Les Blessures assassines

atterré face à un tel désastre qui atteint l’indicible. Les blessures sont si profondes que l’on n’ose même pas les évoquer, le nom même de la ville est devenu terrifiant ; le poète crie sa douleur et son désespoir face à toutes ces morts violentes.[interprétation personnelle] - On retrouve le champ lexical de la violence : « blessures » v.13, « sang » v.14, « ruines » v.14, « crie » v.17, « hurle » v.17, « éclate » v.18, « coups des assassins » v.19, « la folie » v.23.[interprétation personnelle]

I - Introduction John Fitzgerald Kennedy est né le 29 mai 1917. Élu en 1960, il est le 35è président des États-Unis. Il est assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas au Texas, moins de 3 ans après son entrée à la Maison Blanche. C’est le 4è président des États-Unis victime d’un assassinat. Il a été le plus jeune président élu mais aussi le plus jeune à mourir en cours de mandat. II - Sa Biographie John Fitzgerald Kennedy est né le 29 mai 1917 à Brookline, Massachusetts*, une banlieue huppé de

bras pendants », « son crâne », « ses pauvres cheveux », « sa tempe ». Le poète insiste également sur les blessures mortelles : « On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies » ou encore les deux suivants : « Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ?/Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. » Un symbole christique Ce corps est celui d’un innocent sacrifié, assassiné, d’où les références à Jésus : l’antonomase (« un Jésus »), le linceul (dans la dernière strophe notamment)

Incendie - sinistre - feu - combustion - embrasement - brasier - destruction Accident -incident - aventure - affaire - imprévu - malheur Blessure - plaie - lésion - traumatisme - lésion - coup - ecchymose - choc - fracture Ivrogne - alcoolique - éthylique - poivrot - soûlard - buveur Butin - proie - dépouille - magot Meurtrier - assassin - criminel - tueur - scélérat - homicide Vol - casse - braquage - hold-up - cambriolage - larcin - malfaiteur - voleur - bandit - cam-

jacques personnage pitoyable et misérable : il a une blessure au genoux ce qui le rend pitoyable et c’est en fait qqn de pauvre contrairement à ce que pense les brigands qui l’ attaquent. A cette douleur physique est donc ajoutée une douleur financière. Le maître réagit et part sur un débat philosophique lorsqu’il pose la question à Jacques de comment cela a t’il put arrivé à un homme bon comme lui et il se fait battre et presque assassiné. II) Des procédés modernes : Le maître

à tous nos amis Car mon cœur est témoin qu'ils sont les bienvenus. Le 1er Assassin paraît à la porte MACBETH Vois : leurs cœurs mandent leurs mercis à ta rencontre. (regardant la table) De part et d'autre, nombre égal : je m'assiérai donc entre vous. Donnez à votre joie les coudées franches. Tout à l'heure Nous boirons à la ronde. (allant à la porte) Tu as du sang sur le visage. 1er ASSASSIN C'est celui de Banquo alors MACBETH J'aime mieux

la fatalité. Le pin ne peut échapper à sa blessure, ni ne peut en guérir. La comparaison n’apparaît concrètement qu’à partir de la quatrième strophe, au vers 13 « Le poète est ainsi ». C’est le mot « ainsi » qui dévoile au lecteur la comparaison. Vient ensuite un raisonnement à contrario du vers 14 au dernier vers. Ce raisonnement a pour rôle de conclure la comparaison. Il explique d’où vient l’inspiration d’un poète romantique et ce pourquoi sa blessure lui est en fait nécessaire. Au final, cette

possible de constater que cette valeur est très présente. Dans le schéma d’Électre, dont l’objet est de venger son père, elle a seulement l’aliénation comme destinateur, car la seule raison qui la pousse à se venger est l’honneur. Son père s’est fait assassiner alors elle doit faire en sorte qu’il soit vengé. La raison que l’aliénation représente son destinateur en fait, est seulement qu’elle n’a aucune raison solide de vouloir se venger. Par la suite, vers la fin du roman, Jupiter influence radicalement

Jules César est mort ! Notre général , notre homme politique , notre écrivain et le père de notre patrie né à Rome le 12 juillet 100av JC a été assassiné. C'était un homme ambitieux , tacticien habile et un grand stratège mais par-dessus tous il savait protéger notre pays. C'est lui qui s'opposa au Sénat et afficha clairement sa volonté d'affronter Pompée en franchissant le Rubicon et en prononçant

John F. Kennedy, le président des États-Unis en poste à ce temps, est assassiné le vingt-deux novembre 1963. Il était en tournée à Dallas, au Texas, dans le but de poursuivre sa campagne électorale pour les élections qui auraient lieu l’année suivante. Trois coups de feu retentirent, la première balle ratant le président, la deuxième le frappant dans le dos et la troisième l’atteignit à la tête. Il succomba à ses blessures à l’hôpital environ une heure plus tard. Après une enquête, tous furent