Le Vieux Saltimbanque

est lyrique et encore une fois sublimé sont les rejetés, les exclus, les marginaux de la société” La Tzigane” , il s'adresse aux émigrants dans cortège, il parle de la prostitution dans la chanson du mal-aimé “l'amour faux”,” les bohémiens” et “saltimbanque” traitent aussi des exilés de cette ville moderne. Les choses les moins belles ou les plus banales sont donc à la base de ce lyrisme nouveau et de la modernité poétique de ce recueil. On remarque certains poèmes plus que novateurs mais qui représentent

productives, c'est un trait que cette révolution a en commun avec toutes celles qui l'ont précédée. « Le trait nouveau, c'est que le peuple, après le premier soulèvement, ne s'est pas désarmé et n'a pas remis son pouvoir entre les mains des saltimbanques républicains des classes dirigeantes; « C'est que, par la formation de la Commune, il a pris dans ses propres mains la direction effective de sa révolution et a trouvé en même temps, en cas de succès, le moyen de la maintenir entre les mains

anciennes. Et j’étais déjà si mauvais poète Que je ne savais pas aller jusqu’au bout. Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare Croustillé d’or, Avec les grandes amandes des cathédrales toutes blanches Et l’or mielleux des cloches… Un vieux moine me lisait la légende de Novgorode J’avais soif Et je déchiffrais des caractères cunéiformes Puis, tout à coup, les pigeons du Saint-Esprit s’envolaient sur la place Et mes mains s’envolaient aussi, avec des bruissements d’albatros Et ceci

1 Portrait d’Apollinaire, pour servir à l’étude d’ AlcoolsLe 25 août 1880 naît à Rome Wilhelm Albert Wladimir Alexandre Apollinaire Kostrowitzky. Sa mère est Angelica de Kostrowitzky, fille d’Apollinaire Kostrowitzky, officier polonais dans l’armée russe. Que faisait à Rome cette jeune fille de l’aristocratie polonaise ? Elle avait été séduite par un officier italien et s’était enfuie de chez elle pour le rejoindre. Il a très vite disparu de sa vie. Elle a pu rester à Rome

‘’Marizibill’’ (p.16), ‘’Le voyageur’’ (p.17), ‘’Marie’’ (p.20), ‘’La blanche neige’’ (p.21), ‘’Poème lu au mariage d’André Salmon’’ (p.22), ‘’L’adieu’’ (p.24), ‘’Salomé’’ (p.23), ‘’La porte’’ (p.25), ‘’Merlin et la vieille femme’’ (p.25), ‘’Saltimbanques’’ (p.27), ‘’Le vent nocturne’’ (p.29), ‘’Lul de Faltenin’’ (p.29), ‘’La tzigane’’ (p.30), ‘’L’ermite’’ (p.31), ‘’Automne’’ (p.33), ‘’L’émigrant de Landor Road’’ (p.34), ‘’Rosemonde’’ (p.37), ‘’Le brasier’’ (p.38), ‘’Nuit rhénane’’ (p.42), ‘’Mai’’

délice », aux vers n°9 à 12 : « la Seconde / Chuchote […] Je suis Autrefois, / Et j’ai pompé ta vie avec ma trompe immonde ! ». Pour finir sur l’heure qu’il compose des notions d’ « Hasard », de « Vertu » et de « Repentir » qui nous diront : « Meurs, vieux lâche ! il est trop tard ! ». Soit trop tard pour profiter des instants offerts et passés. Poèmes centré sur le goût de l’Ailleurs, de l’évasion. « Parfum exotique » : Ce poème se rapporte à l’évasion déjà avec son titre qui donne goût aux voyages

anciennes. Et j'étais déjà si mauvais poète Que je ne savais pas aller jusqu'au bout. Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare croustillé d'or, Avec les grandes amandes des cathédrales, toutes blanches Et l'or mielleux des cloches... Un vieux moine me lisait la légende de Novgorode J'avais soif Et je déchiffrais des caractères cunéiformes Puis, tout à coup, les pigeons du Saint-Esprit s'envolaient sur la place Et mes mains s'envolaient aussi avec des bruissements d'albatros Et ceci

admirablement réussi. Gwynplaine était un don fait par la providence à la tristesse des hommes. Par quelle providence ? Y a-t-il une providence Démon comme il y a une providence Dieu ? Nous posons la question sans la résoudre. Gwynplaine était un saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d'effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries(8) rien qu'en se montrant. […] C'est en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L'espèce de visage

aventures. -Merlin et la vieille femme : C’est une reprise de la légende bretonne où merlin réclame un fils à la nature et tombe sur Viviane où ils se parlent chacun à leur tour pour se dire qu’ils sont trop vieux pour s’aimer. -Saltimbanques : le poète traite de la marginalité des gens du cirque et des artistes. La premier strophe indique que même la religion les rejette et qu’ils doivent errer. -Le larron : symbolisme de la religion

sauvage et la petite-maîtresse ........................24 XII. Les Foules ........................................................................ 27 XIII. Les Veuves......................................................................29 XIV. Le Vieux Saltimbanque ..................................................33 XV. Le Gâteau .........................................................................36 XVI. L’Horloge ........................................................................39 XVII. Un