Les Amours jaunes

automatique » (cf surréalisme) « allo allo encore une nuit pas la peine de chercher c’est moi l’homme des cavernes » = l’homme primordial « Conquête de l’aube » + « Débris » = poétique de l’orgasme 1) « nous mourons / avec des regards croissant en amours extatiques » « mort blanche » « l’araignée de perles salive » « merveilleuse mort de rien » « le château des rosées » «  triangle orchidal » « jaillir » 2) « pluie et or des balles de l’orgasme, tes yeux / merde c’est la mer sans allèle qui

Symbolique du vert = Mouvement, Variation, Changement ( Hasard, Jeu, Destin, Sort, Chance )Au M-Â, on s’affrontait sur un champ vert en duel judiciaire. Jongleurs, Bouffons étaient en vert. Les enfants et les amoureux étaient en vert ( « vert paradis des amours enfantines »)XVIème, on joue dans les casinos de Venise sur des tapis verts ( « langue verte » : argot des joueurs )XVIIème, on joue sur des tables vertes à la Cour.Les tables des CA ( se jouent le destin de l’entreprise ) sont vertes, table de ping-pong

s'agit d'une galerie couverte avec des baies donnant sur le portique. Les murs étaient décorés de panneaux peints alternativement jaune et rouge avec de petits sujets au milieu. Le soubassement était peint en noir avec un décor de fleurs rouges et jaunes et de plantes. Au centre de la galerie est, une niche carrée peinte en vert et rouge à soubassement noir abrite une statue d'Eumachia consacrée par les foulons avec un piédestal portant une inscription : Eumachia L[uci] f(iliae) sacerd(oti) publ(icae)

se traduit par : adoration, idolâtrie. L’agapé est d’abord l’amour que dieux a pour nous. L’amour des hommes pour dieux est l’ « Latréia ». L’amour chrétien est grec sont donc très différents. Pourquoi donc y a-t-il une différence entre ces deux amours ?   B/  Le péché originel Chez les grecs, les dieux ont de l’Eros et de la Philia pour les hommes alors que Pour les chrétiens, dieux a de la pitié pour la « bêtise de l’homme ». Le péché originel a amené le pardon. Chez les grecs ce n’est pas

les cadeaux empoisonnés de ce père fou de la vie de ses filles. Eugène se rend bien compte que son voisin achève de se déposséder jusqu’au dénuement. De plus il perçoit, sans se l’avouer, que Goriot se conduit de manière immorale en favorisant les amours adultères de Delphine. Eugène, comme Christophe, a d’abord une dette envers le vermicellier, celle des cadeaux reçus, même s’ils n’ont pas été donnés sans arrière-pensée. Ensuite le jeune homme admire cette folle générosité au point que Goriot est

les viraux de Sainte-Gudule et le beffroi de l’hôtel de ville, et regardait, non sans inquiétude, toutes les femmes qui passaient. Il rencontra un nombre incalculable de négresses, de mulâtresses, de quarteronnes, de métisses, de griffes, de femmes jaunes, de femmes cuivrées, de femmes vertes, de femmes couleur de revers de botte, mais pas une seule blonde ; s’il avait fait un peu plus chaud, il aurait pu se croire à Séville ; rien n’y manquait, pas même la mantille noire. Pourtant, en rentrant dans

grands cafés, pleins de monde, débordaient sur le trottoir, étalant leur public de buveurs sous la lumière éclatante et crue de leur devanture illuminée. Devant eux, sur de petites tables carrées ou rondes, les verres contenaient des liquides rouges, jaunes, verts, bruns, de toutes les nuances ; et dans l’intérieur des carafes on voyait briller les gros cylindres transparents de glace qui refroidissaient la belle eau claire. Devoir 01-FR10-09 27 Texte B - Émile Zola, extrait du chapitre 2 de

traduit par : adoration, idolâtrie. L’agapé est d’abord l’amour que dieux a pour nous. L’amour des hommes pour dieux est l’ « Latréia ». L’amour chrétien est grec sont donc très différents. Pourquoi donc y a-t-il une différence entre ces deux amours ? B/  Le péché originel Chez les grecs, les dieux ont de l’Eros et de la Philia pour les hommes alors que Pour les chrétiens, dieux a de la pitié pour la « bêtise de l’homme ». Le péché originel a amené le pardon. Chez les grecs ce n’est pas

des Contes drolatiques, La Grenadière et Louis Lambert. Avec le Lys dans la vallée, enfin, en 1836, Balzac écrivit véritablement le poème de sa terre natale, plaçant dans la bucolique vallée de l’Indre, devenue depuis lors la « vallée du Lys », les amours platoniques de Félix de Vandenesse et de Mme de Mortsauf. Emporté par le lyrisme que suscite chez lui le souvenir de Tours, l’auteur des Contes drolatiques s’est même, curieusement livré dans l’Apostrophe, à une digression quelque peu anachronique

en éruption, les tremblements de terre à répétition qui secouaient la planète, les cyclones qui balayaient les arbres sur leur passage, les raz de marrée qui se succédaient, je l’ai trouvée allongée nue sur un parterre de pétales de roses rouges et jaunes et une envie irrésistible de me déverser en elle me reprit. Elle m’offrit sa bouche, ses yeux pétillaient d’une flamme débordante. Enfin, je ne me trouvais plus seul, j’avais retrouvé ma moitié. Je restais à la contempler. Elle sommeillait paisiblement