Le Toucher Apprivoisé

étude Le sujet de mon mémoire intitulé « le marché des produits halal » est un sujet qui me tient particulièrement à cœur et auquel je tiens à me consacrer pour cette année. Mes objectifs sont simples : étudier de plus près un domaine qui me touche personnellement dans mon quotidien et auquel j’aimerai apporter mes réflexions. Loin de toutes polémiques religieuses ou politiques, il est important de rester le plus objectif et juste possible lorsqu’il s’agit de prendre en compte un domaine aussi

Guichet Jean Luc Guichet pour son étude : « L’animal familier aujourd’hui : la réduction du domestique à l’apprivoisé » distingue cinq catégories auxquelles sont rattachées les animaux dans notre société : Sauvage / domestique / familier et apprivoisé. - La catégorie sauvage exprime l’animal en dehors du quotidien des hommes et vivant à l’extérieur de la société - La catégorie domestique désigne une espèce dont la reproductivité est maitrisée par les hommes. Ces animaux historiquement et

propre fille, tu auras toujours le sentiment d’un vide, comme un fossé sournois qui t’isole progressivement pour mieux t’exposer aux aléas de ton inadvertance. Avec ces créatures viscéralement hypocrites et imprévisibles, plus tu crois les apprivoiser et moins tu as de chances de surmonter leurs maléfices. Tu réchaufferais une vipère contre ton sein que ça ne t’immuniserait pas contre leur venin. Quant au nombre des années, il ne peut apporter d’apaisement dans un foyer où l’amour des femmes

combien je t'aime, répondis-je. - C'est comparer un arbre à une frêle forêt. » Hésitation « Il est tard, enchaîna-t-il avec des intonations envoûtantes, telle une berceuse soyeuse. Dors, ma Bella. Fais de beaux rêves. Tu es la seule à avoir touché mon coeur. Il t'appartiendra toujours. Dors mon unique amour. » Dans "je l'aimais", il y a "mais". Je serai sincère et tu seras folle, mon coeur sur ton coeur, ma main dans ta main. Donne tes mains, donne ton âme, tes yeux, tes lèvres... je

nous avait arraché tous nos mots. Alors, qu'il soit pardonné pour toutes ses méchancetés passées et futures, Thomas me posa une main sur l'épaule. Et de l'autre il me montra notre nouvelle demeure : un paradis. Une baie bordée d'arbres immenses à toucher le ciel bleu; une eau vert pâle, plus transparente que l'air; une dentelle de corail, au loin, sur laquelle se brisaient en grondant les assauts de la mer. Plus la moindre trace de bateau. Et d'innombrables poissons, les uns petits et blancs, les

en gardant mon sac sur le dos, je lui ai demandé si elle était bien là. - « Dans la chambre ! » me dit elle. « Mais ne fais pas de bruit, elle doit dormir ». Un voile blanc recouvrait son petit lit. J’apercevais ses petites mains, que je n’osais toucher. Elle était encore endormie, j’entendais son souffle fort. A cet instant je me suis demandé, si je ne rêvais pas. Je n’en croyais pas mes yeux. - Est-ce possible ? Me dis-je. Mais oui j’avais bien une sœur. Cela faisait presque dix ans que j’étais

: tu peux l’en avertir. Voyons-la, puisqu’ainsi mon devoir me l’ordonne. Mais quel nouveau malheur trouble sa chère OEnone ? SCENE II - HIPPOLYTE, OENONE, THERAMENE OENONE Hélas ! Seigneur, quel trouble au mien peut être égal ? La Reine touche presque à son terme fatal. En vain à l’observer jour et nuit je m’attache : Elle meurt dans mes bras d’un mal qu’elle me cache. Un désordre éternel règne dans son esprit. Son chagrin inquiet l’arrache de son lit. Elle veut voir le jour ; et sa douleur

mon dessein : tu peux l’en avertir. Voyons-la, puisque ainsi mon devoir me l’ordonne. Mais quel nouveau malheur trouble sa chère Œnone ?7 Scène II Hippolyte, Théramène, Œnone. ŒNONE Hélas ! seigneur, quel trouble au mien peut être égal ? La reine touche presque à son terme fatal. En vain à l’observer nuit et jour je m’attache ; Elle meurt dans mes bras d’un mal qu’elle me cache. Un désordre éternel règne dans son esprit ; Son chagrin inquiet l’arrache de son lit : Elle veut voir le jour et sa douleur

nous avait arraché tous nos mots. Alors, qu'il soit pardonné pour toutes ses méchancetés passées et futures, Thomas me posa une main sur l'épaule. Et de l'autre il me montra notre nouvelle demeure : un paradis. Une baie bordée d'arbres immenses à toucher le ciel bleu ; une eau vert pâle, plus transparente que l'air ; une dentelle de corail, au loin, sur laquelle se brisaient en grondant les assauts de la mer. Plus la moindre trace de bateau. Et d'innombrables poissons, les uns petits et blancs, les

de socialisation. Il intègre plusieurs unités psychiatriques de court séjour suite à des disputes dans des lieux publics. Au niveau de ses droits et prestations, celui-ci bénéficie d’une prise en charge à cent pour cent par la sécurité sociale et touche l’AAH (Allocations pour Adultes Handicapés). Petit à petit, il a du mal à vivre à l’extérieur, son équilibre psychique et son intégration sociale son mise à mal. Après sa quatrième hospitalisation en unité de court séjour, une autre alternative