Le Travail Plaisir Ou Nécessité

physiques, soient à l’aise avec leur corps afin qu’ils puissent évoluer sereinement dans la vie de l’école et dans la société. Naturellement les enfants prennent plaisir à bouger, à jouer ensemble ; l’école se doit de répondre à ce besoin. Par un entraînement régulier, l’enseignant doit montrer qu’avec de la persévérance mais aussi grâce au plaisir du sport, chacun est capable de progresser, « d’apprendre à mieux se connaître, à mieux connaître les autres et aussi et surtout à veiller à sa santé ».

permettrait de se divertir et d’en tirer un plaisir. Les humains sont capables de jouer car ils sont doués de raison,

possible qu'au delà du domaine du travail? ____________________________________________________________ _______________________________________ ____________________________________________________________ _______________________________________ Depuis le début de son existence, l'homme a toujours travaillé. Chaque époque de l'histoire est marquée par une forme différente de l'évolution du travail, visant au même dessein: répondre à ses besoins. En effet, le travail désigne l'activité dont le

et source de plaisirs. D’où l’idée d’un millénarisme technologique dès le XVIIème siècle : Descartes ou Bacon avec l’utopie techno-scientifique de la Nouvelle Atlantide 1. on peut penser qu’il y a des conditions objectives (santé) et minimales pour bien vivre. Ces conditions font que le monde répond à nos besoins naturels, s’accordent avec eux. Le progrès technique facilite cela, nous met à l’abri du besoin et nous libère en quelque sorte des nécessités naturelles et du travail qu’elles exigent

majorité, vers l’âge de 22/23 ans, le plus souvent après les études. Mais le processus psychique adolescent, lui, débute avec la puberté. Il se découpe en 2 temps : jusqu’à 16 ans environ, le travail d’adolescence est essentiellement centré sur le deuil de l’enfance ; à partir de 16/17 ans, le travail d’adolescence vise surtout à la construction de la personnalité adulte. Celle-ci ne sera véritablement structurée qu’à l’âge de 25 ans (distance entre les générations). On ne peut donc pas dire

civilisation ; l’auteur nous décrit sa perception du bonheur ‘ la recherche du plaisir chez l’homme . on dit que le bonheur est également un état de la conscience pleinement satisfaite . il s’agit alors du bien-être . pour FREUD le bonheur à deux faces «  un but positif et un but négatif , d’un côté éviter douleur et privation de l’autre rechercher de forte jouissance «  L’auteur pense que l’homme recherche le plaisir pour déterminer le but de la vie . Mais est-ce que le bonheur pour l’homme est-il

Désintéressé: l'œuvre d'art de qui possédé ce qui peut servir. Lorsque j'admire une peinture qui est monotone, qui représente une nature morte, ce n'est jamais par plaisir intéresser de m'emparer des fruits et légumes représenté enfin de les manger Qui plait: parce que l'œuvre d'art est la source d'un plaisiresthétique c'est à dire un plaisir de la sensibilité (Esthétique= ce qui relève de la sensibilité; l'esthétique est aussi la science philosophique, la discipline philosophique qui a pour objet

qu'auraient un affranchissement définitif du travail par l’automatisation de la production. Cependant le sens qu'a pris le travail pose problème dans notre société postmoderne. Infiniment plus que dans une société où par exemple, la religion avait une place beaucoup plus importante et un pouvoir beaucoup plus puissant sur les sociétés. L'occident n'a cessé depuis – d'inculquer aux masses une définition qui vend le travail comme une, ou plutôt comme la, grande nécessité à la vie, de même que les certains sociologues

besoin, d'une part, de la pulsion, de manière plus ambiguë, cependant, d'autre part. Les besoins renvoient à la nature biologique de l'être humain (cf. le vivant.) Il y a là un ensemble de nécessités naturelles : boire, manger, dormir. Celles-ci ne sont absolument pas différenciées ou singulières. Ces nécessités sont semblables pour tout individu de l'espèce. Les pulsions, quant à elles, relèvent de la théorie de l'inconscient, en particulier de celle de Freud (cf. l'inconscient). Ce sont des forces

plus sur les épaules des ainés : le travail. Sur une conception de l’enfant comme un être innocent, inconscient du monde qui l’entoure et de la place qu’il devra y prendre, on pourrait soutenir la thèse selon laquelle ils doivent être exclu du monde du travail, et être laissé aux joies du jeu, de la découverte gratuite et oisive du monde. Cependant, à cette vision, s’opposent ceux qui pensent que si le futur adulte doit être avant tout marqué par le travail, alors c’est dès l’enfance qu’il faut