Les Beaux Souvenirs

nature est éternelle et l’homme est éphémère. « Je ne viens point jeter un regret inutile  Dans l'écho de ces bois témoins de mon bonheur.  Fière est cette forêt dans sa beauté tranquille,  Et fier aussi mon cœur ». – Musset (souvenir, recueille poésies nouvelles) Musset dit que les bois sont témoins de son bonheur passé et cette foret fière reflet son l’état d’âme. « La nature t’invite et t’aime. Plonage toi dans son sein qu’elle t’ouvert toujours »

un  manque profond et  une  solitude  éperdue  (comme la  mort d’un être cher). C’est  donc  sous  le  thème  de  la  nostalgie  que  nous  avons  choisi  de  créer  notre  anthologie poétique.  Dans  la  nostalgie,  on  retrouve  les  thèmes  du souvenir, du  regret  ou encore  de  l’amour.  Chez les poètes,  la  plupart  des  textes nostalgiques  parlent  de l’amour passé  tel  que  par  exemple  les  poèmes  de  Verlaine,  la  mort  avec  Victor  Hugo  ou  bien  encore  l’exil  où  l’on  peut citer Joachim 

l'année, rapidité du temps "heure fugitive" - opposition entre la demande et l'action B) Images des souvenirs - champ lexical du lieu "lac", "roches", "ondes", "flots" -> proche de lui par "ces" démonstratifs - parle sur un ton familier -> "tu" donc personnification -> le lac a des souvenirs - indices du récit -> "promenades en barque" avec aussi le passé simple et l'imparfait - souvenir heureux -> "harmonie et sérénité" par le rythme régulier et la mélodie des paroles de Julie II ) Dimension

I. Nathelie Sarraute Nathalie (Natasha) Sarraute est née en 1900 en Russie oú sont creées ses souvenirs d´enfance. Son oncle Gricha était un avocat. Elle était influencé par son oncle et elle a commencée son carriére comme l´avocat. Elle a étudiée les droits á Paris, mais en age 40 ans elle est arretée comme l´avocat et elle s´est concentrée suelement sur la litterature. Elle a écrit dans l´époque du Nouveau Roman. Son premier oeuvre est Tropismes(1939) – un texte critique sur les réactions des

soleil couchant perçait les feuillages de ses traits enflammés », dans son souvenir tout est beau Sylvie est « si vive et fraîche ». Le lecteur est plongé dans un décor vivant. Bien que cela reste un rêve, Nerval le décrit de manière harmonieuse et enjolive à travers ses pensées ce souvenir avec Sylvie. Pour finir, quand Nerval dit « j’arrange ma vie comme dans un roman » on dirait qu’il juxtapose sa vie à ses souvenir. On entend aussi par le verbe arranger une connotation d’amélioration. Il améliore

qui peuvent comporter des tas d’interprétations. « Le lac » d’Alphonse de Lamartine, Méditations poétiques. 1820 « La courbe de tes yeux… » Paul Eluard, Capitale de la douleur 1926 « Où que tu sois, je t’aime » André Velter, l’amour extrême. « Souvenir » Alfred de Musset, Poésies nouvelles, 1850 «  elle était déchaussée » Victor Hugo, Les contemplations, 1856 « Comme un chevreuil » Pierre de Ronsard, Amours de Cassandre, 1552 «  Et la mer et l’amour… » Pierre de Marbeuf, recueil de vers, 1628

Désirs et mes Soupirs  Toutes mes Peines et mes Veillées et Souvenirs  Étouffés, seront rangés comme mes Chemises Tu es mon Ange et ma belle Colombe  Tu le seras encore plus  Mais vas-y éloigne-toi  Je ne peux te rendre heureuse  Heureuse, tu le seras bien loin encore  Avec moi, ma belle chérie  Tu souffriras encore plus  Et pour ne pas te faire de mal, A ta place, je subis blessures  Je m'habitue à bien souffrir  En beaux Poèmes je t'écrirai et syllabes  Je t'écrirai, Parole d'honneur 

Poussant en pleine liberté, Non planté par un deuil dicté, - Qui flotte au long d’une humble pierre. Sur cet arbre, été comme hiver, Un oiseau vient qui chante clair Sa chanson tristement fidèle. Cet arbre et cet oiseau c’est nous : Toi le souvenir, moi l’absence Que le temps – qui passe – recense… Ah, vivre encore à tes genoux ! Ah, vivre encor ! Mais quoi, ma belle, Le néant est mon froid vainqueur… Du moins, dis, je vis dans ton coeur ? Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux

Bulgare macédonien d'origine tchèque. Son père possédait une usine de produits chimiques et sa mère était secrétaire générale de l’Académie des Beaux-Arts de Sofia jusqu’en 1931. Sa mère avait fui la Macédoine en 1913. La famille de Christo a beaucoup servi de refuge à des artistes et des amis fuyant les bombardements des villes par les Alliés. Au nombre des souvenirs d’enfance de Christo figurent aussi les corps de partisans exécutés dans les rues et l'entrée de l’Armée Rouge en Bulgarie en 1944. Le père

champ lexical de la lumière avec les mots « beaux été, flambeaux, nuit, cœur » ce qui indique une preuve d’amour encore probable de la poétesse. Cependant au premier vers MDV insiste sur l’expression « je voulais m’éteindre » au conditionnel, montrant une annonce de poème d’adieu, rajouté par le champ lexical de la tristesse afin de donner à cette première strophe un sentiment de douleur profonde et de sa souffrance ressentie. Au vers 2 MDV compare les beaux été à la nuit nous montrant ainsi sa douleur