Les Blancs Disent

qu'il faut se battre pour tellement de choses dans la vie, le voyageur lui décide de faire une trêve, lorsqu'il prépare son sac et qu'il le met sur son dos en pensant : « le voilà, mon drapeau blanc ». Ce voyageur, même s'il reste discret, a toujours un œil fraternel lorsqu'il croise tous ces drapeaux blancs. Il sourit de l'intérieur et se sent dans un monde qui s'ouvre. Non pas d'en haut, non pas des lois et des esprits technocratisés, non pas des administrations de l'embrouillage de l'esprit mais

la quasi-répétition du début, et dont les traditionnelles retrouvailles sont remplacées par une parodie de reconnaissance d'une invraisemblance ahurissante. Les personnages, tout droit sortis d'un manuel de langue, ne s'expriment que par clichés, disent une chose pour aussitôt affirmer son contraire, trouvent une jubilation idiote à employer proverbes et maximes tout en les pervertissant sans même s'en apercevoir. Il en résulte un petit chef-d'oeuvre comique, traité sur l'absurde, variation sur la

blancheur était sans bornes et éclatante, sous la tombée continue des flocons. Cependant, la Lison filait à une vitesse moyenne, n'ayant plus rencontré d'obstacle. On avait, par précaution, laissé allumés les feux d'avant et d'arrière ; et le fanal blanc, à la base de la cheminée, luisait dans le jour, comme un œil vivant de cyclope. Elle roulait, elle approchait de la tranchée, avec cet œil largement ouvert. Alors, il sembla qu'elle se mît à souffler d'un petit souffle court, ainsi qu'un cheval qui

moindre parole du roi et du pape sans essayer de se révolter ou autre. Dans le deuxième extrait tiré de Candide ou l’optimisme, Voltaire va faire une critique de l’esclavage à travers l’histoire du « nègre ». Ce dernier est esclave chez un maitre blanc qui le maltraite, il lui a déjà coupé une main pour s’être fait « attraper un doigt par la meule » et ensuite couper un pied car il avait essayé de s’enfuir. L’esclave est considéré comme un animal de compagnie « J’attends mon maitre », « un caleçon

siècle par Rogier van der Weyden est une œuvre impressionnante constituée de dix personnages presque en grandeur réelle et placée dans un espace avec un fond doré. Au premier plan, Joseph d’Arimathie, debout au pied de la croix, tient en main un drap blanc sur lequel repose le corps du Christ. Il est âgé et barbu, porte une calotte violette sur la tête, une tunique et des bas rouges ainsi qu’un manteau noir. A sa droite, Nicodème supporte à deux mains les jambes du Christ. Il porte un riche manteau

formes de discrimination existant à l’ époque de Jésus. Quel est l’ attitude de Jésus vis-à-vis des exclus de son époque ? Le racisme, les races sont discriminés d’ après la couleur de peau, la nationnalité, ou la religion. Beaucoup de gens qui se disent racistes préfèrent se redéfinirent scénophobes lorsqu'ils s'informent du sens du mot. La xénophobie à plusieurs degrés : - Le sentiment de malaise qu'on a face à 1 personne qui parle une autre langue. - Le déménagement : insécurité dans son quartier

LES MORALES VII,1 Les animaux malades de la peste Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. VII, 2 Le Mal Marié Que le bon soit toujours camarade du beau, Dès demain je chercherai femme ; Mais comme le divorce entre eux n'est pas nouveau, Et que peu de beaux corps, hôtes d'une belle âme, Assemblent l'un et l'autre point, Ne trouvez pas mauvais que je ne cherche point. J'ai vu beaucoup d'Hymens, aucuns d'eux ne me tentent : Cependant

une sœur aînée, Christine King Ferris, et un plus jeune frère, Albert Daniel Williams King. Il grandit au sein de l'Amérique ségrégationniste2. Sa première expérience de la ségrégation raciale date de ses six ans quand deux camarades de jeu blancs lui disent qu'ils ne sont plus autorisés à jouer avec lui. Sa mère lui explique que c'est parce qu'ils sont maintenant dans des écoles ségrégationnistes blanches, mais souligne qu'il est aussi bon que n'importe qui3. En 1939, il chante avec le chœur

L’industrie soviétique et le personnage capitaliste sont en opposition. «Tout le pouvoir aux Soviets » « Vive l’invincible parti de Lénine ! Vive le grand leader de la révolution mondiale du prolétariat, le camarade Staline ! » Variées… rouge, gris… blanc, Noir, blanc, rouge. Staline, en haut d’une tribune avec des roses, avec deux enfants qui l’observent (et l’admirent !) et lui offrent des fleurs. Le garçon porte le foulard rouge des Pionniers, organisation des jeunesses communistes. Staline bienveillant

cygnes. Thomas Leroy, le maître de ballet, la sait parfaite pour danser le Cygne blanc, mais doute qu'elle puisse aussi incarner son double maléfique, le Cygne noir, rôle pour lequel Lily lui semble mieux faite. Nina obtient néanmoins le rôle de « reine des cygnes », au détriment de Veronica. Les répétitions de danses se succèdent mais Nina n'arrive pas à danser le cygne noir : Nina n'est faite que pour le cygne blanc. La pression qu'elle subit est énorme : sa mère Erica, la bride et la surprotège