Les Amants de la nuit

cela à son amant en brodant au fil d'or ce qu'il vient de se passer sur une pièce de tissu dans lequel elle place le rossignol mort. L'amant fait forger un coffre en or et en pierres et y dépose l'oiseau. La dame, avant même Marie de France, écrit l'histoire du rossignol. Le mari est totalement insensible : il représente le degré zéro de l'amour. En revanche, la dame a une attitude différente face à l'oiseau : le rossignol n'est pas qu'un animal pour elle, derrière l'oiseau, il y a son amant. Par ce

fait appel aux curiosité les plus chirurgicales »,  « qui groupe les pestiférés pour en faire admirer les marbrures ». Réflexions personnelles : Thèmes traversant l’œuvre *Thème 1 : le mensonge  L’adultère et la trahison entrainent les amants dans le mensonge. Au début de leur liaison, ils se voient en cachette, ensuite ils font croire à la police et à Madame Raquin que la mort de Camille était un accident. Citation : *chapitre 8, l43 : « Thérèse,[…]était obligée de jouer un rôle

il y a eu un meurtre tout à l’heure: Rodrigo Paestra a tué sa jeune femme et son amant. Il est fugitif et la police le cherche. Un orage estival se forme. Tous les hôtels sont pleins et les quatres doivent dormir dans les couloirs de l’hôtel. Marie observe, que Claire et Pierre ont une aventure. En même temps elle voit Rodrigo Paestra sur le toit. Elle peut comprendre son motif pour avoir tué sa femme et son amant. Elle est dans la même situation. Marie boit beaucoup de Manzanilla et elle conduit

fait tout pour cacher son trouble. La mort de sa mère (qui était sa confidente et la mettait en garde contre les dangers de la passion) la livre désarmée à son combat intérieur. A la Cour, les regards curieux sont à l’affût et les jaloux épient les amants qui se cachent leur flamme l’un à l’autre. Mais la vérité des cœurs finit par éclater car l’amour se trahit toujours par une émotion irrépressible. Cependant, Mme de Clèves entend lutter contre son inclination. Elle passe par les tourments de la jalousie

rendez-vous une nuit près d’un mûrier blanc. Thisbé arrive la première, mais voyant une lionne à la gueule ensanglantée elle prend peur et va se cacher en laissant tomber son voile. Quand Pyrame arrive à son tour, il voit le voile plein de sang, pense que la lionne l’a tuée, et se suicide. Thisbé sort de sa cachette, voit son amant mort, et se suicide à son tour. C’est pour cela, selon le mythe, que les mûres ont aujourd’hui une couleur rouge, en mémoire du sang de ces amants. B. Le début de

Champs-Elysées vit une famille, la famille Balthazard. Pierre, l'homme de la maison, vit avec sa femme, Marie, ainsi que leur majordome, Michel. Madame Balthazard est policière et presque tous les soirs, elle est de garde et doit faire des patrouilles de nuit dans le huitième arrondissement de Paris. Ce qu'elle ne sait pas c'est que lorsqu’elle n’est pas là, son mari la trompe avec Penelope Lopez, une collègue du bureau. Ding-Dong!! Le majordome se dirige vers la porte d’entrée pour ouvrir la porte

lui procure une émotion intense, qui se rapproche de celle qu’un amant peut ressentir face l’être aimée ; si le champ de lin se fait métaphore d’Elsa, le lecteur n’a aucun mal à comprendre le frémissement d’Aragon, et l’on pourrait imaginer que ce vent dont il parle dans le deuxième vers est le souffle d’Elsa sur peau, ou encore, la circulation de l’air qui s’opère quand elle sort du lit, et qu’elle repousse le drap vers son amant. C’est comme si Elsa, et le lecteur par la même occasion, devait « deviner »

même une fois marié avec Yseult aux blanches mains, il ne consomme pas le mariage. Leur amour traverse tous les obstacles sans jamais s’atténuer ; au contraire, il se renforce dans l’adultère et subsiste après la mort des amants. L'amour fatal : Au-delà du désir des deux amants, la fatalité les conduit à s’aimer par delà la mort. Le philtre matérialise cet amour fatal et obsessionnel. Alors que l’amour courtois recherche le bonheur comme récompense des épreuves endurées, Tristan et Yseult souffrent

La bête humaine Personnages : Roubaud : sous-chef de gare ; 40ans Séverine Aubry : 25 ans ; abusée par Grandmorin ; amante de Jacques Président Grandmorin : président de la Compagnie de l’Ouest ; résidence à la Croix-de-Maufras ; abuse de jeunes filles Jacques Lantier : mécanicien ; amant de Séverine ; amoureux de la Lison, sa locomotive Pecqueux : chauffeur de train ; associé avec Jacques ; amoureux de la Lison La mère Victoire : nourrisse de Séverine Flore : cousine de Jacques ;

Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! Trop tard ! Jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée