Le Voyage Chez Les Poètes

Tourraine natale ; dans "Notre Vie" de Eluard, expression de sa douleur à la mort de sa compagne Nusch, dans "L'albatros" où Baudelaire parvient à surmonter les contraintes formelles de la poésie pour décrire sa situation de poète (et celle des poètes en général), chez Apollinaire, même, qui a détourné les contraintes poétiques pour en faire un acrostiche ("Adieu", amour pour Lou) etc etc. -> parce que la poésie est un art noble qui doit évoquer des sujets nobles, et les sentiments comme l'amour, la

reflètent les tentatives du poète pour échapper aux épuisantes contradictions de la nature humaine divisée entre ses aspirations au Bien et son attirance pour le Mal B= l’Idéal : Lecture analytique « Parfum exotique », « La Chevelure », « Invitation au voyage », « Correspondances » Les poèmes se rapportant seulement à l’Idéal sont minoritaires et disparaissent progressivement au fur et à mesure qu’on s’avance dans le recueil et dans « Spleen et idéal » ► Définition : mouvement d’élévation au-dessus

grands hommes de formation humaniste, Erasme voyage beaucoup en Europe. En Italie, il publie les Adages (recueil de formules et de citations grecques qu'il commente) et d'autres ouvrages d'auteurs grecs (Platon, Plutarque), et latins (Plaute, Sénèque). En Angleterre, il rédige en 1509 l'Eloge de la Folie et le dédie à Thomas More alors conseiller d'Henry VIII, avec lequel il partage son goût pour l'érudition. Pendant 10 ans, au cours de ses nombreux voyages, notamment en Allemagne, Erasme travaille

pontificale entre 1533 et 1537. Plongé dans l’ennui et les fastes de la vie romaine, il regrette son Anjou natal où il faisait si bon vivre. I) Le voyage et ses variations Dans le premier quatrain du sonnet, Du Bellay cite deux héros-voyageurs de la mythologie grecque : Ulysse et Jason. Le premier, Ulysse, dans l’odyssée, tente désespérément de Rentrer chez lui à Ithaque. Il subit la colère de Poséidon, qui cherche à venger son fils, Polyphème, le cyclope. Jason quant à lui, s’est fixé à Corinthe, après

(1869-1937) une vaste composition peinte, Chez Alphonse Lemerre, à Ville D'Avray, représentant tous les poètes du Parnasse qu'il éditait. Autour de José-Maria de Heredia, sont portraiturés notamment Paul Bourget, Sully-Prudhomme ou Leconte de Lisle. Ce tableau a pour cadre la propriété de l'éditeur. Élu à l'Académie française le 22 février 1894 en remplacement de Charles de Mazade, il fut reçu en séance publique le 30 mai 1895 par François Coppée. Lors du voyage des souverains russes à Paris, en 1896

Une forme infinie L'intérêt de cette forme poétique réside en le fait qu'elle est uniquement composée de tercets. On peut ainsi l'allonger à sa guise puisqu'il est difficile d'exprimer en trois vers toute une idée, même pour le meilleur des poètes. Le système de rime est le suivant : a / b / a - b / c / b - y / z / y - z. Aussi, le vers encadré se retrouvera au début et à la fin du tercet qui suit de manière à trouver un équilibre parfait. A noter : l'ultime vers de la Terza Rima se détache

Il évoque la beauté d’un paysage exotique autour de mots et de termes mélioratifs tels que «le soleil caresse», «d’arbres tout empourprés», «de palmiers» et «un pays parfumé». Ici, le poète cherche à permettre aux lecteurs de se transporter et de voyager dans un lieu qu’il apprécie, un lieu inconnu et étranger qui éveille plusieurs sens pour Baudelaire. Tout au long de cette strophe, il fait référence à une ile française, La Réunion, qu’il considère comme un paradis sur terre. Il met en contexte la

républicain par goût et par caractère. »  Mémoires d'Outre-tombe. Le romantisme est un mouvement littéraire qui a touche tous les génère littéraire comme le roman, le théâtre et la poésie, mais on va étudier la poésie romantique. Les quatre grands poètes romantiques sont Victor Hugo, Alphonse de Lamartine, Alfred de Musset, Alfred de Vigny. Les thèmes qui se répètent dans les poèmes romantiques sont : Le culte de « Moi » : Les textes romantiques expriment toujours à la première personne. Ils

de Dieu. La crudité du poème, son réalisme, l’évocation des souffrances endurées permet d’évoquer non seulement la subjectivité du poète sur le monde mais aussi le je de tous les condamnés à mort, de tous les suppliciés. On retrouve un même réalisme chez Ronsard qui se peint lui-même à l'approche de la mort : « Je n'ai plus que les os... » ; et décrit la jeune Hélène devenue « bien vieille [...] au foyer accroupie ». Mais le poète est aussi celui qui peut se consacrer à la laideur du monde, laideur

une éducation humaniste au collège de Coqueret où il a été l’élève du poète Dorat en même temps que Ronsard, qui est un de ses amis de jeunesse. Sous l’impulsion de leur maître, les jeunes poètes du collège Coqueret découvrent et approfondissent la poésie antique sous toutes ses formes. Plus tard, ces jeunes poètes humanistes vont créer le groupe de la Pléiade, dont Du Bellay va rédiger le manifeste, qu’il intitule Défense et illustration de la langue française. Du Bellay à RomeCe désir de rivaliser