Le Vent dans les saules

 miradors,  les  sentinelles,  et  plus   loin  la  campagne,  ces  champs  qu’on  voyait  le  jour  et  qui  faisaient  onduler   avec   une   irréelle   insolence   leurs   blés   sous   le   vent,   les   houppes   des   bosquets   de   bouleaux,   le   bruit   de   la   grande   rivière   qui   coulait   son   eau   d’argent,  toute  proche.   Moi,  en  vérité  j’étais  loin  de  ce  lieu

publier sous le titre Le Vent du Rhin. Le projet enrichi par les expériences du poète et distillé donnera par la suite Eau de Vie et finalement Alcools. Les Rhénanes sont imprégnées de merveilleux. Pendant son séjour en Rhénanie, Apollinaire a découvert, la mythologie Allemande qui l’a fasciné. Dans Mai, le paysage riche de vignes, d’osiers et de rosiers prend vie. Les pétales tombés des cerisiers deviennent « les ongles de celle que j’ai tant aimée » tandis que les saules riverains pleurent. Comme

milliards d’années. II – Etude des poèmes Mai et Le Pont Mirabeau A) Mai Mai Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s'éloigne Qui donc a fait pleurer les saules riverains Or des vergers fleuris se figeaient en arrière Les pétales tombés des cerisiers de mai Sont les ongles de celle que j'ai tant aimée Les pétales flétris sont comme ses paupières Sur le chemin du bord du fleuve lentement Un ours un singe

surprise par MM qui n’en comprend pas le sens (94), faute d’entendre la voix de l’ombre). ⇒une légère progression dans les évocations : la défunte ne parle pas tout d’abord, puis parle d’abondance, enfin semble elle-même décliner...(91) ⇒l'eau, les saules ne sont pas sans rappeler évidemment Homère et Virgile. ►finalement un phénomène rare en deux sens du terme: peu fréquent et dont  le traitement frappe par son absence d' éclat. •un traitement étonnant par le style et le ton employé: il s’agit

Collant leurs petits museaux roses Au treillage, grognant des choses Entre les trous, Tout bêtes, faisant leurs prières Et repliés vers ces lumières Du ciel rouvert, Si fort qu'ils crèvent leur culotte Et que leur chemise tremblote Au vent d'hiver. Dans ce poème, Rimbaud s’apitoie sur le sort des enfants pauvres livrés à eux même. Il met en scène cinq jeunes enfants de la rue, totalement en proie au froid et à l’injustice de la société. En effet, ils sont « pleins de givre » et le

il dessine tous les personnagesf 1,a 5. Pendant toute sa scolarité, Lennon est meneur et turbulent et se bagarre sans cesse, aussi bien avec les autres enfants de son école que ceux de son quartier. Il explique par exemple : « J'adorais Le Vent dans les saules. Quand j'avais lu un livre, il fallait que ça devienne vrai. C'est pour ça que je voulais être meneur à l'école. Pour que les autres jouent les jeux qui me plaisaient, comme dans ce que je venais de lire »a 5. S'il oublie assez vite son père

Georges 40 avenue Pasteur 62 rue Anatole Ginette France Mathieu 111 rue Renoir 216 boulevard des Karine ponts 46 place Pierre Clémenceau Marie 12 rue Cassis Fahima 24 rue des abeilles 305 avenue de Silvia Grammont 32 place Sylvain d'Austerlitz 3 rue des saules Mireille pleureurs 24 rue de la Cédric Fontaine 12 place Cécile Baudelaire Prénom Guy CP 37000 Ville Tours Date achat 03/09/2006 14/05/2007 01/02/2007 18/04/2006 07/02/2006 18/07/2006 01/06/2006 14/09/2007 28/03/2007 02/06/2007 31/03/2006 21/02/2007

intégrée au fonctionnement tragique par Jacques Scherer, La dramaturgie classique en France, Paris, Nouvelle édition , Bibliographie revue et corrigée par Colette Scherer, Nizet, 2001. 2 Jean de La Taille, De l’art de la tragédie, in Saül le furieux. La famine ou les gabéonites, Paris, Edition critique avec introduction et notes par Elliott Forsyth, Librairie Marcel Didier, 1968, p. 4. 3 Aristote, La Poétique, Texte établi et traduit par R. Dupont-Roc et J. Lallo, Paris, Seuil, 1980

Promène un songe dans l’espace ; Jusqu’aux frontières des Sargasses, Elle aimera dans ton miroir. Tu roules les saisons du cœur, Belle avalanche des vallées, Neige lascive délivrée Des hauts sommets de ton bonheur. Tu viens de plus loin que le vent, Que l’ombre et ses troupeaux nomades ; Mais tu sais bien que ta croisade Est vanité sur l’océan. Au pied d’un saule, ô simples eaux, Rêvez quand même de vaisseaux. Edmond VANDERCAMMEN, L’Étoile du Berger, in Le Livre d’or des poètes (tome

charmes divins L’équateur et le pôle arctique. Voltaire, Stances Sensation Par les soirs bleus d’été, j’irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l’herbe menue : Rêveur, j’en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l’amour infini me montera dans l’âme, Et j’irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, - heureux comme avec une femme. Arthur Rimbaud, Poésies Élévation