Le Vivant Est Il Entièrement Connaissable

choses), le mot a tjr pour but d’agir (faire savoir des choses en sacrifiant la nuance ; ex= dire que quln est un abruti) 4)Canguilhem : le vivant est-il entièrement connaissable ? • Un être vivant se # d’un autre : la façon dont il a recours à sa faculté téléonomique (jacques Monod le hasard et la necessité-1970) c.-à-d. la forme spécifique de tout être vivant et le but qu’il accomplit à partir de cette forme. • Ici la faculté téléonomique = se donner ses propres buts, produire des artefacts

 Psychologie différentielle : Certains phénomènes sont de portée entièrement général : concernant tout les individus sans exception : Par Exemple : “ tout les hommes sont mortels ”: invariant universel. D'autres seront individuels “ Idiosyncrasiques ” : Par Exemple : “ j'aime les tartines à la fraise et à la moutarde ” : invariant intra-individuel. Entre ces deux extrêmes il y a place pour des niveaux intermédiaires : phénomènes invariants au sein d'une sous population mais qui varient

l’Un est unité avec la transcendance. 2/ Raison et réalité: le problème de la connaissance. A/ Empirisme et rationalisme. *empirisme: nom générique de toutes les doctrines philosophiques selon lesquelles la connaissance humaine dérive toute entièrement de l’expérience sensible, y compris les principes rationnels de la connaissance. Ex: Hume pense que toutes nos connaissances dérivent de l’exp. = habitude. Hume en vient à dire qu’il n’y a aucune certitude de rien = sceptique. *rationalisme: caractérise

liberté de pensée  donc aucune vérité commune  Objection ; chacun sa vérité = vérité commune  Aucune communication possible. La conscience peut-elle nous tromper ? La conscience, illusion du sujet ? La conscience est ambiguë : si rien n'est connaissable sans elle (comment savoir quelque chose sans en avoir conscience ?), elle n'en est pas moins sujette à l'erreur et à l'illusion. La réponse de Descartes Le doute retourné contre le scepticisme C'est pour vaincre le scepticisme, donc pour fonder

d’être conscient constitue donc pour l’homme un évènement décisif qui l’installe au coeur du monde et lui demande de prendre position. Car dans la mesure où il est conscient, l’homme n’est plus seulement au coeur du monde un objet au monde, un vivant parmi les vivants, il est devant le monde et dans ce vis-à-vis, le monde se constitue pour lui comme monde à connaître, à comprendre à juger ou à transformer. De fait tout l’effort de penser ou d’agir naît de cette expérience originelle de la séparation de

théorie associationniste des idées qui explique leur formation par la conjonction d’idées simples. Rationalisme : la doctrine qui pose la raison discursive comme seule source possible de toute connaissance réelle. Autrement dit, le réel ne serait connaissable qu’en vertu d’une explication par la raison nécessaire. Ainsi, le rationalisme s’entend de tout doctrine qui attribue à la seule raison humaine – à partir des principes logiques – la capacité de connaître et d’établir la vérité. Le rationalisme

dénonce l’identification entre le « je pense » et une substance connaissable. Il distingue clairement deux types de moi : -Le moi empirique n’est que l’ensemble des empreintes que laisse notre subjectivité dans l’expérience : c’est le moi que nous avons été à tel ou tel moment avec des pensées ou des réactions déterminées. C’est un moi devenu objet, accessible à l’introspection. -Le moi pur désigne au contraire notre subjectivité vivante et actuelle sans distance à l’égard d’elle-même qui effectue

la preuve que la terre n’est pas le centre de l’univers cela constitue la première remise en question de l’homme, ensuite vient la théorie de l’évolution de Darwin qui dément la pensée de tous comme quoi l’homme serait supérieur aux autres êtres vivants, l’homme n’est qu’une espèce parmi tant d’autre. Et enfin en 3ème blessure, vient sa théorie, une dernière réfutation de la mégalomanie de l’homme lui-même, Freud démontre que même à l’intérieur de lui-même, l’homme ne se connait pas totalement.

qualifier la spécificité de la liberté humaine. De plus, l’animal subit les nécessités de la nature sans les transformer, sans marquer la nature de son empreinte. Et les choses n’ont pas l’initiative de ce qui leur arrive. Au sein même des êtres vivants, une distinction s’impose. En effet, la « liberté » des animaux est très imparfaite car ils ne font que suivrent leurs tendances naturelles ou leurs désirs.. L’animal n’a pas le pouvoir de choisir de suivre ou de ne pas suivre ses instincts ; c’est

Wagner, que le narrateur met en évidence par l’usage du discours direct. - L’image de la mâchoire qui se décroche assimile le personnage à une marionnette, à un personnage creux, comme ses paroles (cf Bergson, le rire = « du mécanique plaqué sur du vivant ») - Elle exerce sa domination sur le salon, comme s’il s’agissait d’un personnage ; elle invente donc un discours pour exercer cette domination, par exemple sur Odette de Crécy et sur la « tante du pianiste », auxquelles elle fait « accroire » de