Les Amours jaunes

Jean Bertheroy, La Mime Bathylle (1894) Léon Bloy, Histoires désobligeantes, (1894) Élémir Bourges, Le Crépuscule des dieux (1884) René Boylesve, Les Bains de Bade (1896) Félicien Champsaur, L’Amant des danseuses (1888) Tristan Corbière, Les Amours Jaunes (1873) Paul Devaux, Les Fellatores, mœurs de la décadence (1888) disponible sur Gallica

du développement – intérêt littéraire – ouverture) 1- Texte : « Sonnet à Sir Bob », Les Amours jaunes, de Tristan Corbière (1873) Certes, le « Sonnet à sir Bob » respecte les règles d'écriture et de composition d'une forme poétique depuis longtemps codifiée, mais nous avons montré que c'est sur le ton de la parodie, et non par déférence à l'égard de la tradition. Le titre du recueil — Les Amours jaunes — suggère au lecteur qu'on peut aimer "jaune" comme on "rit jaune", en dissimulant son dépit

quatrains sont composés de rimes embrassées finissant par deux sonorités: [ige] et [oir] et qui de surcroît s' alternent ce qui crée une musicalité au poème, une sorte de mélodie harmonieuse. Le troisième poème est un extrait du recueil Les Amours jaunes «Un sonnet avec la manière de s'en servir» de Tristan Corbière qui parodie le sonnet. Tout comme le sonnet traditionnel il est composé de deux quatrains et deux tercets , tous composés d'alexandrins. Les quatrains possèdent des rimes croisées et

avenir. Les assis Noirs de loupes, grêlés, les yeux cerclés de bagues Vertes, leurs doigts boulus crispés à leurs fémurs, Le sinciput plaqué de hargnosités vagues Comme les floraisons lépreuses des vieux murs ; Ils ont greffé dans des amours épileptiques Leur fantasque ossature aux grands squelettes noirs De leurs chaises ; leurs pieds aux barreaux rachitiques S'entrelacent pour les matins et pour les soirs ! Ces vieillards ont toujours fait tresse avec leurs sièges, Sentant les

impressionnante composée d’arbres gigantesques de toutes les couleurs qui s’entrecroisent par leur hauteur et qui dégage une multitude de parfums enivrants : « des ours enivrés de raisin », «  des gazons rougis par les fraises », « des perroquets verts à têtes jaunes ». Cette Nature est donc un endroit où faunes, flores, couleurs et parfums se mélangent pour créer une harmonie propice au bonheur. Dans ce récit, la Nature a aussi un rôle de mère. Lorsque les personnages sont en sa présence, ils sont isolés et sont

oeuvre se compose de huit nouvelles (Angélique, Sylvie, Chansons et légendes du Valois, Jemmy, Octavie, Isis, Corilla, Emilie) et d'un ensemble de douze sonnets plaçé à la fin du recueil (Les chimères). Initialement, Nerval voulait intituler ce recueil Amours Perdus. Au sein de cette nouvelle portée à notre étude, Sylvie, il s'agit bien de la perte d'un amour, de son effacement. Dans cet extrait, le narrateur revient au bal de Loisy pour y voir Sylvie, qui fût un temps sa compagne. Il s'agit ici d'une

. . . . .Bonsoir – ce crapaud-là c’est moi.              Ce soir, 20 Juillet.Tristan Corbière , Les Amours jaunes, “Le Crapaud”, section Les amours jaunes, 1873 “Le Crapaud”, Les Amours jaunes , Corbière Fiche d’identité de l’oeuvre· Recueil poétique : Les Amours jaunes · Titre : Le Crapaud· Date : 1873· Section : Les amours jaunes · Mouvement littéraire : le romantisme et la parnasse. · Thèmes principaux : la femme, l’homme dans

parisienne, Armida Josefina Cuchiani. Délaissant son prénom d'état-civil, Édouard-Joachim, pour prendre celui, plus évocateur, de Tristan (pour « Triste en corps bière ») , il fait paraître à compte d'auteur en 1873 son unique recueil de poèmes, Les Amours jaunes, qui passe inaperçu. Corbière, qui ne connut aucun succès de son vivant, sera révélé de manière posthume par Verlaine, qui lui consacre un chapitre de son essai, Les Poètes maudits (1883).Le poète qui rêvait d'être marin ne put satisfaire son désir

| |LECTURES CURSIVES D’ACCOMPAGNEMENT | |- Lecture cursive de « Le poète et la cigale »extrait des Amours jaunes de Tristan Corbière (livre unique Nathan pages 373, 374). | |- Lecture cursive de deux contes philosophiques de Voltaire : Les Deux Consolés et Petite Digression de Voltaire. | |- Lecture cursive d’une œuvre intégrale

............................................ Bonsoir - Ce crapaud-là c'est moi. Ce soir, 20 juillet Tristan Corbière Commentaire du poème "Le Crapaud" de Tristan Corbière (1845-1875) Ce court poème, extrait du recueil Les Amours jaunes, présente sous une forme quelque peu énigmatique la découverte d'un animal à la fois réel et symbolique, derrière lequel nous devinons ce personnage de "poète maudit" qu'incarna au siècle dernier Tristan Corbière. Après avoir étudié ces effets