Le Ventre de Paris

Analyse 4 Germinal (p.377-380)

 1)Oeuvre et auteur:
Emile Zola est un écrivain et journaliste français, né à Paris en 1840 et décédé dans la même ville en 1902, trouvé asphyxié peut-être à la suite de manoeuvres criminelles. Il est considéré comme le chef de file du naturalisme (il veut être au plus proche de la vie réelle). C'est aussi un des romanciers le plus populaire, le plus publié, commenté et traduit dans le monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la

http://emilezola.free.fr/menu.htm et/ou sur un dictionnaire des noms propres ou encore sur une encyclopédie http://www.lexilogos.com/francais_langue_dictionnaires.htm et remplissez le tableau suivant : Dates Événements 02 avril 1840 Naissance de Zola à Paris 1847 Mort du père d'Emile : François Zola 1862-1866 Zola entre à la librairie Hachette comme employé pour devenir chef de la publicité deux ans plus tard. 1866 Zola quitte la librairie Hachette. 1867 Thérèse Raquin 1871 Zola débute son cycle

Dans l’histoire : Antiquité Moyen Âge Renaissance 1700 1800 1900 2000 Paris 2. Dans l’espace géographique : MES PREMIERES IMPRESSIONS : Lorsque je vois ce tableau, il m'évoque une sensation froide, macabre et sinistre. PRESENTATION : Cette œuvre est une peinture à l'huile sur contreplaqué de Pablo Picasso. Ce tableau a été peint en 1951 seulement 6 mois après le début de la guerre froide. Il est actuellement exposé à Paris au Musée Picasso. Il mesure 1,10 m x 2,10 m. Les couleurs du tableau sont

particulièrement à la peinture. -Émile Zola est passionné par la littérature. En sixième, il rédige déjà un roman sur les croisades. il sera un jour un écrivain reconnu . 2)Sa Carrière. A) c'est etudes : - 1858 :La famille de Zola revient s'installer à Paris. - 1859 :Emile Zola, alors au lycée Saint-Louis échoue au baccalauréat . Il abandonne ses études et connaît une vie de bohème parfois difficile. Il lit beaucoup et commence à écrire contes et poèmes. - 1862 : Il entre comme employé chez Hachette

RAPPORT DE STAGE Première année d’études Ecole de Psychomotricité Pitié-Salpêtrière, Paris ___________________________________________ Halte-garderie 1er mars au 5 mars 1999 19 et 20 avril 1999 L’INSTITUTION La halte-garderie où j’ai fait mon stage a été crée il y a environ 16 ans. Elle accueille une vingtaine d’enfants en moyenne (en même temps), les lundi, mardi, jeudi et vendredi, entre 8h30 et 17h30. Elle possède, hormis la cuisine et la salle d’eau, une grande pièce avec

est soumise au test de l’œuf à la demande de sa tante Ada qui veut garder : Elle [une vieille] demande à Ateba d’enlever sa culotte et de s’accroupir devant elle. Ateba hésite. Elle reçoit une tape sur le dos. Alors, elle roule son pagne sur son ventre, s’accroupit les jambes largement écartées. Un excès d’amertume s’empare d’elle et la soumet au rite de l’œuf… Elle cesse de comprendre qu’elle a un corps, que des doigts la fouillent, que le contact de l’œuf est froid, que la vieille est malodorante

| | |« M tendait chapeaux, capes, gants. » (p.38) | | | |(préparatifs départ pour Paris ( Baugin) | | |XII |( |(  | |XIII

| Pour en savoir plus sur Ésope : http://www.arbredor.com/auteurs/esope.html Fable d’Ésope transcrite en grec : ( texte grec pris sur le site OMHPOS – traduction française de A. Bastien – Œuvres de Platon – Paris –Garnier 1921) Toutes les Fables d’Ésope :http://www.mythfolklore.net/aesopica/chambry/ [pic]Illustration de la fable par Gustave Doré Κοιλία καὶ πόδες. Κοιλία καὶ πόδες περὶ δυνάμεως ἤριζον. Παρ' ἕκαστα δὲ τῶν ποδῶν λεγόντων ὅτι τοσοῦτον

présentées y sont vendues. Pendant son séjour, elle a une liaison avec le photographe Nickolas Murray. En décembre 1938, Frida et Diego divorcent. En 1939, Frida se rend à Paris à la grande exposition sur le Mexique. Elle loge chez André Breton et rencontre les peintres Picasso et Kandinsky. Elle n'aime pas Paris, qu'elle trouve sale, et la nourriture ne lui convient pas. L'exposition lui déplaît : son avis et par-dessus le marché, Pierre Collé refuse d'exposer les œuvres de Frida dans sa

marches montaient vers une porte. Il soupira. Le trou noir de l’embrasure lui parut un lieu d’abri souhaitable, un refuge où rien ne le viendrait troubler. Il monta les trois marches, s’assit sur la plus haute, se tassa autour de la chaleur de son ventre, ne bougea plus. Il vit venir du bas de la côte une auto éblouissante. Ses phares blanchissaient la nuit. Des milliards de flocons dansaient dans le cône de lumière. Le sol était comme un drap étendu. L’auto ralentissait en approchant du sommet. Elle