Le Vent Nocturne

Dans le tumulte et la querelle, ou dans l'ennui, Elles jettent vers le hasard l'âpre semence De leur labeur que l'heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de leur démence. Dehors, une lumière ouatée, Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle, De réverbère en réverbère se recule. La vie, avec des flots d'alcool est fermentée. Les bars ouvrent sur les trottoirs Leurs tabernacles de

la nuit, Dans le tumulte et la querelle, ou dans l’ennui, Elles jettent vers le hasard l’âpre semence De leur labeur que l’heure emporte. Et les comptoirs mornes et noirs Et les bureaux louches et faux Et les banques battent des portes Aux coups de vent de leur démence. Dehors, une lumière ouatée, Trouble et rouge, comme un haillon qui brûle, De réverbère en réverbère se recule. La vie, avec des flots d’alcool est fermentée. Les bars ouvrent sur les trottoirs Leurs tabernacles de miroirs Où se mirent

qu'une éolienne ? Comment ça marche ? Pourra t-elle devenir l'énergie du futur ? I) Description I.1) Histoire Le mot éolien provient d’Eole, le nom du dieu grec des vents. La première utilisation du vent par les hommes remonte aux moulins à vent. Tout d’abord apparus en l’an 600 en Orient puis en Egypte, les moulins servaient essentiellement à moudre les grains ou à pomper l’eau pour arroser les cultures. Ils sont ensuite apparus en Europe vers l’an 1000. Les premières

Koenig de créer des espaces intérieurs ouverts : la maison Stahl par exemple, ne comporte qu'un seul mur de division entre les deux chambre3. Koenig est également intéressé par l'interaction entre l'architecture et les éléments naturels (eau, soleil, vent...). En tant que directeur du Buiding Research Program, il utilise une soufflerie pour étudier les mouvements de l'air. Il privilégie la ventilation naturelle plutôt que l'air conditionné : « Il est essentiel que nous puissions rafraichir nos constructions

l'idée d'Union. Chacun se remémorait les douces plaines verdoyantes qu'étaient les terres d'Origine, les batailles qui y furent menés et les festins qui y furent mangés. Les idées fusaient et petit à petit, Azgal est né sous la luminescence du ciel nocturne de cette fraîcheur hivernale, de l'union des descendants d'Hozone le pourfendeur de Dragon, et des élus de Vraccas, le Dieu forgeron. Nous ne le savions pas encore mais ce lieu qui témoigna de notre passé, témoignerait de notre avenir... ___

2 : Carte de la ville de Berlin Page 3 : Accès à Berlin Page 4 : Histoire de la ville de Berlin Pages 5, 6 et 7 : Formes de Tourisme à Berlin : – Berlin en quelques chiffres – tourisme d'histoire – tourisme d'affaire et urbain – tourisme « de vie nocturne » Pages 8 et 9 : Les défaillances du Tourisme et Conclusion Bibliographie • Goethe Institut Toulouse - 4 bis rue Clémence Isaure 31014 Toulouse • Berlin.de • E.S.L. Prolog Berlin • « Berlin en quelques jours » de Andrea Schulte-Peevers Introduction

des conditions météorologiques plus clémentes. Les Indiens Menominee, issus de l'Est Canadien, croyaient que les aurores étaient la lueur d'immenses torches tenues par des géants amicaux venus les aider et les éclairer lors de leurs sorties nocturnes où ils pêchaient à la lance. Les Indiens Makah, vivant à Washington, pensaient également que les aurores étaient des feux, mais allumés au contraire par des nains, dans le but de faire bouillir de la graisse de baleine. Ces nains étaient tout

prières : « L’ermite », « L’Adieu ». « Salomé » : perso biblique, danseuse sensuelle. Une grande modernité du recueil : · Mélange des registres : donne une liberté de tons : mélange langage soutenu « le vent nocturne » : « gypaètes » signifie vautours et le langage familier « Schinderhannes » : « Juliette Blaesius qui rote » · Références au cubisme : dans les dédicaces : « L’ermite » à Felix Fénéon, « La maison

marqués Par des loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu - Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans les airs; seulement La girouette en deuil criait au firmament, Car le vent, élevé bien au-dessus des terres, N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires, Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés, Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus

Le vin des chiffonniersSouvent, à la clarté rouge d'un réverbère Dont le vent bat la flamme et tourmente le verre, Au coeur d'un vieux faubourg, labyrinthe fangeux Où l'humanité grouille en ferments orageux, On voit un chiffonnier qui vient, hochant la tête Butant, et se cognant aux murs comme un poète, Et sans prendre souci des mouchards, ses sujets, Épanche tout son coeur en glorieux projets. Il prête des serments, dicte des lois sublimes, Terrasse les méchants, relève les victimes, Et sous le