Les Bandits

cette butte là, y avait pas d'gigolette Pas de marlous ni de beaux muscalins Ah, c'était loin du moulin d'la galette, Et de Paname qu'est le roi des pat'lins Ce qu'elle en a bu, du beau sang cette terre Sang d'ouvrier, sang de paysan, Car les bandits, qui sont cause des guerres N'en meurent jamais on n'tue qu'les innocents La butte rouge, c'est son nom, l'baptème s'fit un matin Où tous ceux qui grimpèrent, roulèrent dans le ravin Aujourd'hui y a des vignes il y pousse du raisin Qui boira

sont parti, sa femme ayant deviné l'idée de son mari, le supplie d'arrêter mais sans l'écouter, il va, avec son fils, dans la forêt et l'abat d'un coup de fusil. Falcone est d'un temps où les bandits sont des légendes et les dénoncer est considéré comme un déshonneur. Mateo Falcone étant un ancien bandit n'a pas accepté cette trahison de la part de son propre fils, ce qui peut expliquer qu'il l'ait abattu. 3. ÉTUDE DES PERSONNAGES Mateo Falcone Au début de la nouvelle, le narrateur

inquiétante. P.62 « vous ne pouvez pas vous imaginer ce qu’il était beau ce bandit ». Séduire signifie à l’origine détourner. Or dès lors que la beauté est séduisante peut on manquer de la soupçonner de quelque chose de suspect. Rampal, dit Cartouche (p.124). « Cartouche » fait penser à « bandit » : ce nom renvoie à un des bandits les plus connus du 18ème siècle. Sa description est celle d’un homme élégant (vraies bottes), pas d’un bandit. Cartouche n’hésite pas à « se salir les mains » : sens immédiat ok

voir ! ». Du côté opposé, Herobrine entendit des bruits de pas ; juste un voyageur qui passait par là. Herobrine se cacha et attendit. Il entendit la voix d'un bandit : -Que fait-tu ici ? demanda-t-il d'une voix douce, ce qui était signe de menace chez eux. -Je voyage jusqu'à... -Oh, et pis rien à faire ! il entendit un son aigüe : le bandit avait dégainé son épée, donne-moi ton fic ou crève ! -Quoi ? Mais qu'est-ce que, dit le voyageur, sans comprendre ce qui lui arrivait. -Alors ?! La bourse ou la

écris a la première personne emplois du « moi ». Puis ensuite laisse place a un discourt rapporter à un style indirect. Le dialogue occupe la majorité du texte. A la fin du discourt imaginaire entre guillemets,le « moi » s'adresse à un hypothétique bandit et dans ce discourt il s'adresse directement à lui. Mise en place des circonstance du débat (l 1 à 10 ) contexte: le père interroger le docteur sur ses patients, ensuite on glisse vers le cas particulier de l'escroc. Problème de déontologie médicale

dont le bourreau sait d'avance les noms, Gens dont jamais le fer ni le coeur ne s'émousse, Ayant tous quelques sang à venger qui les pousse ? Vous viendrez commander ma bande, comme on dit ? Car, vous ne savez pas, moi je suis un bandit ! Quand tout me poursuivait dans toutes les Espagne, Seul, dans ses forêts, dans ses hautes montagnes, Dans ses rocs, ou l'on n'est que de l'aigle aperçu, La vieille Catalogne en mère m'a reçu. Parmi ses montagnards, libres

Une série de poursuite continue jusqu’à ce que Tintin soit intercepté par les Dupondt. Tintin fait un marché avec les Dupondt pour qu’il le laisse en liberté jusqu’à ce qu’il capture les bandits. Cependant, les Dupondt doivent suivent Tintin. Tintin et les Dupondt volent des avions pour poursuivre les bandits, mais l’avion de Tintin s’écrase à cause du brouillard. Un vieillard offre à Tintin de passer la nuit chez lui. Le lendemain, Tintin entend à la radio qu’il on retrouvé au large de Kiltoch

noyait des fleurs sut ta bouche ?Et un matin tout était en feuet un matin les bûchers sortaient de terre dévorant les êtres vivants, et dès lors ce fut le feu, ce fut la poudre, et ce fut le sang.Des bandits avec des avions, avec des maures, des bandits avec des bagues et des duchesses, des bandits avec des moines noirs pour bénir tombaient du ciel pour tuer des enfants, et à travers les rues le sang des enfantscoulait simplement, comme du sang d'enfants.Générauxde trahison :regardez ma maison morte

bûcheron. Un jour, alors qu’il coupe du bois, Ali Baba entend le chef des quarante voleurs prononcer une étrange formule magique : « Sésame, ouvre-toi ! ». Qu’elle n’est pas sa surprise de voir la roche s’ouvrir à cet ordre ! Après le départ des bandits, Ali Baba entre dans la grotte et découvre des trésors immenses. Il quitte la grotte en emportant une partie d’or. Ali Baba a un frère, Kassim, qui est un riche marchant. Celui-ci est surpris par la fortune soudaine de son frère. Ali Baba

vie d’Hernani. La scène oppose deux personnages : Doña Sol et Hernani. La tirade d’Hernani répond aux promesses de Doña Sol qui veut absolument le suivre. Elle a pour but de la décourager. On y apprend qu’Hernani est un hors-la-loi : « je suis un bandit ! » (l29) , qu’il est exclu de la société et pourchassé par elle : « Quand tout me poursuivait…la vieille Catalogne en mère m’a reçu » (l31 à 33). Il vit et se cache dans les montagnes parmi des hommes violents et également en rupture de ban « …