessures. On peut ensuite regarder la structure de la fable. Elle est structurée en deux parties. Dans la première partie

monter ses sentiments devant sa douce moitié. Les personnages du courant romantique libéraient leurs émotions tout comme les deux amoureux, ils ne se cachent pas leurs sentiments. Comme il est si bien montrer dans cet extrait :’’je me mis à verser des torrents de larmes ‘’. (p.10 l.87). L’auteur démontre par l’hyperbole que Saint-Preux n’a pas peur de pleurer, mais s’il est un homme viril il ne cache pas ses sentiments pour sa bien-aimée. Il y a aucune retenue tout sort naturellement sans aucune contrainte

peuple, voir poétique. En effet le vocabulaire est mélioratif : « élan superbe, irrésistible » l.1 « terriblement grandiose » l.1. La foule apparait comme un tout : les hommes sont comparés grâce aux métaphores selon lesquelles ils seraient des « torrents », l.3, des « flots vivants » l.3, des « masses noires » l.4, une « tempête humaine »l.5, des « bataillons » l.6. Elles procurent sur le lecteur un effet de multitude et de puissance. De plus cette puissance est soulignée par le fait que sa force

magique couvert de bonheur : « solitaires qui aiment à s’enivrer à loisir des charmes de la nature, et à se recueillir dans le silence que ne trouble aucun autre bruit que le cri des aigles, le ramage entrecoupé de quelques oiseaux, et le roulement des torrents qui tombent de la montagne ! ». Ainsi nous avons pu constater que parmi ces quatre extrait, la conception du bonheur est différente mais que certain auteurs on l’a même conception du bonheur. Nous pouvons ainsi voir que La Fontaine et Voltaire

« fiel, bile, horreur, dieux de ma vie » a pour utilité de montrer son désarroi. André Chénier donne un appel au secours, il est emprisonné pour un crime qu’il n’a pas commis. On retrouve le champ lexical de l’espoir, avec au vers 24 l’« un vaste torrent d’espérance le transporte »  et ceci grâce à « vous », ses compatriotes. Nous le voyons également aux vers 22 et 23, « Ressuscite un flambeau mourant, Je souffre ; mais je vis. » Il demande à ce qu’on l’aide. Et pour finir nous le découvrons très