Le Vampire

Sujets :​  Ce sont 2 enfants qui se voient pendant halloween. Les 2  marionnettes se disputent et se lancent dans une grande course aux  bonbons.  Spatio­temporel : ​ Le 31 octobre 1814 à Amityville.  Personnages :​  Marionnette Dragomire :­Costume de vampire                                                                      ­Chiant mais adorable des fois                            Marionnette Pimkie loli :­Costume de zombie                                                                       ­ Adorable

la nouvelle de Claude Seignolle) Objectif de la séance : Construire la notion de genre fantastique et comprendre la mise en œuvre de ce registre... 2324 Mots 10 Pages Mythes vampires nombreuses series et livres en repris ce mythe ( Buffy contres les vampires, Angel,twilight ,Vampires Diaries ,True Blood...) II Les loups-garous et les anges 1les loups-garous A origine du mythe et du mot Les plus anciennes mentions de lycanthropes connues sont issues des traditions grecques

ses décors étranges et déformés (Le cabinet du Docteur Caligari, Robert Wiene, 1919), ses personnages tourmentés et excessifs : des criminels comme Mabuse, toutes sortes de monstres (Le cabinet des figures de cires, Paul Leni, 1924 ; Nosferatu, le vampire, Murnau, 1922). Entre 1931-1939 aux Etats-Unis, c'est l'âge d'or du cinéma fantastique américain. On assiste à l'avènement des grands mythes inspirés des classiques de la littérature de l'étrange (Docteur Jeckyll et Mister Hyde, Stevenson, 1913 ;

envoutent les marins grâce à leur voix ou alors les chauves souris car d’après la légende européenne, elles peuvent se transformer en vampires qui eux sont des êtres imaginés par des gens suspicieux qui s’attaque aux êtres humains pour les transformer en leur suçant leur sang. Ce sont des êtres forts. Mais c’est monstres comme les momies, les sirènes et les vampires ne sont pas poussiéreux car on les retrouve dans des récits ou des films et existent depuis des siècles. II. Les monstres d’aujourd’hui

= « Hymne à la Beauté » Banal et laid = « L’Huître », « Les Usines », « La Gare de Choars » La méchanceté/viles = « L’Ennemi », « Le vampire », L’albatros » Femmes mauvaises/viles/ambivalentes/double face = « Le Vampire », mythe de Salomé (Hérodiade) ALCHIMIE POETIQUE « La boue et l’or » => transformer le laid en idéal XIXe siècle = Romantisme (Victor Hugo) ≠ Parnasse FAIRE UNE TRANSITION HAUTE ET BASSE : I :

trouve qu'elle est insensible au froid, elle «sent bizarre» comme dit Oskar, elle vomit la sucrerie qu'il lui avait gentillement offert, une trouve très vite une explication ; elle se nourrit et s'abreuve exclusivement avec du sang humain ; c'est une vampire. Les deux enfants se lie d'amitié et communique grâce au morse a travers les mur de l'HLM. IV.ANALYSE DU FILM Morse, le titre du film, nous donne seulement un aspect un film qui est pourtant lié a tout. On arrive a nous intrigué

Alchimie de la douleur » + « Au lecteur » strophe 3 (p.16) + projet d’épilogue pour la deuxième édition des Fleurs du Mal (voir séance 2) Thème en lien avec les motifs de l’occultisme et du fantastique, fréquents dans le recueil : poèmes « Le vampire », « Le possédé », « Un fantôme », « Le Revenant », « Sépulture », « Une gravure fantastique », « Les litanies de Satan ». II. la boue, élément matériel et moral La boue comme élément matériel : • en lien avec l’état d’esprit du poète (paysage

Sphinx : o Le jeune : "une tête et une poitrine de femme et qui couche avec les jeunes gens" ; fantasme : "on le rencontre, on le regarde et on meurt d'amour". o Le soldat cherche une explication rationnelle : "c'est un fléau public", "c'est un vampire", "c'est pourquoi on rapporte aux familles des Maccabées avec tous la même blessure, au même endroit : au cou". => Le Sphinx est ce qui fait peur. II) Une scène d'exposition surprenante et originale On s'attend à un registre tragique mais on a

du diable que l’on connait présentement sans pourtant ne l’avoir jamais vu. Aussi, ils croyaient intensément en l’existence du démon et l’associaient certains mythes maléfiques à certains animaux, par exemple, la chauve-souris étaient associés aux vampires, un démon qui se nourrit de sang humain; Ils associaient généralement le corbeau aux malheurs c’est-à-dire si quelqu’un rencontrait un corbeau sur son chemin, cette personne aurait une forte possibilité de chance qu’un malheur s’abat sur elle. Ainsi

l’œuvre intitulée The Stumbling Block. Puis suivront Dead Troops Talk (A vision after an ambush of a Red Army patrol, near Moqor, Afghanistan, winter 1986) (1992) et The Giant (1992). L’artiste voit avec la réalisation de ces œuvres ainsi que The Vampires’ Picnic (1991) l’occasion de développer une sorte de comédie philosophique (7). Fables morales, en quelque sorte, les compositions manifestent ainsi une certaine distanciation — sous le couvert du grotesque et de l’humour — par rapport à une réalité