Les 30 Piteuses

prospérité, qui se produisent de façon récurrente, qui affectent tout un pays, et qui s'alimentent d'elles-mêmes. On distingue des cycles courts, succession de périodes de 5 années ainsi que des cycles plus longs d'une trentaines d'années (30 glorieuses et 30 piteuses) mais aussi sur des périodes encore plus longues (50 années). On peut voir de réelles ruptures dans la croissance avec des événements tels que des chocs pétroliers (1973) marquant une nouvelle phase, et entraînant des périodes durant lesquelles

antérieure de relative stagnation. Toutefois, certains pays intermédiaires ont connu un rattrapage rapide au 20e siècle (Asie de l’est et Chine), tandis que d’autres, principalement en Afrique ne parviennent pas à décoller. En effet, des les années 30 il apparait nécessaire de réduire les inégalités de capital pour que le système capitaliste continue à se développer. Ces changements productifs puis institutionnels ensuite ont permis aux pays aujourd’hui développés de distancer une grande partie du

niveau de départ. Ne devrait être comparable que les pays ayant le même niveau de développement. Algérie : 6 % mais la situation économique n'est pas enviable. La Chine connaît un taux de 10 % et ce depuis 20 ans ce qui devient significatif. Pendant les 30 glorieuses entre 60 et 70, il était environ de 5 % hors le taux de croissance à un impact sur le chômage. Arthur Ohun et Samuel Sun avec le NAIRU ont montré que le taux de croissance de 2 % est un seuil déterminant pour la création d'emplois, il démontre

petit, la dimension patronale va s’effacer au profit d’une dimension nataliste (= on encourage les naissances) ou familialiste (= on compense la charge de famille, voire les aléas familiaux). Premières lois sur les assurances sociales (5 avril 1928, 30 avril 1930) : premier système d’assurance obligatoire fondé sur une base professionnelle. Loi Landry du 11 mars 1932 : obligation pour les employeurs de l’industrie et du commerce de s’affilier à des caisses de compensation agréées, qui reversaient

est á l’extérieur et aux alentours de la maison, les rues qui sont près de la pension, le sol, les couleurs. Nous avons la description de la rue Neuve Saint Geneviève, puis la description de la maison Vauquer qui nous apporte une impression de la piteuse pauvreté, d’usé et de pourrit, puis il enchaîne par la description dynamique des personnages. Avec la description matérielle nous avons l’atmosphère moral. Après la description de la salle a manger, nous avons Madame Vauquer la propriétaire. La description

redistribués à ceux qui, selon lui, ne veulent pas travailler pour le gagner. Cette critique a été récurrente jusqu'au XXIe siècle, accrue par les différents contextes de crises, conflits mondiaux, crack boursier de 1929, crise allemande des années 30, crack pétrolier de 1973, crise du début du XXIe siècle etc. Le docteur en économie et entrepreneur suisse Daniel Model dénonce dans la seconde moitié du XXe siècle, l'État-providence: «l'État-providence moderne promeut une culture de victimisation

en jeu, ne sont pas décidés par l’unanimité au lieu de la majorité qualifiée comme le voulait le projet du traité. Enfin l’intégration du Royaume-Uni sera longue et difficile (voir paragraphe 3). Après les « Trente Glorieuses » vient les « Vingt Piteuses » : les crises du pétrole de 1974 et la montée du chômage font passer à la CEE une de ses plus mauvaises périodes économiques. L’élection de Valérie Giscard d’Estaing au pouvoir français verra apparaître la création du « Conseil Européen », réunion

phase de croissance les "Trente glorieuses". Pendant ces "temps faciles", les bouleversements de la société font ressentir des mutations économiques. Au début des années 70, le ralentissement de la croissance fait entrer la France dans les "années piteuses". Les grandes mutations amorcées pendant la période d’expansion se poursuivent mais la crise qui est sujet de chômage et de précarité et qui introduit la pauvreté massive dans une société d’abondance. Mais quels sont les raisons et les manifestations

cependant pas Napoléon III uniquement comme un tyran dans l’Histoire de France. D’abord, parce qu’après des débuts autoritaires, il a libéralisé sa pratique du pouvoir, mais aussi et surtout, parce que malgré sa politique étrangère hasardeuse, et sa fin piteuse avec la défaite face à la Prusse en 1870, le 2nd Empire a largement contribué à la modernisation du pays : le Baron Haussmann et la transformation de Paris en ville lumière, le développement du Chemin de fer, les premières mesures sociales à l’égard

avec 129 voix. Le 3 novembre 1795 (12 brumaire an IV) les 4 directeurs, Sieyès refusant son poste ne sera remplacé par Carnot que le lendemain, prirent possession du palais du Luxembourg. Parti des Tuileries, le cortège miteux, escorté par une garde piteuse d'environ trois cents hommes fut reçu par le concierge des lieux qui les installa tant bien que mal dans un petit cabinet dénué de mobilier et de chauffage, La Revellière-Lépeaux qui décrit de façon pittoresque l'installation des Directeurs termine