Le Train bleu

qui atteint à l'expression idéale de l'​ humanisme​ dans l'art, s'accomplit à merveille le ​ classicisme de la seconde​ Renaissance​ . IL avait aussi des talents de coloristes Theme de l’oeuvre: Sur la fresque nous pouvons voir Pythagore qui est en train de lire , Aristote au centre Platon est a coté de lui. L’artiste s’inspire de Michel Ange Les personnage sosnt habillés avec de riches vetements ils sont tous en activité. les objets present sur le tableau sont tous liés avec l’humanisme compas livre

d'arriver et semble s'avancer vers la vierge. Marie en face est assise avec un livre sur ses genoux qui sant doute la bible. On peut voir qu'elle est habillée d'un manteau bleu. Marie fait un signe de la main droite, cela pourrait nous laisser penser qu'elle est surprise lors de l'arrivée de l'ange Gabriel, alors qu'elle était en train de lire. Ou bien qu'elle fait ce signe pour bénir l'ange Gabriel. Les personnages sont placés dans un plan central de face, devant des colonnes qui se prolongent dans

personnage; il est intéressante de noter qu'aucun des deux nous regardent directement, ce qui rend le scène encore plus vivante et réaliste. Le docteur: qui nous tourne le dos. Il est reconnaissable à sa blouse blanche, et à l’opération qu'il est en train de faire. Sa tenue est celle des médecins des années 50. L'enfant: qui est un garçons d'environ 6-7 ans, est de profil. Il est a moitier dévêtu, ses vêtements sont ceux aussi typique des années 50 et de la classe moyenne américaine; Ils nous donnent

Commentaire organisé Maupassant, incipit du Horla Cet extrait de l’incipit du Horla se situe au tout début du Horla de Maupassant (l’incipit vient d’une formule latine « l’incipit liber » qui signifie : le livre commence) Il existe deux versions de cette nouvelle, la première datant de 1885 et la seconde de 1887. C’est une nouvelle fantastique de Guy De Maupassant, présentée sous la forme d’un journal intime : les dates ici 8 mai et 12 mai ancrent le récit dans le réel et la première

.......... Départ L’horizon s’incline Les jours sont plus longs Voyage Un cœur saute dans une cage Un oiseau chante Il va mourir Une autre porte va s’ouvrir Au fond du couloir Où s’allume Une étoile Une femme brune La lanterne du train qui part P. REVERDY (1889-1960), in J. Charpentreau « Poèmes d’aujourd’hui pour les enfants de maintenant » (Éd. Ouvrières) Route Nationale 7 De toutes les routes de France, d’Europe Celle que j’préfère c’est celle qui conduit En auto,

voit-on ? Une personne qui est en train de faire son portrait tout en regardant la glace. En bas à droite il y a une poubelle avec des allumettes. Sur le tableau de son portrait il y a des autoportraits de grands peintres européens ( Dürer, Rembrandt, Picasso, Van Gogh). En haut de la glace il y a le pygargue des Etats Unis d’ Amérique. Sur le tabouret qui soutient la glace, il y a un livre et un verre rempli. Le peintre est assis sur un tabouret portant une chemise bleu et un pantalon gris. Les principales

L'artiste l'a nommé « le cri ». L'artiste a associé une note dans un de ses journaux a propos de cette oeuvre: « J'étais en train de marcher le long de la route avec deux amis - le soleil se couchait - soudain le ciel devint rouge sang – j'ai fait une pause, me sentant épuisé, et me suis appuyé contre la grille - il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville - mes amis ont continué à marcher, et je suis resté là tremblant d'anxiété - et j'ai entendu un cri infini

a Metz.. se dispersent. Iconographie Homme assis en train d'ecrire sur un codex (support privilégié depuis le début du moyen age). Il est habillé a la romaine (drapé, sandales, imberbe, cheveux mi-longs). Personnage qui renvoie a une tradition greco-romaine. Assis sur un siège bas sur un coussin pourpre (couleur impériale). Il écrit sur un codex qui est sur un pupitre. Il tient une plume et un encrier (corne). Il est en train d'écrire. Il placé dans la nature → paradoxal car on écrit

aux bateaux. Les couleurs principales de cette peinture sontle bleu et le blanc et du jaune-brun. Le bleu utilisé est le Bleu de Prusse qui est une couleur récemment importée au Japon en 1831. Le mont Fuji, situé au centre de l’œuvre ressort grâce à uneopposition de couleur, le mont est majoritairement blanc et le ciel qui l’entoure est plutôt sombre. Lorsqu’on regarde la peinture, on peut avoir l’impression que l’eau est en train de bouger, on peutressentir de l’agitation dans cette œuvre. Les

impressionniste en avril 1877. Dans la série de la Gare Saint-Lazare , il y avait sept toiles sur ce thème. Émile Zola rendait un hommage à cette séries: «Monet a exposé cette année des intérieurs de gare superbes. On y entend le grndement des trains qui s’engouffrent, on y voit des débordements de fumé qui roulent sous les vastes hangars. Là est aujourd’hui la peinture... Nos artistes doivent trouver la poésie des gares, comme leurs pères ont trouvé celle des forêts et des fleuves.» («Une exposition: