Les Belles Soeurs

néanmoins tout le monde se regarda d'un air interrogateur et on envoya ma grand'mère en reconnaissance. « Pensez à le remercier intelligiblement de son vin, vous savez qu'il est délicieux et la caisse est énorme », recommanda mon grand-père à ses deux belles-soeurs. « Ne commencez pas à chuchoter, dit ma grand'tante. Comme c'est confortable d'arriver dans une maison où tout le monde parle bas. » – « Ah ! voilà M. Swann. Nous allons lui demander s'il croit qu'il fera beau demain », dit mon père. Ma mère pensait

Emile Zola (1840-1902) : principal théoricien de la doctrine naturaliste. Cf. Préfaces : Thérèse Raquin (1867), L’Assommoir (1877), La Bête humaine (1890), … - Guy de Maupassant (1850-1893) : Une Vie (1883), Bel-Ami (1885), Mont-Oriol (1887), … -Joris-Karl Huysmans (1848-1907) : Les Sœurs Vatard (1879), A vau-l’eau (1882). Le mouvement naturaliste est à la base une école littéraire et artistique du 19ème siècle né de l’influence de la médecine et des sciences expérimentales comme la psychologie

familles recomposées (ou couples recomposés), qui sont celles issues de parents ayant eu des enfants d’une précédente union. Dans les familles recomposées, on trouve : des demi-frères ou demi-sœurs, enfant avec lequel on a un parent en commun ; des belles-mères ou beaux-pères ; des quasi-frères ou quasi-sœurs, enfant qui n’a aucun lien de sang mais avec lequel on grandit. Selon l’anthropologue français Claude Lévi-Strauss, la famille est à la fois une institution sociale, juridique et économique

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Michel TREMBLAY (Québec) (1942-) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres (en particulier ‘’Les belles-sœurs’’) qui sont résumées et commentées. Bonne lecture ! Il est né le 25 juin 1942 à Montréal, «sous une table en train d’écouter des femmes parler», rue Fabre, dans le quartier du Plateau Mont-Royal qui était alors un quartier ouvrier. Il est le fils d’Armand Tremblay, qui était pressier et atteint de surdité

Un beau soir, deux sœurs jumelles de 16 ans, Sophie et Leila, se faisaient une soirée cinéma. Lisant des revues et mangeant du maïs soufflé, la porte d’entrée s’ouvrit. Tout d’un coup, un inconnu s’interposa entre Sophie et Leila avec un couteau à la main. Cet homme vêtu de noir, enleva Sophie et la mise dans le coffre de sa voiture. Leila ne put réagir à cette action inattendue. Sous le choc, elle composa tout de suite le numéro des secours. Comme leurs parents étaient partis en voyage,

incertain sur son avenir. Dans leur lointaine province, ses soeurs se privent de tout pour lui permettre d'occuper un jour dans le monde une place digne de ses origines. Mais la grande ville est là, avec son luxe et ses femmes, avec le scintillement de ses convoitises et avec ses tentations de facilité. L'étudiant s'est hasardé dans le monde, "il a flairé la Parisienne", il voudrait plaire. Les secours supplémentaires qu'il implore de ses soeurs sont dérisoires pour faire de Rastignac un dandy à cabriolet

de Sémèle; Seules on vit trois soeurs condamner ce saint zèle. Alcithoé, l'aînée, ayant pris ses fuseaux, Dit aux autres : «Quoi donc ! toujours les dieux nouveaux ! L'Olympe ne peut plus contenir tant de têtes, Ni l'an fournir de jours assez pour tant de fêtes. Je ne dis rien des voeux dus aux travaux divers De ce dieu qui purgea de monstres l'univers : Mais à quoi sert Bacchus, qu'à causer des querelles ? Affaiblir les plus sains ? enlaidir les plus belles ? Souvent mener au Styx par de

Hugo a choisi la date de 1842 pour ce poème, juste avant cette mort, en 1843 : on est donc bien proche de ce passage « de l’autre côté » de la vie.L’une pareille au cygne et l’autre à la colombe, Belles, et toutes deux joyeuses, ô douceur ! Voyez, la grande sœur et la petite sœur Sont assises (…)Deux sœurs inséparables sous le regard du père- le poète consacre à chacune un hémistiche - elles ne sont pas nommées, ce qui contribue à ne pas les distinguer + à la fois souvenir autobiographique

face à la sentence de l'oracle, pleurent et ne savent que faire sinon se résigner au précepte fatal. Après ces événements, les parents, impuissants, ne peuvent que s'enfermer dans un long deuil et ils n'en seront jamais consolés car les deux soeurs de Psyché, qui lui rendront visite à trois reprises, ne voudront jamais par jalousie et par orgueil avouer et faire partager le bonheur de Psyché avec leurs parents. Chez La Fontaine Psyché nous est présentée entre deux groupes de personnages

 attribués,  que  Charles  Perrault  a  choisit  n’est  pas   anodins  :  un  père  veuf  inexistant  aux  yeux  de  sa  fille,  une  belle-­‐mère  atroce  et  deux  belles  sœurs   méchantes  et  jalouses  :  cela  est  fréquent  dans  des  contes  merveilleux  comme  celui  ci.  Le  Prince  et   le  Roi  sont  deux  types  de  personnages  choisies