Le Vote Comme Rituel

citoyens athéniens, la démocratie est la liberté d'intervenir dans la vie et la politique de leur cité. • Athènes est une démocratie directe : tous les citoyens se réunissent dans une assemblée, l'Ecclésia, où ils décident de la politique de la cité par vote à main levée. Cette assemblée est toute-puissante et possède la souveraineté. • Les valeurs des Grecs de l'Antiquité sont assez différentes des nôtres. À Athènes, les citoyens ont des devoirs avant d'avoir des droits (idée qui n'est pas dans l'esprit

citoyens athéniens, la démocratie est la liberté d'intervenir dans la vie et la politique de leur cité. • Athènes est une démocratie directe : tous les citoyens se réunissent dans une assemblée, l'Ecclésia, où ils décident de la politique de la cité par vote à main levée. Cette assemblée est toute-puissante et possède lasouveraineté. • Les valeurs des Grecs de l'Antiquité sont assez différentes des nôtres. À Athènes, les citoyens ont des devoirs avant d'avoir des droits (idée qui n'est pas dans l'esprit

civil ont des racines beaucoup plus lointaine que 1804 (histoire de Rome) puisque le Droit Français et Droit européens sont issus des Droit Antiques. Auj. en Fr on distingue 3 à 4 sources de Droit( par ordre d’importance) 1. Loi : Txt à porté général voté / le parlement & émanant de la volonté populaire. 2. Jurisprudence : Ensemble de décision rendu/ les tribunaux. Le Juge applique un texte général à un cas particulier => il interprète et adapte la loi, crée une solution nouvelle qui elle-même

En 1992 (vérifiez : la somme des 4 chiffres donne 3), le traité de Maastricht grava dans le marbre une obligation pour les états de respecter un niveau maximal de déficit public de 3%, chiffre repris comme objectif sous le précédent gouvernement et encore aujourd’hui ou le dernier budget a été voté avec pour engagement, donné par le président de la république, de respecter les 3% de déficit dès 2013. Pourquoi 3 % ? En juin 1981, un haut fonctionnaire, Guy Abeille, proposa ce chiffre à François

L’avènement de la démocratie contemporaine. Chapitre II : La démocratie comme champs de lutte. Chapitre III : La démocratie comme dynamique vertueuse. Chapitre IV : La démocratie à l’épreuve. Chapitre V : La démocratie comme régime politique. Chapitre VI : La démocratie en réalité. (peut-être) Chapitre I L’avènement de la Démocratie contemporaine Cet avènement passe par différents processus : le développement du droit de vote, la structuration de l’expression politique et de professionnalisation

toute la population romaine n’est pas sous le joug de la même loi. La loi s’applique à tous les citoyens tandis que les plébiscites s’applique aux non- patriciens. En effet, les plébiscites sont des décisions proposées par les tribuns de la plèbe et votées par les concilia plebis. Dans tout ce processus les patriciens n’interviennent a aucun moment donc pour les patriciens ces règle ne s’appliquaient pas pour eux. Mais il est important de souligné que la plèbe reste source créatrice du droit. Nous

citoyens athéniens, la démocratie est la liberté d'intervenir dans la vie et la politique de leur cité. • Athènes est une démocratie directe : tous les citoyens se réunissent dans une assemblée, l'Ecclésia, où ils décident de la politique de la cité par vote à main levée. Cette assemblée est toute-puissante et possède la souveraineté. • Les valeurs des Grecs de l'Antiquité sont assez différentes des nôtres. À Athènes, les citoyens ont des devoirs avant d'avoir des droits (idée qui n'est pas dans l'esprit

partir de 27, donc lorsqu’il devient auguste. Ce texte est ici axé autout de l’ambivalence entre à la fois Auguste l’homme exceptionnel mais nénamoins homme et auguste le prince, divinisé ensuite. Les funérailles refletent ces deux personalités comme nous allons le voir. C’est pourquoi nous pouvons désormais nous poser la question suivante : Quels furent le rôle de ces funerailles dans la mémoire d’Auguste et la transmission de son pouvoir ? Dans une première partie nous nous interesserons

philosophe, Diderot était avant tout un penseur. Il remit en question, éclaira un débat, souleva les paradoxes, laissa évoluer ses idées, constata sa propre évolution mais trancha peu. Diderot rejeta plus les excès de la religion que la religion elle-même, comme son ami Rousseau. La morale était une préoccupation récurrente de Diderot, imprégné de droiture morale. D’Alembert fut constamment mêlé aux controverses passionnées de ce temps. Il était un habitué des salons parisiens, où il rencontra Denis Diderot

La ville et les affrontements religieux en Europe, 1500-1650 Même si tous les conflits ne tournent pas autour du contrôle des villes dans un monde largement paysan (comme la guerre des paysans le montre), celles-ci jouent un rôleclef comme enjeu, théâtre et laboratoire des conflits religieux. Les villes ont un semis architectural lâche et se définissent avant tout par leurs murailles, c’est-à-dire par la présence d’une juridiction propre, de pouvoirs. Les villes sont en effet des centres de pouvoirs