Les Beaux Quartiers

dépeint la diversité du monde ouvrier : diversité des métiers, diversité des types d’ouvriers. Repasseuses, blanchisseuses, cardeuses, chaînistes, boulonniers, zingueurs, serruriers apparaissent, entre autres, dans le quartier de la Goutte d’Or, et parmi eux de bons ouvriers (Goujet), de beaux parleurs, profiteurs (Lantier), des alcooliques (Coupeau, Bibi-la-Grillade), de vieux ouvriers abandonnés (le père Bru). Leur travail présente diverses facettes, et toutes ne sont pas noires : certes le linge que

    [Nana, comédienne et prostituée, a contracté la variole, une maladie défigurante. Elle meurt dans une chambre du Grand Hôtel, entourée des différentes femmes qui ont croisé sa route, et notamment de Rose Mignon, une ancienne rivale. Dans le quartier, la déclaration de guerre de la France contre la Prusse ( le 19 juillet 1870) suscite l’enthousiasme de la foule.] Mais, comme Lucy, Blanche et Caroline étaient encore là, Rose donna un dernier coup d'œil pour laisser la pièce en ordre. Elle

l’Ecole des beaux arts de Paris au XIX rétablis en 1795, jusqu’à la Réforme 1863 c’est sous le contrôle direct de l’académie des beaux arts (faible ouverture à l’avant-garde), admission sur concours et les exercices centraux : dessin académique (portrait nu de modèle vivant ou des sculptures), exclusivement de dessin et enseignement par atelier. En 1863, le directeur et les professeurs sont nommés par l’Etat mise en place d’atelier public financé par l’Etat. Après 1863, trois ateliers des beaux arts dirigés

conversation étaient des lieux de mondanité, et de rencontre entre le beau monde. C’est pour cette raison qu’on les retrouvait dans les beaux quartiers de Paris comme le Marais. La vie mondaine du 17ème siècle à Paris se développe dans un quartier bourgeois près du cœur de paris : le marais. Ce quartier est construit de riches hôtels, demeures de la haute bourgeoisie. Le quartier du marais est donc au XVIIe siècle, le nouveau centre culturel de paris. Les nouveaux aristocrates redonnent de l’élan à des distractions

D., Romain La bourgeoisie La grande bourgeoisie est dominante dans la société avec des revenus élevés. Elle est composé de banquiers, de grands négociants, des industriels, des hauts fonctionnaires ou des capitalistes. Ils vivent dans les beaux quartiers ou dans les hôtels soignés par de nombreux domestiques. Ils vénèrent l'argent. La moyenne et la petite bourgeoisie sont composées de petits patrons de l'artisanat et du commerce : les avocats, les médecins, les employés et les instituteurs. Ils

irrégularité. Le tracé peut résulter d'une ancienne voie de pénétration dans la ville, le long de laquelle se sont implantées les activités, au fur et à mesure que grandissait la ville, et que l'enceinte fortifiée se déplaçait, englobant de nouveaux quartiers. Ces voies de pénétration, où circulent les marchandises et les voyageurs se rendant en ville, sont vitales pour l'activité de la cité. C'est là qu'entrent le plus violemment en conflit les nécessités de la circulation avec les perpétuels empiètements

globale, celui de légitime défense, et encourageant l’appel à une politique répressive vigoureuse.De façon explicite ou implicite, la source désignée de l’insécurité serait l’énorme masse des déshérités qui s’entassent dans les favelas autour des quartiers aisés. La presse à sensation et les journaux télévisés multiplient les nouvelles effrayantes : vols à la tire se terminant en barbares assassinats ; meurtres épouvantables ; enlèvements, viols qui témoigneraient de la redoutable audace des bandes

documents 1,2,3 , retrouvez les facteurs d’ ambiance qui caractérisent les boutiques Nespresso et complétez le tableau ( page 4 ) Document 1 La boutique Nespresso Prony a élue domicile dans un hôtel particulier, au N° 41. L'extérieur est chic comme le quartier, le bon côté du 17° arrondissement !!! Porte en verre, bien lourde, avec un insert de verre sablé sur lequel est gravé le logo Nespresso. On monte 4-5 marches d'un petit escalier et on arrive de plein pied dans la boutique. A droite les différentes

échange, un partage, quels que soient l’environnement et le type de public. Un bon communiquant ne fait pas l’impasse sur ses émotions puisqu’il est naturellement dans l’émotion. Comme l’évoque Stefan Zweig, « Il ne sert à rien d’éprouver les plus beaux sentiments, si l’on ne parvient pas à les communiquer ». L'orateur doit donc rentrer en communication, en communion avec le public qui ressentira toujours son degré d'implication. Les modes de communication des individus n’ont cessé d’évoluer au

positive car il faut dire que le héros traverse surtout les beaux quartiers : "quai Saint Bernard", "Louvre"... Frédéric est très enthousiaste et la ville lui semble le lieu de toutes les promesses : "ce bon air de Paris qui semble contenir des effluves amoureux et des émanations intellectuelles." En revanche, si Zola décrit aussi Paris dans L'Assommoir, la vision qu'il en donne est loin d'être aussi positive car il parle là des quartiers pauvres et populaires dont même les noms ne font pas rêver