Leibniz Ph00

« raison suffisante » (l.6), « raisonner des effets et des causes » (l.11) mais ces expressions sont ici ridiculisées, ne peuvent que nous faire rire ou nous scandaliser, face à l'atrocité de ce qui est décrit. Plus profondément encore, l'optimisme de Leibniz aurait bien du mal à expliquer comment Dieu a permis de telles horreurs (d'où l'importance du registre pathétique dans le deuxième paragraphe) et il accepte même qu'on le remercie - par ces deux Te Deum - pour cette boucherie et ces massacres ! Ne

Ptolémée. Galilée a été jugé car il a utilisé les idées coperniciennes qui étaient hérétiques selon l’église. L’église acceptera la théorie de l'héliocentrisme qu'en 1714. Le XVIIe est marqué par d'autres scientifiques tels que Descartes, Pascal, Leibniz mais surtout Newton. Au fil du temps la science a évolué de telle sorte que l'on prouve la véracité des découverte par l'observation, l'expérimentation, des choses concrètes. Cette évolution des sciences se fait contre la pensée de l’Église, qui

Kant, « l’essence précède l’existence ». C’est-à-dire, que lorsque une personne conçoit un dieu créateur, il est assimiler la plupart du temps à un artisan de plus au grade qu’un simple artisan et quelque soit la doctrine, de Descartes ou bien de Leibniz, lorsque Dieu crée, il sait précisément ce qu’il fait. Ainsi le concept de la création de l’homme dans l’esprit de Dieu est comme le concept de la création du coupe-papier dans l’esprit de l’industriel. Le concept du coupe papier est une recette ;

ville et qui a fait un très grand nombre de victimes. L’écrivain et philosophe Voltaire a été profondément touché quand il a appris la nouvelle et cet évènement l’a poussé à attaquer la philosophie de l’optimisme soutenue par des philosophes tels que Leibniz. Après cette catastrophe il ne pouvait plus supporter l’idée du ‘tout est bien’ et pour réagir il a écrit un long poème intitulé ‘Sur le désastre de Lisbonne’. Ce poème a été publié en 1756. Deux ans plus tard, la mécontentement de Voltaire n’est

l'exemple de la dénonciation générale du roman, L'auteur critique au long du roman l'optimisme, et plus précisément le philosophe Leibniz. Tout le monde n'est pas capable de comprendre cette critique. Pour une partie des lecteurs, l'optimisme de Candide est simplement un trait de caractère. Alors que si Candide disait les choses clairement, en exprimant ce qu'il pense de Leibniz, bien plus de monde pourrait comprendre !» Raphaël prenant un air désabusé: «Peut être que ce que tu dis n'est pas totalement

raisonnement. 8. Démonomanie : délire dans lequel un malade se croit possédé par le diable. 9. Substances, accidents, abstrait, concret sont des termes techniques anciens du vocabulaire philosophique ; monades et harmonie préétablie renvoient au lexique de Leibniz, philosophe du XVIIIe siècle dont Voltaire se moque volontiers. ©HATIER Document D 5 10 15 20 25 30 35 Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l’heure du départ fut proche : – Ah ! dit le renard… Je pleurerai

véridique d'uniquement présenté Candide sous la forme d'un conte initiatique mais qu'il est tout autant un conte philosophique et donc qui sert à dénoncé par le biais d'une histoire fictive. En effet Voltaire critique implicitement la théorie de Leibniz: «  Tout est bien dans le meilleur des mondes ». Pangloss est le personnage à travers lequel il va critiquer l'optimisme: il crois en cette théorie et ce, même après avoir traversé de nombreuses scènes d'horreurs. Par ce fait, Pangloss est tourné

superpose un deuxième niveau de lecture qui a une forte orientation argumentative et critique. Candide se fait manipulé car il est influencée par la pensée optimiste de Pangloss ("le meilleur des mondes"). Celui-ci représente le philosophe allemand Leibniz que Voltaire cherche à discréditer. Selon Voltaire, le monde contemporain est imparfait, et il va illustrer ce propos au cours des péripéties de Candide. Dénonciation de la violence militaire (fortement connotée prussienne par la suite) et la manigance

Candide   " Sa physionomie annonçait son âme. ". Voltaire nous décrit Candide comme un personnage peu crédible et très crédule. Il croit aveuglément à la philosophie de Pangloss, le précepteur du château. Il ne pense jamais par lui-même, cherche toujours conseil auprès de quelqu’un d’autre que lui et est très dépendant de Pangloss. C’est vers la fin du conte que Candide pourra pour la première fois, faire taire Pangloss et lui exposer sa pensée sans redouter quelque moquerie de sa part. Naïf et

Texte de Leibniz, extrait de Nouveaux Essais sur l'entendement humain Préparation : Vérité particulière, individuelle et générale Sens ; nécessaires aux connaissances actuelles Ne donnent que des exemples Vérité particulière et individuelle Plusieurs exemples : vérités générales Ex. : le décours de 24 heures, vrai ici, faux ailleurs Tromperie, croyance Ex. : soleil, une vérité non nécessaire Seule utilité des sens : se questionner Vérité nécessaire - nécessité universelle -vérité nécessaire et universelle