Le Voleur de foudre

Nous les avons trouvés en train de s'abriter dans notre Porche d'Entrée. - Qu'est-ce que vous entendez par là ? dit le Grand Gobelin, se tournant vers Thorïn. Rien de bon, je suis sûr ! Vous espionniez les affaires privées des gens, je suppose ! Des voleurs, je ne serais pas surpris de l'apprendre ! Des assassins et des amis des elfes, ça n'aurait rien d'étonnant! Allons! Qu'avez-vous à dire ? - Thorïn le nain, pour vous servir! répondit-il (c'était une simple formule de politesse). Nous n'avons aucune

moment, vint pousser la barrière ; puis, elle se planta, tenant tout droit le drapeau, dans son fourreau de cuir. On entendit le train, un express, caché par une courbe, s'approcher avec un grondement qui grandissait. Il passa comme en un coup de foudre, ébranlant, menaçant d'emporter la maison basse, au milieu d'un vent de tempête. Déjà flore s'en retournait à ses légumes, tandis que Misard, après avoir fermé la voie montante derrière le train, allait rouvrir la voie descendante, en abattant le

rencontres-tu dans ce texte et qui servent-elles à désigner de manière détournée ? « la fille du puissant roi de cette contrée » = Europe « les vierges de Tyr » = les amies d’Europe « le père et souverain des dieux, dont la main est armée de la foudre au triple dard, qui d’un signe de tête ébranle l’univers » = Jupiter « celle [la couleur] de la neige où aucun pied n’a encore mis sa dure empreinte et que n’a pas détrempée le souffle humide de l’Auster» = blanc immaculé « la fille d’Agénor » =

jeune femme qu’à la fin de l’extrait quand Arnoux appelle sa femme. b. La focalisation interne permet de savoir que la rencontre de Mme Arnoux est un véritable coup de foudre pour le jeune bachelier. Elle permet de ménager aussi un certain suspense dans la mesure où le lecteur ignore ce que ressent la jeune femme et si ce coup de foudre est réciproque. 326 9782210104761_EL_2de_.indb 326 03/07/15 15:50 Partie III – Outils d’analyse 6 Maîtriser les étapes du schéma narratif L’ordre du récit est

moment, vint pousser la barrière ; puis, elle se planta, tenant tout droit le drapeau, dans son fourreau de cuir. On entendit le train, un express, caché par une courbe, s’approcher avec un grondement qui grandissait. Il passa comme en un coup de foudre, ébranlant, menaçant d’emporter la maison basse, au milieu d’un vent de tempête. Déjà flore s’en retournait à ses légumes, tandis que Misard, après avoir fermé la voie montante derrière le train, allait rouvrir la voie descendante, en abattant le levier

moment, vint pousser la barrière ; puis, elle se planta, tenant tout droit le drapeau, dans son fourreau de cuir. On entendit le train, un express, caché par une courbe, s'approcher avec un grondement qui grandissait. Il passa comme en un coup de foudre, ébranlant, menaçant d'emporter la maison basse, au milieu d'un vent de tempête. Déjà flore s'en retournait à ses légumes, tandis que Misard, après avoir fermé la voie montante derrière le train, allait rouvrir la voie descendante, en abattant le

vint pousser la barrière ; 62 puis, elle se planta, tenant tout droit le drapeau, dans son fourreau de cuir. On entendit le train, un express, caché par une courbe, s’approcher avec un grondement qui grandissait. Il passa comme en un coup de foudre, ébranlant, menaçant d’emporter la maison basse, au milieu d’un vent de tempête. Déjà Flore s’en retournait à ses légumes ; tandis que Misard, après avoir fermé la voie montante derrière le train, allait rouvrir la voie descendante, en abattant le

moment, vint pousser la barrière ; puis, elle se planta, tenant tout droit le drapeau, dans son fourreau de cuir. On entendit le train, un express, caché par une courbe, s’approcher avec un grondement qui grandissait. Il passa comme en un coup de foudre, ébranlant, menaçant d’emporter la maison basse, au milieu d’un vent de tempête. Déjà Flore s’en retournait à ses légumes ; tandis que Misard, après avoir fermé la voie montante derrière le train, allait rouvrir la voie descendante, en abattant le

de tout ce qu'il a vu. -7- OIDIPOUS. Quelle chose ? Un seul fait permettrait d'en découvrir un plus grand nombre, si nous avions un faible commencement d'espoir. KRÉÔN. Il dit que des voleurs ont assailli Laios, et qu'il a été tué non par un seul, mais par un grand nombre à la fois. OIDIPOUS. Mais un voleur, s'il n'avait été payé ici pour cela, aurait-il eu une telle audace ? KRÉÔN. Ceci fut soupçonné ; mais nul, au milieu de nos maux, ne se leva pour venger Laios mort. OIDIPOUS. Quel mal empêcha

j’essayais d’épeler cette bible Où se mêle, éperdu, le charmant au terrible : Livre écrit dans l’azur, sur l’onde et le chemin, Avec la fleur, le vent, l’étoile ; et qu’en sa main Tient la création au regard de statue ; Prodigieux poème où la foudre accentue La nuit, où l’océan souligne l’infini. Aux champs, entre les bras du grand chêne béni, J’étais plus fort, j’étais plus doux, j’étais plus libre ; Je me mettais avec le monde en équilibre ; Je tâchais de savoir, tremblant, pâle, ébloui