Les Blessures assassines

(« pied », « tête », « chair », « visage », « barbe », « bras », « main droite », « quatre doigts ») sont énumérées comme autant de gros plans émotionnels qui marquent la « dislocation » de ce corps autrefois vénérable. Le Mendiant mentionne les blessures (« la plaie ») et leurs conséquences – le « sang » qui manque d’éclabousser Clytemnestre et auquel fait écho la couleur de sa robe « rouge ». Il effectue aussi un gros plan sur l’arme du crime, celle-là même de la tragédie grecque. Une scène tout

compréhensif à la tête du parti césarien Deux camps s’opposent  Assassins de César : Marcus Brutus et Caius Cassius Longinus et leurs partisans Héritiers de César : M.Antoine (lieutt de César & consul ac lui en 44), Lépide (maître Cavalerie de César) & Octavien (Caius Julius Caesar Octavanius) pt neveu & fils adoptif de César par testament depuis 46 1ère séance du sénat après Ides : Cicéron fait voter amnistie des assassins & abolition dictature. Les républicains s’appuient sur Pompée

Il souffre et sa souffrance est accentuée par un fort champ lexical de la douleur « blessé, entaille profonde, douloureux, larmes, mourir… ». Cette souffrance est le fruit de l’homme. L’homme « avare bourreau de la création » qui « dérobe » et « assassine ». Nous avons là le portrait d’une humanité brutale et cruelle. Gautier et Baudelaire veulent révéler la brutalité du monde à l’égard des poètes, tel est leur objectif. Dans « Le pin des Landes », l’homme et la nature sont deux principes opposés

avec amertume que tout homme algérien a une mentalité de geôlier. C’est de là que vient cette blessure transformant cette patrie en prison : le père ne s’était-il pas mué en « étranger » parce qu’ayant découvert que sa fille – à trois ans -- a montré ses jambes quant elle jouait à la balançoire (O. S) ou à la bicyclette (N. P. D. M. P) ? « De ce passé, quelque chose vrille dans ma mémoire, devient blessure, griffure » (N. P. D. M. P, p. 48). Dans Vaste est la prison, se sentant à l’étroit, elle clame

seulement, quelques jours avant sa blessure, ayant connu dès sa jeunesse toutes les difficultés de l'existence, [27] cet homme que l'on a dépeint comme un pur bohème a toute sa vie été hanté par le désir de sécurité et s'est raccroché à tout ce qui pouvait représenter une stabilité, impliquer une identité : le mariage, l'uniforme…(1) «Puis il partit comme les autres avec un détachement» (2), nous dit Apollinaire en parlant de cet autre lui-même qu'est le poète «assassiné». Toujours en quête d'une identité

supporter. Grandmorin ayant invité Séverine à une longue promenade, celle ci refuse tout d'abord. Puis, sur l'injonction de son mari, lui écrit une lettre pour accepter. Cette lettre lui indique de prendre un certain train. Aidé de sa femme, Roubaud assassine sauvagement Grandmorin dans un wagon de l'express Paris - Le Havre. En regardant passer le train (alors qu'il vient de s'enfuir après son aventure avec Flore), Jacques Lantier entrevoit l'assassinat. L'enquête sur le meurtre est confiée au juge

marqué les mutations du cinéma français entre 1930 et 1950 Les débuts Après des études médiocres, Jean Renoir s'engage dans le corps des dragons en 1912.  Soldat en 1914, il sert dans l'aviation à partir de 1916. Il rapporte de la guerre une blessure à la jambe qui le fit boiter toute sa vie. En 1920, il épouse l'un des modèles de son père, Andrée Heuchling, et s'installa comme céramiste.  La sortie, en 1921, du film d'Erich von Stroheim Folies de femmes (Foolish Wives) décide de la suite de

une vieille femme qui crache sur son personnage, un coup de feu retentit, elle l’a tuée. À cet instant, elle est tétanisée, d’autres Serbes du jeu accourent, félicitent son personnage, et parmi eux, son père. Ne supportant pas que celui-ci soit un assassin, elle s’enfuit très rapidement de la chambre de Thierry. Andréas : Dans le jeu, Andréas a participé à presque toutes les guerres : - la Première Guerre mondiale, avec la bataille de Verdun, Allemands contre Français, où il incarne un soldat

insoutenable, se livre à de multiples monologues tout au long de la pièce afin de faire connaître au lecteur-spectateur ses sentiments et ses décisions. Il faut dire qu'il a appris que son père – venu l'informer sous la forme d'un spectre – avait été assassiné par son oncle qui, deux mois après ce meurtre, a épousé la reine, la veuve de sa victime. Le héros vit donc une situation très difficile. Il a promis à son père de le venger en tuant son oncle mais il veut des preuves. Il décide alors de simuler

Labdacides. Après avoir consulté l’oracle de Delphes, Laïos découvre qu’il serait assassiné par son propre fils. Peu après, sa femme Jocaste mit au monde un fils. L’histoire d’Œdipe : L’oracle, le destin et le calvaire Après la naissance de l’enfant, Jocaste et Laïos confient leur fils à un serviteur chargé de le tuer. Pris de pitié, celui-ci l’abandonne sur le mont Cithéron pendu par le pied à un arbre. Les traces de cette blessure lui valurent son nom d’Œdipe qui veut dire “Pied enflé”. Il est recueilli