Le Vent Nocturne Apollinaire Cache

les quais d'un pas hâtif. Une bruine froide mouillait l'atmosphère. Des passants noirs, obombrés1 de parapluies difformes, s'entrecroisaient. La Seine jaunie charriait ses bateaux marchands pareils à des hannetons démesurés. Sur les ponts, le vent cinglait brusquement les chapeaux, que leurs possesseurs disputaient à l'espace avec ces attitudes et ces contorsions dont le spectacle est toujours si pénible pour l'artiste. Mes idées étaient pâles et brumeuses ; la préoccupation d 'un rendez-vous

--------------------------- ‘’Le temps des flamboyants’’ «Le poète a enfin choisi sa route par ce matin où il y a des flamboyants dans tous les yeux il a pris sa revanche contre la tête hideuse du monde De toute sa colère empruntée au vent d’août il a fracassé la boîte osseuse de ce siècle fou ô délices du poète devant ce rouge réveil des hommes -------------------------------------------------------------------------- Ce matin il y a des flamboyants autour de mes pensées

Cocteau ] "Les deux mots les plus beaux de notre vocabulaire sont 'cheque joint'." [ Dorothy Parker ] "Je fais un nœud à mon mouchoir pour me rappeler que j'existe." [ Alexandre Arnoux ] "J'ai tout donné au soleil, tout, sauf mon ombre." [ Guillaume Apollinaire ] "Présage. Signe que quelque chose arrivera si rien ne se passe." [ Ambrose Bierce ] "On n'a quand même pas pris la Bastille pour en faire un opéra !" [ Pierre Desproges ] "Pourquoi n'entend-on jamais parler de l'imbécile malheureux ?" [ Jean Dion

Cocteau ] "Les deux mots les plus beaux de notre vocabulaire sont 'cheque joint'." [ Dorothy Parker ] "Je fais un nœud à mon mouchoir pour me rappeler que j'existe." [ Alexandre Arnoux ] "J'ai tout donné au soleil, tout, sauf mon ombre." [ Guillaume Apollinaire ] "Présage. Signe que quelque chose arrivera si rien ne se passe." [ Ambrose Bierce ] "On n'a quand même pas pris la Bastille pour en faire un opéra !" [ Pierre Desproges ] "Pourquoi n'entend-on jamais parler de l'imbécile malheureux ?" [ Jean Dion

l’ensemble de l’œuvre (« Un cœur simple » de Flaubert ; La Vénus d’Ille de Mérimée ; Le Comte de Monte-Cristo de Dumas, en version abrégée ; Les Misérables de Hugo, en version abrégée ; On ne badine pas avec l’amour de Musset ; Des troubadours à Apollinaire, une anthologie poétique) ; – des lectures cursives : « la lecture cursive est une lecture personnelle de l’élève, en dehors du temps  scolaire, mais le plus souvent en rapport avec le travail conduit en classe » (BO du 28.08.2008). Un choix de

Alcinoos demande à Ulysse si vivent chez Hadès des guerriers grecs, compagnons d’Ulysse, morts à Troie. L’approvisionnement est essentiel, comme le vent, pour une bonne navigation : «Dans le bateau, elle posa une outre de vin noir et une autre plus grande d’eau ; puis, dans une besace, les vivres et autres mets en suffisance ; elle fit se lever un vent inoffensif et doux. » (V, v. 265-268) Ulysse s’éveille près du fleuve où il s’est endormi après la tempête à cause de Nausicaa et de ses suivantes

Alcinoos demande à Ulysse si vivent chez Hadès des guerriers grecs, compagnons d’Ulysse, morts à Troie. L’approvisionnement est essentiel, comme le vent, pour une bonne navigation : «Dans le bateau, elle posa une outre de vin noir et une autre plus grande d’eau ; puis, dans une besace, les vivres et d’autres mets en suffisance ; elle fit se lever un vent inoffensif et doux. » (V, v. 265-268) Ulysse s’éveille près du fleuve où il s’est endormi après la tempête à cause de Nausicaa et de ses suivantes

du livre écrit par Colette, Willy acheta, dans le Jura, au-dessus de Besançon, le parc et la maison des Monts-Boucons, «mon cadeau pour nos sept ans de mariage». Elle écrivit : «Il y a ici beaucoup de vent, des nuages plissés en éventail, trois chiens dont un terrible, et dans un rond d’arbres cachée, toute une machinerie de trapèze, de barres, de perches et d’échelles... Il y a une divine odeur de champignons partout.» - «Comme au plus agréable des pièges, j’ai failli rester prise aux charmes des

France » D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 P. Soupault, Westwego TEXTE 2 G. Apollinaire, Alcools, « Zone » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Eluard - Man Ray, Les Mains libres ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE G. Apollinaire, Alcools TEXTE 3 A. Breton, Clair de terre « L’aigrette » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 L. Aragon, Les Yeux d’Elsa, « Les yeux d’Elsa » ANALYSE D’IMAGE R. Magritte, Je ne vois pas la femme cachée dans la forêt TEXTE 1 HISTOIRE DES ARTS G. Apollinaire récitant « Le Pont Mirabeau » G. Brassens, Il n’y a pas d’amour

Young (1683-1765) : Pasteur anglican, le 1e à exprimer en terme critique et poétique une nouvelle sensibilité qui veut que l’imagination l’emporte sur l’imitation. Il inaugure le goût du macabre, du morbide, la littérature de cimetière : Pensées nocturnes sur la vie, la mort et l’immortalité. Il donne forme à une des idées clef du romantisme : l’importance du génie individuel inimitable et dédaignant l’imitation, l’image du poète travaillant dans une solitude incomprise. * Thomas Gray : thèmes :