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Horace de s’amuser avec des femmes mariées. Horace, fier de lui, lui explique que c’est ce qu’il fait avec une jeune fille du nom d’Agnès, pupille d’un Monsieur de la Souche. Acte II Arnolphe en colère, gronde les domestiques qui ont mal fait leur travail. Mais sa pupille va le rassurer sur sa relation avec Horace. Arnolphe lui annonce donc l’avancement du mariage. Celle-ci est tout heureuse à l’idée d’épouser Horace. Mais il va vite la détromper en lui disant qu’il s’agit de leur mariage. Acte III

sous couvert d’un duel. Cet homme est le prototype du père indigne qui a refusé de reconnaître sa fille. « Son histoire eût fourni le sujet d’un livre. Son père croyait avoir des raisons pour ne pas la reconnaître, refusait de la garder près de lui, ne lui accordait que six cents francs par an, et avait dénaturé sa fortune, afin de pouvoir la transmettre en entier à son fils. » Ce riche banquier est à l’opposé du Père Goriot qui ne vit que pour ses filles. C’est un homme insensible, un bourgeois affairiste

Philosophie : Travail pour le 6 avril I) Présentation rapide de l’auteur (prise sur internet) : Jean-Paul Sartre est un écrivain de langue française, philosophe engagé dans le siècle, également dramaturge, romancier, nouvelliste et essayiste. Né le 21 juin 1905 à Paris, il est mort le 15 avril 1980 dans cette même ville. Ecrivain prolifique, il est autant connu pour son œuvre, et notamment sa philosophie appelée l'existentialisme, que pour son engagement politique à gauche1. Sartre était

Mensonge–Vérité- Ethique « Un homme est toujours la proie de ses vérités » Albert Camus "Pour examiner la vérité, il est besoin une fois en sa vie de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut." René Descartes (1596-1650) La vérité par les photos Il s'agit ici de poser la question de la vérité en partant de tout ce qui passe pour vrai ou pour évident. Nous nous appuyons sans cesse dans nos pensées, dans nos propos et dans nos actions sur un certain nombre de "vérités"

et libre ; juge infaillible du bien et du mal ». Celle-ci permet donc de donner un sens à ce que nous sommes, ce qui nous arrive et de ce qui nous entoure. Cependant la conscience moral a constamment besoin d’être « nourrit » d’où l’expression « travailler à bien penser » de Pascal dans Pensées. Celle-ci apparait donc comme nécessaire à la constitution du sujet, qui plus est du sujet moral. Nous pouvons encore citer les lignes 2 et 3 pour appuyer l’idée de Rousseau. Seulement faut-il encore que notre

moderne et des théoriciens comme Hegel et Marx qui distinguent la société civile et l’Etat. Et par conséquent la société civile devient un lieu de libéralisme économique ou les individus cherchent a satisfaire leurs besoins par le travail chez Hegel et celui de la vie, du travail, des forces productives chez Marx. En revanche, même si les usages de la société civile changent par rapports aux siecles et aux théoriciens, on ne cesse jamais de parler des rapports de force entre le dominant et le dominé

"goût" pour les objets culturels ? L’enjeu est immense parce qu’au fond il s’agirait de savoir si on peut transformer une œuvre pour la rendre divertissante et donc accessible à tous , quel que soit son niveau de « culture » , sans pour autant la dénaturer ni la détruire . Les étapes du texte sont les suivantes : Dans un premier moment , l’auteure expose le problème de l’industrie des loisirs : satisfaire une demande illimitée qui conduit les producteurs de cette industrie à exploiter tous les

  D’où viennent nos difficultés qu’on éprouve à communiquer avec autrui ? Pourquoi la question se pose-t-elle ? Il apparaît, en effet, que l’homme est un être social : je suis fait pour vivre avec l’autre, j’ai besoin de lui pour partager le travail, les émotions, le plaisir et la peine, ou même simplement mon sentiment d’exister. Pourtant, des faits innombrables prouvent combien la cohabitation est désespérément difficile : depuis les conflits entre les individus jusqu’aux guerres entre les

réalisateur, sataniste convaincu, gay, inventeur du Hollywood trash, et surtout l’une des figures les plus importantes du cinéma underground américain. Un homme qui préfère se définir comme un Mage des images plutôt que d’être rangé sous l’appellation réductrice de réalisateur. Pour lui le cinéma est un rituel magique en relation avec Lucifer. Son travail ce base sur les expérimentations, de l’image, de la lumière, et du son afin d’inventé un cinéma sensorielle a travers ces films « poétique ». Kenneth

levier de «maniement des esprits» - le mot est de Guizot – afin de renforcer sa propre légitimité symbolique. Enfin, pour l’Etat, commémorer peut également signifier s’inscrire dans une tradition qu’il rejette alors qu’il entend s’appuyer sur un «homme nouveau». Face à «l’orgueil du Moderne» (P. Manent) qui envisage de plus en plus sa destinée individuelle et collective en direction du futur, en rupture avec la tradition, la commémoration serait le vestige surrané d’une société arrimée à «un passé