Les Blessures assassines

jeune, neveu de l’empereur Caligula. Son père meurt lorsqu'il a 3 ans. En 49, sa mère épouse l'empereur Claude dont elle est la nièce après avoir fait assassiner son second mari. Femme énergique et dévorée d'ambition elle prend rapidement le pouvoir en main, elle fait exiler toutes les personnes s'opposant à sa volonté. Elle va-même jusqu'à faire assassiner sa rivale Lollia Paulina dont elle se fait apporter la tête. Elle veut que son fils Néron succède à Claude au détriment de l'héritier légitime Britannicus

allemandes ont ainsi rejeté la faute sur les juifs, et ont également décrit la Nuit de Cristal comme étant une explosion de colère envers les juifs suite à l’assasinat d’Ernst vom Rath, le secrétaire à l’ambassade d’Allemagne à Paris, ce dernier fut assassiné par un jeune juif nommé Herschel Grynszpan en réponse à la déportation des juifs polonais. Les nazis ont ainsi profiter de cet acte pour entamer la nuit de Cristal, et l’ont fait passer pour un mouvement populaire. La Nuit de Cristal est ainsi un

les sœurs Léa et Christine Papin, ont assassiné sauvagement leurs deux patronnes. L’affaire s’est vite répandue et est devenue un cas national. Les Français se sont alors passionnés pour cette affaire et ont élaboré diverses théories concernant l’origine de ce double homicide : la folie, l’oppression sociale, la vengeance, des troubles psychologiques, etc. De nombreux films ou romans s’en sont inspirés : le denier en date est le film Les Blessures assassines (2000) de Jean-Pierre Denis. L’extrait

farouche », « ses bras pendants », « son crâne », « ses pauvres cheveux », « sa tempe ». Le poète insiste également sur les blessures mortelles : « On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies » ou encore les deux suivants : « Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ?/Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. » Ce corps est celui d’un innocent sacrifié, assassiné, d’où les références à Jésus : , le linceul (dans la dernière strophe notamment), la plaie dans laquelle on peut mettre

allemande est expulsé avec sa famille en Pologne suite aux nouvelles lois antisémites. Le 7 novembre 1938, il se rend à l’ambassade d’Allemagne à Paris et tire un revolver sur le diplomate allemand Ernst vom Rath. Deux jours plus tard, il succombe à ses blessures. Ce meurtre est l’élément déclencheur de la nuit de cristal. II. Le déroulement de la nuit de cristal Le 9 novembre 1938, un homme politique allemand proche d’Hitler, Joseph Goebbels annonce la mort de vom Rath

poète est atterré face à un tel désastre qui atteint l’indicible. Les blessures sont si profondes que l’on n’ose même pas les évoquer, le nom même de la ville est devenu terrifiant ; le poète crie sa douleur et son désespoir face à toutes ces morts violentes. - On retrouve le champ lexical de la violence : « blessures » v.13, « sang » v.14, « ruines » v.14, « crie » v.17, « hurle » v.17, « éclate » v.18, « coups des assassins » v.19, « la folie » v.23.

dirigeant de l'époque. Poussé par Agrippine, l'empereur Claude désigne ensuite son nouveau fils adoptif comme son unique successeur au détriment de son propre fils issu de son sang : Britannicus. A peine a-t-il désigné Néron, l'empereur Claude est assassiné en 54 (probablement empoisonné par Agrippine qui avait peur qu'il change d'avis). Dès lors le Sénat romain, grâce à d'habiles manoeuvres d'Agrippine, entérine le dernier choix de Claude et proclame Néron nouvel empereur au détriment de Britannicus

traduit par le champ lexical de la destruction de celle-ci par l'homme : "bourreau, assassine, ouvre". La forêt est personnifiée par le biais du ressenti humain qu'est la douleur d'où la présence du réseau lexical de la souffrance : "larmes, douloureux, ouvre". La culpabilité de l'être humain est mis en avant par le rejet du vocable (mot) "l'homme". Il est désigné par un vocabulaire dévalorisant "bourreau" "avare" "assassine". L'homme s'apparente à un destructeur de la création divine. Mais cette

résine, L’homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu’aux dépens de ceux qu’il assassine, Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon ! Sans regretter son sang qui coule goutte à goutte, Le pin verse son baume et sa sève qui bout, Et se tient toujours droit sur le bord de la route, Comme un soldat blessé qui veut mourir debout. Le poète est ainsi dans les Landes du monde ; Lorsqu’il est sans blessure, il garde son trésor. Il faut qu’il ait au cœur une entaille profonde Pour épancher ses

a épousé la reine Gertrude, veuve du défunt. Un soir, Hamlet rencontre le Spectre de son père et lui annonce que Claudius l’a assassiné. Hamlet décide donc de se venger. Hamlet feint la folie afin de démasquer son oncle, Claudius. On met cette folie passagère sur le compte de l’amour qu’il porterait à Ophélie, fille de Polonius, conseiller du roi. Il se résout à assassiner son oncle, mais hésite. Il décide de tout révéler à sa mère, et croyant que Claudius se dissimule derrière un rideau, y plante