Le Train bleu

grenade surdimensionnée (et ses grains), le poisson, les deux tigres, l'éléphant aux longues pattes et le fusil. Si on tient compte des codes formes et des codes couleurs, on s'aperçoit de plusieurs choses : Tout d'abord, le fond bleu/blanc : Nous savons que le bleu symbolise le rêve et la sérénité et que le blanc est souvent symbole de pureté, de paix, d'innocence ou de perfection, entre autres choses... Dans ses significations négatives, il représente souvent le néant ou la mort... mais il

Transparences. Quelle est la visée du tableau ? Est-elle parodique ? Plan : I. La composition du tableau II. Interprétation I. La composition de tableau La première chose qu’on observe sur le tableau c’est la couleur : le bleu. Elle saute aux yeux. Mais de ce bleu, le peintre à ajouté d’autre couleurs, majoritairement du rouge, du vert et un peu de jaune. Les deux amoureux s’enlacent. La femme, a des gants peints en verts et rouge alors que l’homme à les mains nues. Et sur sont visage on

panneaux avec une technique mixte. Ce tableau est grand, 240*360 cm, ce qui le rend beaucoup plus réaliste puisqu’il est a la taille du spectateur, qui se retrouve rien qu’au regard plongé dans le milieu urbain. On aperçoit le métro, plus exactement un train du métro ouvert. On ne voit pas le sol, sauf au dernier plan, ce qui rapproche le spectateur de la réalité puisque cela l’incite à entrer. C’est une façon de montrer que nous sommes tous impliqués dans l’urbanisme. Le cadre est très simple

XVIVeme siècle. C'est un paysage : L'artiste a associé une note dans un de ses journaux a propos de cette œuvre: « J'étais en train de marcher le long de la route avec deux amis - le soleil se couchait - soudain le ciel devint rouge sang – j'ai fait une pause, me sentant épuisé, et me suis appuyé contre la grille - il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville - mes amis ont continué à marcher, et je suis resté là tremblant d'anxiété - et j'ai entendu un cri infini

à l’observateur. Il porte un calot bleu à fines ganses rouges. Le visage est long, anguleux, de couleur jaune sur laquelle ressortent les arcs noirs des sourcils, les yeux noirs sans cornée et les lèvres rouges. Le trait caricatural, l’absence d’expression, la cigarette, qui pend des lèvres et n’est pas allumée, lui donne un air désabusé. Le rouge et le jaune des épaulettes, sur lesquelles apparaît le nombre 75, numéro de régiment, tranchent sur le bleu foncé de l’uniforme et mènent le regard

Donlaegos, du vol bleu. Norfendre, terre de désolation, idylle guerrière, lieu de tout affrontement, dans une région au cœur du continent, plus connue sous le nom de Désolation des dragons, la guerre draconique faisait rage, malgré la mort de Malygos, les troupes du vol bleu attaquaient sans relâche, c'était une guerre des plus violentes, griffes et crocs s'entrechoquaient sans répit, et sans pitié. Donlaegos, se tenait là, de marbre, il semblait méditer, sur son anneau tellurique, l'illusion

dominantes sont : le gris, le bleu, le vert (couleurs froides pours représenter la mort) et le rouge et orange (couleurs chaudes pour représenter la violence et l’agressivité) ; Le ciel rouge orangé vient allumer le ciel d’une lueur de fin du monde, d’apocalypse, accompagné de jaune qui représente la fin de la souffrance, c’est-à-dire la mort (mais qui elle est comme une mort voulu, souhaité par les prisonniers) On peut imaginer que ces personnes sont descendu du train, qu’il les a apporté ici, il

invite le spectateur à entrer dans l’espace du tableau. La circularité de l’espace est accentuée par la forme du temple située au-dessus. La vierge est la personne représentée en rouge et bleu. Mais pq a-t-il choisi ses couleurs, quelle symbole on t elle ? Le rouge est le symbole de la compassion et le bleu le symbole de la virginité. En face d’elle se trouve un homme, joseph, qui lui passe l’anneau, symbole de leur mariage. On remarque aussi que l’œuvre est symétrique puisqu’il y a les hommes

maison. Elle m’avait assise de force sur mon lit, et après m’avoir fait essayer un million de tenue toutes plus ridicules les unes que les autres. Elle avait finalement opté pour une robe légère en satin bleu électrique, très courte et au décolleté plongeant. Avec un sourire triomphant, elle m’avait trainé dans la salle de bain où elle m’avait tartinée de crèmes aux odeurs et couleurs différentes. Je trouvais cela ridicule, mais, bien sûr, elle avait fais la sourde oreille à mes protestations. Contente

Quand Daniel est arrivé, c'était sûrement la nuit, à bord d'un long train de marchandises qui avait roulé jour et nuit pendant longtemps. Les trains de marchandises circulent surtout la nuit, parce qu'ils sont très longs et qu'ils vont très lentement, d'un noeud ferroviaire à l'autre. Daniel était couché sur le plancher dur, enroulé dans un vieux morceau de toile à sac. Il regardait à travers la porte à claires-voies, tandis que le train ralentissait et s'arrêtait en grinçant le long des docks. Daniel