Le Village des ombres

pare le palais de Massaba, capitale opulente d’un empire qui s’étend jusqu’aux limites du monde civilisé. On réceptionne, trie, dispose du plus harmonieusement que l’on peut les cadeaux apportés par les sujets grands et petits, par les villes et les villages, par le plus humble des paysans. Un amoncellement de présents dans la cour d’honneur, aussi nombreux que le crâne des morts sur la foule desquels le vieux roi a bâti son pouvoir. On attend le prétendant. On est joyeux, on est fébrile. Et Tsangor

……………………………………page 2 Étude des œuvres ……………………………………..page 4 Œuvre 1 : L’aventure ambiguë, roman …………………………………page 7 Œuvre 2 Les rayons et les ombres ………………………………..page 16 Le groupement de textes théâtraux ……………………………….page 30 Expression écrite Questions Résumé Production écrite ………………………………………………………….page

serait alors l’homme à femme, cette ombre qui plane au-dessus de la garçonnière, où l’enfant perd sa virginité. Toutefois comme nous l’avons remarqué, Duras explicite son rôle d’enfant mais ne nomme pas le chinois « père. » Il est « autre chose. » Les ombres de l’assassin et du chasseur peuvent alors référer à ses frères, qu’elles ne nomment pas explicitement non plus. Concernant l’ombre du chasseur elle dit : « […] son courage dans la forêt et sur les rivières aux embouchures des panthères noires. »

dans le monde du cinéma. L' esthétique du court métrage révéle l' influence ixpressionniste: l' engoisse qu' apporte l' atmosphére, la contamination des décors par les sentiments, l' architecture oblique avec des lignes briser et l' utilisations des ombres qui n' est pas sans faire pencer au Nosferatu de Murnau. Tien, puisque nous parlons de Nosferatu, ce film ou évoluent des personnages monstrueux, hantés par le dédoublement de la personnalité, l' inhumanité et la terreur; je tiend a dire que Tim

de convalescence. J'avais perdu mon coeur, perdu mon cerveau, j'étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C'est ainsi qu'un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j'ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière, grande ouverte, incendiait le carrefour, et que les peupliers, rangés en face, le long du ruisseau, fumaient

de convalescence. J’avais perdu mon cœur, perdu mon cerveau, j’étais parti, allant devant moi, me cherchant, cherchant un coin de paix et de travail, où je pusse retrouver ma virilité. C’est ainsi qu’un soir, sur la route, après avoir dépassé le village, j’ai aperçu la forge, isolée, toute flambante, plantée de travers à la croix des Quatre-Chemins. La lueur était telle, que la porte charretière, grande ouverte, incendiait le carrefour, et que les peupliers, rangés en face, le long du ruisseau, fumaient

représentation de la réalité et mise au service de l'expressivité ( ils n'hésitent pas à peindre la mer avec un rouge pur si c'est cette couleur qui correspond à ce qu'ils éprouvent ). Dans cette oeuvre, l’éclairage est naturel, on peut voir des ombres, par exemple celle de l’ermitage à gauche au pied du bâtiment. Et surtout, les couleurs dominantes sont le vert et jaune ainsi que le bleu, mais on trouve, comme très souvent dans les tableaux fauvistes, de nombreuses autres couleurs (par exemple

entre les mondes et laissé par les déesses, qui furent à ce moment rappelées sur terre par les grands Esprits. D’autre part, pour venir en aide à tous ceux ayant perdu leur foyer durant la guerre, Impa transforme la terre des sheikahs en un village d’accueil du nom de Cocorico. De plus, le roi unifie le royaume d’Hyrule en y intégrant officiellement les territoires des kokiris, gorons et zoras pour le soutien apporté par ces peuples durant le grand conflit. 0912 : Ganondorf tente d’accéder

maison si nette Qu’elle en est suspecte Comme tous ces endroits Où l’on ne vit pas. Les êtres ont cédé, Perdu la bagarre Les choses ont gagné, C’est leur territoire. Le temps qui nous casse Ne la change pas Les vivants se fanent Mais les ombres pas Tout va, tout fonctionne, Sans but, sans pourquoi D’hiver en automne, Ni fièvre, ni froid Elle met du vieux pain sur son balcon, Pour attirer les moineaux, les pigeons, Elle vit sa vie par procuration Devant son poste de télévision

Périscolaire mais aussi un Accueil de Loisirs les mercredis et pendant les vacances scolaires. Elle dépend de l’Association Familiale de Sigolsheim. Les enfants accueillis ont entre 3 et 11 ans, ils proviennent pour la majorité du village de Sigolsheim et des villages avoisinants (Kientzheim et Katzenthal). Les écoles de ces 3 communes travaillent en RPI (Regroupement Pédagogique Intercommunal). Dans le Projet Educatif de l’Association Familiale de Sigolsheim ainsi que dans le Projet Pédagogique