Les Biens Publics Mondiaux Economie

L'organisation de l'espace mondial La mondialisation * Facteurs - Libéralisme éco ( liberté d'entreprendre, créer son entreprise + prix fixés par la loi de l'offre et de la demande + libre echange ). Il sétend à l'Europe, Japon, Usa, ex pays communistes et Chine. - Les inégalités de developpement ( voir schèma) - Progrès en transports ( 2/3 par bateau = gigantisme, conteneurisation et intermodalisme) et en communication ( tic transmettent les capitaux et informations) * Aspects

économique interventionniste menée par un État dans le but de protéger son économie contre la concurrence des autres États. Les mesures protectionnistes consistent essentiellement à freiner les importations (barrières douanières, normes contraignantes, freins administratifs...), encourager les exportations (subventions diverses, incitations fiscales), privilégier les entreprises nationales dans les appels d'offres de marchés publics, empêcher les investisseurs étrangers de prendre le contrôle d'entreprises

l'exploitation des ressources naturelles : agriculture, pêche, forêts, mais aussi mines le secteur secondaire qui est l'ensemble des activités consistant en une transformation plus ou moins élaborée de produits matériels (entreprises produisant des biens économiques) _ le secteur tertiaire qui est l'ensemble des activités ayant pour objet la fourniture de services immatériels. (entreprises fournissant des services aux entreprises ou aux particuliers) Ce découpage est celui adopté par la Comptabilité

Exposé sur le bouquin de Francois Bourguignon, L1 cours de macro-économie. Chapitre 6 : Quelles institutions pour le développement ? Introduction : Crée fin 1944, deux institutions existent toujours aujourd’hui, la Banque Mondiale et Les Fonds Monétaires Internationales. De nouvelles ont fait leur apparition suite à la Mondialisation des Pays. Devenus nécessaire pour les pays en émergence qui avec les crises à répétition ne s’en sortent plus (1973, krach de 1987, la bulle spéculative de la Fed

ECONOMIQUE 1.1 – LA CROISSANCE ECONOMIQUE EST-ELLE FACILEMENT MESURABLE ? Introduction :  En 1820, le milliard d’hommes qui peuplait alors la planète produisait, du fait de son activité économique, pour un peu plus de 720 milliards de dollars de biens et de services évalués aux prix internationaux de 2011. En 2011, les 7 milliards d’hommes en ont produit...80 000 milliards de dollars. Miracle des exponentielles, car cette multiplication par cent-onze correspond en fait à un rythme annuel moyen

La demande du marché Demande : les quantités de biens et services que les consommateurs veulent et peuvent acheter aux différents prix. (besoin + monnaie) Tableau de demande : tableau qui met en relation le prix d’un bien et la quantité demandée. Courbe de demande : courbe de pente généralement négative reliant le prix et la quantité demandée. Déterminants de la demande : prix du marché, revenu du consommateur, prix des autres biens, goûts, nombre de consommateurs, anticipations. La

budgétaire : ils peuvent diminuer leur consommation du bien ou du service, ou se tourner vers des biens substituables lorsque c’est possible. La baisse de la demande est d’autant plus importante que l’élasticité prix du bien considéré est forte (c'est-à-dire que la demande est très sensible à la variation des prix : une hausse de prix entraîne une baisse significative de la demande). Dans le cas de biens faiblement élastiques, les demandeurs sont parfois amenés à maintenir leur consommation au même

développement 7 2.3.La mesure du développement 8 Webographie 13 Bibliographie 14 La croissance économique caractérise l'augmentation durable de la richesse produite, ou l'accroissement de la production globale sur un territoire ou dans une économie nationale. Cette augmentation (qui peut être irrégulière et subir des fluctuations) est un phénomène quantitatif qui peut être mesurée en volume ou en valeur par l'évolution d'agrégats tel que le PIB. Cette croissance quantitative se traduit notamment

puissance publique remise en cause par le marché A. La notion de gouvernance mondiale remet en cause le cadre étatique Une définition possible de la gouvernance mondiale est celle qu’en donne Pascal Lamy, qui y voit « l’ensemble des transactions par lesquelles des règles collectives sont élaborées, décidées, légitimées, mises en œuvres et contrôlées ». Comme l’a rappelé Gilles Andréani (2001), le thème de la gouvernance mondiale n’est pas nouveau mais l’actualité économique internationale de la fin du

d’un plan cohérent qui ménage l’équilibre des parties. Il sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l’expression et du soin apporté à la présentation. Sujet = En quoi les firmes transnationales participent-elles à la mondialisation des économies ? DOCUMENT 1 – Plus de 82 000 firmes multinationales aujourd’hui, comptant 810 000 filiales étrangères, contre 7 000 à la fin des années 60. Elles viennent essentiellement des pays riches (sur les 500 premières, on compte environ 170 européennes